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Votre avis sur Jacquou Le Croquant ?
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Sans être exceptionnel, cette histoire de vengance est mené tranquillement au gré des évolutions bien marqués du personnage principales. La première partie est poignante et plein d'émotion et la dernière plus rythmé nous transporte progressivement vers une fin que l'on devine aisément.
Très beau film après avoir attendu 20 ans pour réaliser sa 2ième réalisation plus abordable.
Très beau film après avoir attendu 20 ans pour réaliser sa 2ième réalisation plus abordable.
La particularité principale de l'adaptation cinéma de cette série française à succès et sa longueur. En effet , Laurent Boutonnat , a une ambition et une prétention un peu démesurée , pour réaliser un film de 2h30 qui accumule les scènes de remplissage. Tout d'abord , pratiquement 1 heure à décrire l'enfance malheureuse de Jacquou , à travers des longs plans de paysages certes beaux mais au bout d'un moment on en reconnaît les moindres recoins , d'ou un phénomène de répétition assez agaçant. Néanmoins , il faut reconnaître que cette première partie ne tombe pas dans le naiseux , mais recelle au contraire des moments assez noirs , ce qui à le mérite d'étonner et de captiver notre attention pour un film qu'on pensait plus familial , en gros la fond est intéressant mais la forme maladroite. Ensuite , vient le moment de la vie adulte de Jacquou ou son désir de vengeance et de justice devient de plus en plus présent , les longueurs sont ici dans les scènes qui frisent parfois le grotesque et dont on se demande ce qu'elle apporte à l'histoire ,la scène du bal par exemple apparemment exceptionnelle devient vite ridicule , et au milieu de tout cela , on a des interprétes assez inégaux , soient qui foncent dans la caricature , ou alors aussi vivants que des pierres , de nombreux sont inconnus (ils le vaudraient mieux !). Laurent Boutonnat arrive sur la fin à faire décoller son film en lui donnant un air romanesque qui manquait jusqu'à présent. Bref , Jacquou le Croquant , est un film très moyen , très long , et un peu pompeux d'une manière générale.
Laurent Boutonnat est un très bon réalisateur de clips où il sait s'attarder sur de petis détails, la poussière qui vole au pas des chevaux... Mais sur un long metrage, ça finit par être lassant surtout quand il n'y a rien à coté. Les acteurs d'ordinaires si bons passent pour des zozos tellement leurs répliques sont stupides (surtout Croze et Dupontel) et les autres ne relèvent pas vraiment le niveau (Jacquou enfant est insupportable). Ensuite c'est vrai que c'est beau à voir, mais le scénario ne tient pas la route et certaines scènes semblent avoir été baclées. Et quand on a un peu d'action à la fin ça part en sucette : on a de quoi être décus.
Ti Nou
Une fresque historique ambitieuse qui malgré ses déséquilibres ne manque pas de souffle épique. Le casting surprenant est parfait et Boutonnat réussit son pari, surtout lors de la première partie, très forte bien qu'un peu longue.
Gaspard Ulliel incarne un très bon Jacquou le Croquant. Albert Dupontel joue très bien dans ce film d'époque. Un très bon film de Laurent Boutonnat.
🎬 RENGER 📼
Les plus nostalgiques ont du se remémorer un tas de souvenir en allant voir au cinéma Jacquou Le Croquant. Car bien avant cela, cétait déjà un roman écrit par Eugène Le Roy, qui après sest vu devenir une série télévisée en 1969 ! Malgré son succès, il na pas fait long feu sur les ondes hertziennes, puisquil ny a seulement eu que six épisodes (produit par lORTF).
Cette fois-ci, cest Laurent Boutonnat qui se charge de le ressuscité sur grand écran un film historique à grand spectacle, très soigné, à la mise en scène qui hélas, subit des revers notamment dans le montage, les raccords et ajoutant à tous cela quelques baisses de régime !
Une distribution à la fois originale et réussie : Albert Dupontel, Marie-Josée Croze, Tchéky Karyo, Olivier Gourmet, Jocelyn Quivrin, Malik Zidi et les deux personnages principaux du film : Léo Legrand & Gaspard Ulliel. Deux personnages pour le prix dun ! Car il sagit de Jacquou à la fois enfant et adulte puisque le film retrace une partie de sa vie, on le découvre enfant, une période sombre de son enfance où par la faute du Comte de Nansac, il devient orphelin. On le retrouve quelques années plus tard, où il a été recueilli par un curé, il a grandit, il a mûrit, mais il a toujours en lui, cette soif de vengeance !
Deux interprètes, à la ressemblance frappante, Jacquou enfant, interprété par le remarquable Léo Legrand (11 ans), jeune acteur qui débute dans le milieu du cinéma, sensationnel pour son tout jeune âge, on lui prédit sans hésitation, une belle carrière. Prenant la relève au bout dune heure trente par celui que lon ne présente plus, après Un Long dimanche de fiançailles (2004), on le retrouvera dans quelques semaines sous les traits dun célèbre serial killer : Hannibal Lecter : les origines du mal (2007). Gaspard Ulliel est lacteur quil fallait pour ce rôle, il interprète avec beaucoup de charisme ce jeune paysan résolu à venger ses parents.
Cette fois-ci, cest Laurent Boutonnat qui se charge de le ressuscité sur grand écran un film historique à grand spectacle, très soigné, à la mise en scène qui hélas, subit des revers notamment dans le montage, les raccords et ajoutant à tous cela quelques baisses de régime !
Une distribution à la fois originale et réussie : Albert Dupontel, Marie-Josée Croze, Tchéky Karyo, Olivier Gourmet, Jocelyn Quivrin, Malik Zidi et les deux personnages principaux du film : Léo Legrand & Gaspard Ulliel. Deux personnages pour le prix dun ! Car il sagit de Jacquou à la fois enfant et adulte puisque le film retrace une partie de sa vie, on le découvre enfant, une période sombre de son enfance où par la faute du Comte de Nansac, il devient orphelin. On le retrouve quelques années plus tard, où il a été recueilli par un curé, il a grandit, il a mûrit, mais il a toujours en lui, cette soif de vengeance !
Deux interprètes, à la ressemblance frappante, Jacquou enfant, interprété par le remarquable Léo Legrand (11 ans), jeune acteur qui débute dans le milieu du cinéma, sensationnel pour son tout jeune âge, on lui prédit sans hésitation, une belle carrière. Prenant la relève au bout dune heure trente par celui que lon ne présente plus, après Un Long dimanche de fiançailles (2004), on le retrouvera dans quelques semaines sous les traits dun célèbre serial killer : Hannibal Lecter : les origines du mal (2007). Gaspard Ulliel est lacteur quil fallait pour ce rôle, il interprète avec beaucoup de charisme ce jeune paysan résolu à venger ses parents.
En bon clippeur Boutonnat sait trés bien filmé de belles images, il est juste dommage qu'il est oublié de raconter une histoire . Il faut bien le dire le film est trés long assez ennuyeux et manque cruellement de rythme bien aidé par une narration chaotique où la jeunesse de Jacquou dure la moitié du film. Les scènes de bataille sont tout aussi pauvres à l'image de la prise du chateau, le bugdet est sans doute parti dans les poches d'un casting prestigieux mais totalement inutiles ( Dupontel a 3-4 scènes ). Enfin il reste de beaux décors et un Gaspard Ulliel qui a de l'allure.
On peut dire que c’est un beau film. J’ai trouvé la mise en scène très réussie, un excellent scénario tiré du célèbre roman et donc une très belle histoire. On accroche très vite au film qui est relativement doux tout en étant assez dynamique. Pour les décors et les costumes, c’est vraiment du beau boulot, les quelques scènes de combats sont réussies. Au niveau des acteurs, je n’ai pas trouvé Gaspard Ulliel exceptionnel en revanche j’ai beaucoup aimé Jocelyn Quivrin dans le rôle du comte, ainsi que Tchéky Karyo dans le rôle du chevalier. Je donnerais donc à ce film une note de 14 / 20.
J'étais resté sur mes images d'enfant de ce feuilleton qui m'avait tant marqué...Enfer et damnation, ce film est une catastrophe d'une indigence intellectuelle comme je n'en avais pas vue depuis fort lontemps. Mélange de clip policé aux images vaporeuses et de publicités ridicules du genre "Belle des champs" (quand les enfants jouent dans les prés) ou Royal canin (quand le chien court face caméra). Tout sonne faux, tout est faux. Les dialogues sont d'une pauvreté affligeante, florilège: "Tu as le visage d'un fromage de huit jours", "Tu sais des forêts il y en a dans tous les pays"...Tout est à l'avenant! Mouvements de caméras ridicules tant ils sont inadaptés, grandiloquence permanente...Quant aux acteurs, passe encore pour Gaspard Ulliel (si épatant d'habitude) pour qui je dirais que c'est une erreur de jeunesse, mais qu'est-ce que des acteurs confirmés et aussi remarquables qu'Olivier Gourmet et Tcheky Karyo sont allés faire dans cette galère?J'arrête là car je sens que je vais m'énerver. Honte à laurent Boutonnat d'avoir torturé mes souvenirs d'enfance; je pars me soigner en regardant l'intégral de La petite maison dans la prairie!!!
Mais quelle daube, quel navet... J'avais envie de partir tellement Gaspard Ulliel joue mal (il n'est pas le seul) et tellement l'histoire (complètement travestie par rapport à la version d'Eugène Leroy) est ridicule... Incroyable de nullité! Seule la première partie sur l'enfance de Jacquou et les paysages du film relèvent peut être un peu le niveau
Un de mes films préféré pour la profondeurs et la tristesse que l'on peux ressentir sur certain passage :)
avoir et a revoir
avoir et a revoir
Raté sans aucun intéret.A éviter.
Un incontestable navet si on a plus de 16 ans.
C'est creux, c'est niais, c'est caricatural. Cela en deviendrait presque risible tant tout baigne dans la médiocrité. La quintessence du vide en quelque sorte
Les images sont belles, la photographie, tout ça, on se croirait dans un livre d'images des années... anciennes.
Mais alors, le tissu de clichés véhiculés au sein même de ces images, les "symboliques" à deux balles, merci ! de quoi donner des leçons de filmologie à un enfant de 8 ans doté de la subtilité de l'éléphant. "là, tu vois, si une araignée sort de la lettre, c'est probablement un funeste présage...". Si encore ça n'avait lieu qu'une fois. Mais non, le film est jonché de métaphores de niveau CM2. "là, Jacquou lâche les cochons sur elle puis la sauve, ça veut dire qu'à la fin du film, il va la sauver de la révolte paysanne qu'il aura provoquée". Et ça ne manque pas !
Avec mon copain, nous nous esclaffions devant l'écran en disant "c'est trop gros ! c'est pas possible, il a pas osé !".
Ce principal reproche, associé à la looooonnnngueur de certains scènes nous ont fait ranger ce film dans les "à ne pas revoir, à ne pas conseiller".
Mais alors, le tissu de clichés véhiculés au sein même de ces images, les "symboliques" à deux balles, merci ! de quoi donner des leçons de filmologie à un enfant de 8 ans doté de la subtilité de l'éléphant. "là, tu vois, si une araignée sort de la lettre, c'est probablement un funeste présage...". Si encore ça n'avait lieu qu'une fois. Mais non, le film est jonché de métaphores de niveau CM2. "là, Jacquou lâche les cochons sur elle puis la sauve, ça veut dire qu'à la fin du film, il va la sauver de la révolte paysanne qu'il aura provoquée". Et ça ne manque pas !
Avec mon copain, nous nous esclaffions devant l'écran en disant "c'est trop gros ! c'est pas possible, il a pas osé !".
Ce principal reproche, associé à la looooonnnngueur de certains scènes nous ont fait ranger ce film dans les "à ne pas revoir, à ne pas conseiller".
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