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    Love object
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    2,7
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    35 critiques spectateurs

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    Simon1310
    Simon1310

    146 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2021
    ce film à sa vision a été une claque, une ambiance glauque, s'installe petit à petit avec cet employé effacé et timide qui se prend de passion pour sa poupée, partant dans une perversité sexuel, qui le poussera dans une folie meurtrière. le film joue très bien avec l'idée que la poupée a un tel ascendant via un montage anxiogène sur le jeune homme que je m'attendais a ce qu'elle prenne vie, dans l'appartement du jeune homme. Le fait que le film ait un budget de 1 million de dollar, se voit et loin de desservir le film, offre un cadre resserré sur l'endroit ou travaille le jeune employé et son appartement, les extérieurs étant pratiquement absent du film, cet sensation d’être en vas clos, amplifie le caractère anxiogène du monde dans lesquels vis le personnage du jeune homme, malgré la présence de protagonistes dans l'ensemble positifs, rien n'enrayera sa plongée malsaine, bien que l'on ressente une certaine empathie. Peu sur de lui, assez introverti, il est présenté comme un employé effacé vivant dans une monotonie, qui sera brisé par l'introduction de la poupée dans sa vie, même si ces fantasmes, a l’égard de celle ci, l’éloigne de nous on reste encore assez attaché à ce personnage jusqu’à l'acte final, ou l'on se désolidarise de ce personnage, celui ayant rompu les ponts avec la réalité ainsi qu'avec les spectateurs. Ce film fait partie de ces films qui m'ont marqué, même plusieurs semaines après sa vision comme quoi on a pas besoin d’être un réalisateur génial, ou faire des films virtuoses pour marquer les esprits.
    Estonius
    Estonius

    3 322 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mars 2019
    Quand, au début du film on voit apparaitre Rip Torn dans le rôle du boss on se dit que ça ne va pas le faire, d'autant que l'acteur principal est du genre monolithique. L'apparition de la joli Melissa Sagemiller va faire remonter le niveau du casting, et puis il y a Udo Kier aussi dans un petit rôle sympa. Le rythme est lent, très lent avant de s'accélérer trop rapidement à la fin, certaines scènes sont assez bien vues comme l'arrivée spoiler: de la caisse, ou l'intrusion du concierge
    . Mais le scénario n'a même pas été relu, ainsi le héros est spoiler: mis à la porte de son entreprise mais quand il y revient on est content de le revoir "après son congé maladie"
    Quant à la conclusion elle est malhabile et gratuite mais reste glaçante. Ça n'a rien de grandiose, mais ça peut se regarder
    Prad12
    Prad12

    91 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2016
    Film fétichiste assez mal exploité. L'idée est originale mais la première partie décrivant la relation avec la poupée en silicone est trop longue et pas vraiment nécessaire, alors que la seconde partie est rapide et bâclée..... dommage, il y avait matière à creuser le sujet
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    37 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 août 2013
    Le scénario est intéressant mais la mise en scène laisse a désirer, et il y a pas mal de longueurs et ça manque de rythme. Appart les deux acteurs principaux, les acteurs ne sont pas très convaincants.
    J'ai trouvé la fin très glauque et malsaine, c'était un peu près la seule partie du film ou j'ai accroché.
    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    32 abonnés 646 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 février 2013
    Un premier film pour ce réalisateur et probablement le dernier ! Si l'idée de départ n'est pas mauvaise (la transposition d'une personne réelle sur une poupée "objet sexuel" dans l'esprit d'un type pas net), tout le reste est franchement raté, les diverses réactions des protagonistes de l'histoire sont d'un ridicule rarement vu, et côté réalisation, tous les ingrédients pour louper un film sont réunis, à ce point là c'est une véritable référence ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 décembre 2012
    Desmond Harrington, décidément abonné aux personnales borderline, était le comédien idéal pour incarner le héros de ce petit film horrifico-comico-sociologique particulièrement malsain... mais du coup très efficace pour distiller chez le spectateur un savant mélange de gêne, d'angoisse et rire jaune. Certes le budget est riquiqui, mais le scénario habile évite à la fois le voyeurisme sordide et la galéjade lourdingue malgré un sujet casse-gueule (les dérives sexuelles d'une trop grande solitude). Solidement servi par des pointures tels que Rip Torn et Udo Kier, et clos par un bon twist final Love Object aurait pu être un excellent film sans les quelques maladresses cinématographiques du réalisateur. En tous cas, voilà un film qui mérite d'être redécouvert en DVD.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    Un manque de moyen et très peu de profondeur techniques sont à reprocher à Love Object (bien que le premier ne soit pas de la faute au film) mais en dehors de ça, tout est réussi ! Ce film est simplement bluffant ! Je m'attendais à voir une comédie lourdingue sans finesse, et là, le choc ! Love Object bénéficie d'une intrigue des plus brillantes pour un sujet des plus difficile à exploiter de manière crédible : le fantasme sexuel. Love Object reste un film à petit budget, mais Dieu que c'est bon !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 juillet 2011
    Corrosif à bien des égards, Love Object souffre d'un manque de rythme malgré un scénario des plus intéressants et une audace toute singulière. Un film qui pose des questions.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 juin 2011
    plutôt pas mal malgré des défauts dût au budget du film les acteurs principaux sont plutôt bons et l'histoire est assez pour le moins comiques, décalés et morbides
    eldarkstone
    eldarkstone

    215 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2011
    Dérangeant et fascinant ! Un film plutot troublant, mais éfficace, sur la solitude et l'amour !
    kibruk
    kibruk

    144 abonnés 2 542 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2010
    Avec son scénario original et dérangeant “ Love object” est un petit film de série B qui présente d’indéniables qualités. Bien joué et bien ficelé, le spectateur est tenu en haleine jusque dans un final totalement inattendu. Si ce n’est pas franchement un film d’horreur, l’ambiance instaurée est vraiment pesante et réussie. A découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2010
    Presque un film d'anticipation cette fiction pas dénuée d'humour noir à la "1984" pose bien la question philosophique à propos de la différence actuellement pas si fondamentale entre le robot et l'humain, et tout en possédant un coté réaliste très vraisemblable, nous montre dans les premières séquences une gallerie d'employés de bureaux point trop originaux, tout en duplicité (avec un président plutot beauf) obéissant à la stricte hiérarchie, mais cachant des pulsions certaines comme ce Kenneth aux "bonne idées". Tout comme les ploutocrates ceux qui donnent des leçons ainsi que les riches avocats les fashion victims les Mr Je sais tout ou les Mr Raison sont parfois les plus grossiers et le Gorille est parfois femelle...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 septembre 2010
    Au milieu de la programmation du onzième Festival du Film Fantastique de Gérardmer, Love Object sortait du lot. En effet, son thème le plaçait a priori aux confins du Fantastique, quelque part entre le délire paranoïaque et la comédie noire.

    Le metteur en scène, Robert Parigi, avait d’ailleurs pris la peine de venir présenter son film à FANTASTIC’ARTS. Au cours de son intervention, il avait tenu à prévenir les spectateurs du caractère non conventionnel de son film. Il s’agissait là d’une volonté louable, mais qui démontrait sa méconnaissance du public auquel il s’adressait. Car à FANTASTIC’ARTS, les spectateurs sont depuis longtemps habitués aux multiples variations du genre, puisque c’est l’un des objectifs principaux du Festival.
    Love Object nous ouvre les portes d’un univers froid. Dans un monde aseptisé, nous faisons la connaissance de Kenneth, petit cadre hyperactif. Célibataire bien propre sur lui, un brin coincé, Kenneth s’abrutit de travail au sein d’une entreprise qui conçoit des manuels d’utilisation à partir de données trop techniques pour le simple quidam. Toute son existence s’articule autour de son travail et du stress qu’il engendre. Face à ce descriptif déprimant, on voit mal comment la situation pourrait être plus sombre. Et pourtant. En introduisant une autre personne dans le cadre de travail si rigide de Kenneth, Robert Parigi met en place un détonateur, pour finalement atteindre les sommets de la névrose.
    En effet, les délais imposés au jeune homme sont très courts. Dès lors, son supérieur va lui proposer, ou plutôt lui imposer une assistante. Contraint de travailler avec une personne « étrangère », le petit cadre modèle va alors s’enfoncer chaque jour un peu plus dans la folie. C’est à partir de sa perception de la femme, idéalisée, que tout va s’enchaîner. Car son imagination, loin d’être canalisée par son activité débordante, va le pousser à commander une poupée à l’image de sa nouvelle assistante. La conception de ces poupées, révolutionnaire, permet en l’occurrence au futur acquéreur de créer une entité remplissant un certain nombre de critères physiques définis par lui-même lors de la commande.
    A partir de la livraison, qui donne au réalisateur l’occasion de nous livrer une petite scène de comédie, nous pénétrons dans un monde où la notion de réalité devient floue. Pour comique qu’elle soit, la réception de la commande sous la forme d’une grande caisse bien trop volumineuse pour entrer d’un seul coup n’en marque pas moins un tournant. De simple jouet à caractère essentiellement sexuel au début, la poupée va voir son rôle évoluer rapidement. Le transfert de la femme que Kenneth voudrait avoir vers la poupée va s’accentuer, jusqu’à ce que son intérêt pour sa compagne artificielle tourne à l’obsession.
    Robert Parigi va alors au cœur de son sujet. Nous sommes les témoins privilégiés d’un basculement dans la folie. Car la nouvelle acquisition, au lieu de pousser le jeune cadre à aller de l’avant dans sa relation avec son assistante, l’amène au contraire à s’enfermer dans un monde créé de toutes pièces, un univers basé sur une relation virtuelle. Aux yeux de Kenneth, la poupée de silicone Nikki va prendre vie. Son attachement va dès lors lui jouer des tours dans sa vie quotidienne. Par manque de temps (le film dure moins d’1 heure 25), le metteur en scène a parfois été contraint à aller un peu vite. On remarquera ainsi que la folie s’empare un peu trop brutalement de Kenneth. Par la suite, lorsque le personnage principal semble sur le point de s’ouvrir aux autres, Robert Parigi a pris un peu plus le temps d’illustrer la nouvelle orientation de son histoire.
    Dans cette seconde partie qui nous suggère un développement plus positif, le réalisateur n’a pas brûlé les étapes. Il nous entraîne alors vers des contrées plus joyeuses, peut-être pour mieux nous surprendre. La manœuvre est réussie, car çà marche jusqu’à un certain point. On sentait pourtant confusément depuis le début que Love Object n’était pas le genre de film à se terminer sur un banal « happy-end ».
    Et Robert Parigi ne nous donne pas tort. Car l’illusion est tenace. Il est dommage que lorsque le film tourne au cauchemar dans le dernier tiers, il tombe dans le conventionnel. Moins à l’aise dans l’horreur, le réalisateur dévoile alors quelques faiblesses. Mais celles-ci se font discrètes, dissimulées il est vrai derrière une interprétation excellente. Dans la peau du personnage principal Desmond Harrington donne une réelle intensité à son rôle. Avec ses faux airs de Jude Law, il crève l’écran, tandis qu’à ses côtés Udo Kier apporte la petite touche de mystère nécessaire. Avec son air sombre, ce dernier promène une silhouette désinvolte sans trop faire d’effort, et offre à l’audience des petits intermèdes savoureux. Le regard intense de l’un des plus célèbres seconds rôles fait une fois encore des merveilles. Et à FANTASTIC’ARTS 2004, on ne s’y est pas trompé, puisque Love Object s’est vu décerné deux Prix, celui de la Cri
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 janvier 2010
    Excellent!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 décembre 2009
    Attention ceci n'est pas un film comique, c'est une sorte de thriller glauque et psychologique. Il est donc pas mal dans son genre (genre spécial). Il sort des sentiers battus et offre une fin comme on les préfère. Il ne faut donc pas s'attendre à voir un film plein d'humour américain.
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