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    Love object
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    35 critiques spectateurs

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    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 novembre 2009
    Quand j’ai vu le titre du film, comme je n’avais pas lu le résumer du film, je me suis dit que c’était une comédie romantique. Je vous assure que je suis vraiment tombé des nues. Parce de comédie romantique ce film est plutôt un thriller des plus glauques. Le cheminement de cet handicapé émotionnel qui se paye une poupée en silicone et la transforme comme la collègue sur laquelle il fantasme et qui fini par glisser dans la folie et le meurtre et désarçonnante. L’ambiance du film est glaciale et déshumanisée à l’image du lieu de travail qui ressemble à un bureau de l’administration soviétique. Les personnages secondaires participent eux aussi de cette atmosphère : collection d’idiots, d’obsédés, de personnages difformes ou simplement moches. Ce film réussi dans son ambiance, l’est un peu moins dans son scénario qui peine à maintenir l’attention du spectateur, qui éprouve sur la longueur une certaine lassitude de cette ambiance pesante. Néanmoins si vous n’êtes pas déprimé, je vous conseille ce film qui reste atypique dans la production des thrillers venus d’Hollywood.
    Prad12
    Prad12

    91 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2016
    Film fétichiste assez mal exploité. L'idée est originale mais la première partie décrivant la relation avec la poupée en silicone est trop longue et pas vraiment nécessaire, alors que la seconde partie est rapide et bâclée..... dommage, il y avait matière à creuser le sujet
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 juin 2011
    plutôt pas mal malgré des défauts dût au budget du film les acteurs principaux sont plutôt bons et l'histoire est assez pour le moins comiques, décalés et morbides
    thewall
    thewall

    13 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Petit film indépendant américain, ce "love object" arbore un titre de comédie romantique et passe inaperçu alors qu'il a obtenu un prix à Gerardmer. C'est dommage car il mérite mieux que l'indifférence frappant sa sortie discrète. Le film est effectivement une oeuvre étrange, vraiment bizarroide, comme un croisement entre "May" pour la folie et "American psycho" pour l'humour décalé. Le cinéaste pousse son sujet jusqu'au bout et ose tout, y compris des séquences très "limites". Il entraîne véritablement le spectateur dans la folie de son personnage principal : il en ressort un film déglingué car classique dans sa forme, mais montrant des choses soit ridicules, soit inquiétantes, voire atroces. Si vous n'êtes pas encore convaincu qu'en allant voir ce film, vous verrez un OVNI, sachez qu'Udo Kier (pape du cinéma underground à la Morrissey et accessoirement du cinéma bis) est de la partie. Une curiosité donc que ce petit film comico- psychotico-horrifique qui ne se laisse pas facilement définir.
    Gonnard
    Gonnard

    241 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2008
    He he he. Très bon mélange de romance, de thriller, d'humour, de fantastique et enfin de satire sociale. La mayonnaise prend. On ressent à la fois de la compassion et du dégoût pour le héros. Un vulgaire plagiat de "Monique" ? Non, ce film se démarque assez nettement.
    C.Dervaux
    C.Dervaux

    136 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2009
    Tous les secrets d'un véritable navet sont présents ici meme. Pour commencer des personnages insipides, une histoire faite pour ceux qui ont toujours voulus vivre avec des poupées baisables et pour les insociaux. Inévitablement inutile,ce film ne relativise en aucune facon un bon film du genre.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    38 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 août 2013
    Le scénario est intéressant mais la mise en scène laisse a désirer, et il y a pas mal de longueurs et ça manque de rythme. Appart les deux acteurs principaux, les acteurs ne sont pas très convaincants.
    J'ai trouvé la fin très glauque et malsaine, c'était un peu près la seule partie du film ou j'ai accroché.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    Un manque de moyen et très peu de profondeur techniques sont à reprocher à Love Object (bien que le premier ne soit pas de la faute au film) mais en dehors de ça, tout est réussi ! Ce film est simplement bluffant ! Je m'attendais à voir une comédie lourdingue sans finesse, et là, le choc ! Love Object bénéficie d'une intrigue des plus brillantes pour un sujet des plus difficile à exploiter de manière crédible : le fantasme sexuel. Love Object reste un film à petit budget, mais Dieu que c'est bon !
    eldarkstone
    eldarkstone

    219 abonnés 2 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2011
    Dérangeant et fascinant ! Un film plutot troublant, mais éfficace, sur la solitude et l'amour !
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    298 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2008
    Un décidément beau film (également) un peu acide & dérangeant que cette histoire de ce cadre possédant une place certaine dans cette société , et bien curieusement si méchant : En effet ; Que vous resterait-il si on vous enlevait l'argent & le matériel , - surtout de nos jours... - ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 décembre 2012
    Desmond Harrington, décidément abonné aux personnales borderline, était le comédien idéal pour incarner le héros de ce petit film horrifico-comico-sociologique particulièrement malsain... mais du coup très efficace pour distiller chez le spectateur un savant mélange de gêne, d'angoisse et rire jaune. Certes le budget est riquiqui, mais le scénario habile évite à la fois le voyeurisme sordide et la galéjade lourdingue malgré un sujet casse-gueule (les dérives sexuelles d'une trop grande solitude). Solidement servi par des pointures tels que Rip Torn et Udo Kier, et clos par un bon twist final Love Object aurait pu être un excellent film sans les quelques maladresses cinématographiques du réalisateur. En tous cas, voilà un film qui mérite d'être redécouvert en DVD.
    Aldagard
    Aldagard

    6 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Love Object est dans le même esprit que Willard ou May. Entre drame et "horreur" , le film nous plonge dans la peau d'un homme qui,comme Willard et May, a quelques problèmes d'ordre psychologique.A la fois "drôle" et terrifiant,voir malsain,Love Object se révèle être intelligent et prenant jusqu'à la fin(excellente d'ailleurs!).A voir,surtout si on a aimé les deux films cités un peu plus haut!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 novembre 2009
    ce film est tout simplement nul a chier.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 septembre 2010
    Au milieu de la programmation du onzième Festival du Film Fantastique de Gérardmer, Love Object sortait du lot. En effet, son thème le plaçait a priori aux confins du Fantastique, quelque part entre le délire paranoïaque et la comédie noire.

    Le metteur en scène, Robert Parigi, avait d’ailleurs pris la peine de venir présenter son film à FANTASTIC’ARTS. Au cours de son intervention, il avait tenu à prévenir les spectateurs du caractère non conventionnel de son film. Il s’agissait là d’une volonté louable, mais qui démontrait sa méconnaissance du public auquel il s’adressait. Car à FANTASTIC’ARTS, les spectateurs sont depuis longtemps habitués aux multiples variations du genre, puisque c’est l’un des objectifs principaux du Festival.
    Love Object nous ouvre les portes d’un univers froid. Dans un monde aseptisé, nous faisons la connaissance de Kenneth, petit cadre hyperactif. Célibataire bien propre sur lui, un brin coincé, Kenneth s’abrutit de travail au sein d’une entreprise qui conçoit des manuels d’utilisation à partir de données trop techniques pour le simple quidam. Toute son existence s’articule autour de son travail et du stress qu’il engendre. Face à ce descriptif déprimant, on voit mal comment la situation pourrait être plus sombre. Et pourtant. En introduisant une autre personne dans le cadre de travail si rigide de Kenneth, Robert Parigi met en place un détonateur, pour finalement atteindre les sommets de la névrose.
    En effet, les délais imposés au jeune homme sont très courts. Dès lors, son supérieur va lui proposer, ou plutôt lui imposer une assistante. Contraint de travailler avec une personne « étrangère », le petit cadre modèle va alors s’enfoncer chaque jour un peu plus dans la folie. C’est à partir de sa perception de la femme, idéalisée, que tout va s’enchaîner. Car son imagination, loin d’être canalisée par son activité débordante, va le pousser à commander une poupée à l’image de sa nouvelle assistante. La conception de ces poupées, révolutionnaire, permet en l’occurrence au futur acquéreur de créer une entité remplissant un certain nombre de critères physiques définis par lui-même lors de la commande.
    A partir de la livraison, qui donne au réalisateur l’occasion de nous livrer une petite scène de comédie, nous pénétrons dans un monde où la notion de réalité devient floue. Pour comique qu’elle soit, la réception de la commande sous la forme d’une grande caisse bien trop volumineuse pour entrer d’un seul coup n’en marque pas moins un tournant. De simple jouet à caractère essentiellement sexuel au début, la poupée va voir son rôle évoluer rapidement. Le transfert de la femme que Kenneth voudrait avoir vers la poupée va s’accentuer, jusqu’à ce que son intérêt pour sa compagne artificielle tourne à l’obsession.
    Robert Parigi va alors au cœur de son sujet. Nous sommes les témoins privilégiés d’un basculement dans la folie. Car la nouvelle acquisition, au lieu de pousser le jeune cadre à aller de l’avant dans sa relation avec son assistante, l’amène au contraire à s’enfermer dans un monde créé de toutes pièces, un univers basé sur une relation virtuelle. Aux yeux de Kenneth, la poupée de silicone Nikki va prendre vie. Son attachement va dès lors lui jouer des tours dans sa vie quotidienne. Par manque de temps (le film dure moins d’1 heure 25), le metteur en scène a parfois été contraint à aller un peu vite. On remarquera ainsi que la folie s’empare un peu trop brutalement de Kenneth. Par la suite, lorsque le personnage principal semble sur le point de s’ouvrir aux autres, Robert Parigi a pris un peu plus le temps d’illustrer la nouvelle orientation de son histoire.
    Dans cette seconde partie qui nous suggère un développement plus positif, le réalisateur n’a pas brûlé les étapes. Il nous entraîne alors vers des contrées plus joyeuses, peut-être pour mieux nous surprendre. La manœuvre est réussie, car çà marche jusqu’à un certain point. On sentait pourtant confusément depuis le début que Love Object n’était pas le genre de film à se terminer sur un banal « happy-end ».
    Et Robert Parigi ne nous donne pas tort. Car l’illusion est tenace. Il est dommage que lorsque le film tourne au cauchemar dans le dernier tiers, il tombe dans le conventionnel. Moins à l’aise dans l’horreur, le réalisateur dévoile alors quelques faiblesses. Mais celles-ci se font discrètes, dissimulées il est vrai derrière une interprétation excellente. Dans la peau du personnage principal Desmond Harrington donne une réelle intensité à son rôle. Avec ses faux airs de Jude Law, il crève l’écran, tandis qu’à ses côtés Udo Kier apporte la petite touche de mystère nécessaire. Avec son air sombre, ce dernier promène une silhouette désinvolte sans trop faire d’effort, et offre à l’audience des petits intermèdes savoureux. Le regard intense de l’un des plus célèbres seconds rôles fait une fois encore des merveilles. Et à FANTASTIC’ARTS 2004, on ne s’y est pas trompé, puisque Love Object s’est vu décerné deux Prix, celui de la Cri
    arnauds29
    arnauds29

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2006
    Ce film est très original et peu commun. C'est un thriller psychologique qui met un scène un jeune homme qui a de gros problèmes avec ses relations avec les gens à tel point qu'il commande une poupée gonflable pour assouvire tous ces fantasmes.!
    Une fin digne d'un trhiller.
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