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serb
26 abonnés
252 critiques
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1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Quand on a plus d'idées, il faut savoir s'arrêter monsieur Lelouch. Le recyclage ennuyeux à en mourrir qui traduit quasiment l'ensemble de son oeuvre cinématographique surevalué. La presse s'est acharnée pas seulement car elle n'apprécie pas Lelouch mais aussi parce que ce film est un nanard.
J'adore vraiment Lelouch et ça fait peut-être bizarre de dire ça car je n'ai que 27 ans mais ce film est le point d'orgue d'une descente aux enfers cinématographique entamée en 1998 avec Hasards ou Coïncidences et qui s'était poursuivie avec Une pour toutes et And now ladies and gentleman. Pour moi sa carrière s'est, provisoirement j'espère, arrêtée aux Misérables réalisé en 1995 et qui fait office de bon film d'aventure. Cependant, il reste un très grand directeur d'acteurs, certainement le meilleur en France (il souffle les répliques à ses comédiens au dernier moment pour plus de spontanéité de leur part), mais applique toujours les mêmes recettes, sans jamais atteindre le même succès, de Un homme et une femme. Pour ce film, concentré des préoccupations Lelouchiennes sur la vie, l'amour, le bonheur, les rencontres, le hasard, la multiplication des personnages rend la narration hasardeuse. On ne sait pas à qui s'identifier. Il aurait uniquement dû se concentrer sur la romance entre Maïwenn et Massimo qui se suffisait à elle-même. Les dialogues cucul la praline et bien souvent interminables sont grotesques à part peut-être l'introduction où Lelouch nous donne l'occasion de revoir le regretté Ticky Holgado, à qui le film est dédié, dans son dernier rôle peu avant sa mort. Tout ceci respire aussi clairement la suffisance comme lors de la scène de la boîte d'échangisme où il se la joue à la Kubrick ou lorsqu'il se met en scène en compagnie de sa femme de l'époque Alessandra Martines de loin la séquence la plus ridicule du film. En outre, Lelouch, ulcéré une nouvelle fois par les critiques qui avaient démonté le film à sa sortie, avait décidé de payer lui-même la séance de 19h aux spectateurs. Et j'avais profité de l'aubaine. Malgré toute la sympathie que je peux avoir pour Lelouch, ça m'aurait fait mal de mettre mes 10 € là dedans. Pas grand chose ne ressort donc de ce naufrage pas même la prestation de Mathilde Seigner pourtant la seule à réussir à insuffler un semblant d'émotion. Peut être parce que finalement, c'est la seule bonne actrice du lot comprenant Michel Leeb, Arielle Dombasle, Francis Perrin, Richard Gotainer entre autres. Le bide est mérité pas le lynchage médiatique dont Lelouch a été victime. A lui de se remettre sérieusement en question et de revenir à un cinéma plus accessible, plus grand public, plus commercial pourquoi pas et moins pour ses fans, ce qu'il a d'ailleurs commencé à faire avec le réussi Roman de gare.
"Le genre humain", une bonne idée de départ, un départ même foissonnant d'idées, de personnages et de situations entremêlées qui nous captivent, un microcosmos où tous nous avons une conséquence sur quelqu'un d'autre et la plupart du temps sans le savoir... Mais plus de personnages apparaissent, plus de situations sont laissées en suspend, et plus les protagonnistes deviennent plats, ce qui n'est pas de très bonne augure. Et puis tout bascule lors de la mise en abyme, on trouve ça un peu "too much", l'étincelle n'y est plus car l'envers du décor est révélé, pour finir dans le pathétique absolu lors de la projection du "genre humain"...Claude Lelouch se veut tout d'abord poétique pour déboucher dans le pastiche d'un triangle amoureux à l'issue fatale, tout cela dans le but de brouiller fiction et réalité, mais a-t-il oublié que la magie du cinéma c'était avant tout de nous faire oublier la caméra ?
Bof. Un nouvel épisode des Feux de l'Amour quoi. Je n'y suis pas allée en pensant que c'était du Lelouch ou quoi. J'avais juste un ami qui m'avait dit que c'était bien. Ben j'aurais du me mefier vu qu'il avait aimer Spiderman et moi pas... Perdez pas votre temps. Allez voir Infernal Affairs ou le Terminal (vous aurez de bons sentiments aussi mais en mieux). Ah autre chose: les parisiens ne sont pas aussi superficiels non plus :s. Mais je pardonne au réal pour ça: il a l'air de bien aimer les parisiens quand même ^^.
J'ai vu une fois Lelouch en plein "travail" de tournage !!! Et je comprends que ses films soient de tels navets : pas de scénario, pas de textes, il tourne avec sa caméra à l'épaule autour de ses acteurs qui ne savent même pas ce qu'ils jouent et même quelle est l'histoire ! Il tourne, et quand il a quelques kilomètres de bobines, il monte et lui, il appelle cela un film, pas de mal ensuite à faire une "trilogie". Il se prend pour Victor Hugo !!! Aussi imbu de sa personne, c'est impossible. Ses acteurs dont la liste est interminable et quasiment toujours les mêmes, doivent être au pourcentage (les pauvres) et assez libre dans leur emploi du temps ! Bref, quand on sait le temps qu'il faut pour faire un bon scénar, de bons plans, de beaux décors, de bons dialogues, on comprend que Lelouch se passe de tout cela et sorte de tels blabla ! A fuir d'urgence, même gratuit, je n'ai pas pu mettre moins d'une étoile, le zéro pointé aurait été plus adéquat !
Un bon trois étoiles, on hésite presque à en mettre quatre !
En effet, on ici une belle photo, des acteurs pour la plupart qui nous apparaissent même si je n'aime pas Maïwenn…
Ce que je n'ai pas aimé, c'est l'actrice nommé plus haut, mais aussi ces musiques très… démodées (comprendront ceux qui ont vus le film!). À part ça on a des recherches intéressantes,même si les thèmes tournent assez autour du pot.
très bon film , qui rassemble beaucoup de personnages plus ou moins important à leur façon, des facettes interressantes , des coups de coeurs , des sentiments , ce qui fait la vie de tous les jours . Un film à voir pour se faire un avis personnel ;)
C'est tellement pitoyable - et prétentieux - que j'ai fait une soirée spéciale avec des amis parce que c'est comme bouffer de la mspoiler: erd e, ça permet de reconnaître la qualité après, c'est du contraste ! Moi ce que j'aime le plus c'est que seuls des acteurs débutants ou carrément sur le retour acceptent de tourner pour le génial Claude! Et du coup, le Claude - qui ne doit rien savoir faire d'autre - les laisse improviser quand même !!!! La scène de la pizza en impro totale (enfin j'espère) entre Leeb et Dombasle est un petit bonheur.... Quand Leeb a eu les directives de Lelouch, il a du avoir uen bouffée d'angoisse terrible, il a du croire a un bizutage c'est pas possible sinon ! Et dans la scène, on le sent perdu, d'ailleurs, il nous balance un accent italien pour meubler.... Rien que d'y penser je me marre devant mon écran.... C'est vraiment fou que Lelcouch tourne encore....
Basé sur le système des scènes tampons ( la caméra suit le personnage que la personne qu'elle suivait auparavant vient de rencontrer ), ce film nous innonde de portraits, de personnages stéréotypés destinés à illustrer la diversité du genre humain, et ca marche ! Lelouch met en place un parallelisme permettant de prouver avec quelle ignorance, insouciance voire même naïveté chacun vit son histoire sans se douter qu'involontairement il cotoie un nombre incalculable de personnes. Ainsi toutes les hitoires sont liées avec beaucoup d'adresse, l'intéraction entre chacun est détonnante et au final ce qui nous apparait comme privé est en fait le fruit d'une multitude d'incidences. Le temps passe et le film se centralise sur histoire tout en continuant de manière relative à construire sa galerie étant donné que chacun n'est plus rien sans autrui. Le film a adopté un principe du quel il ne peut sortir au risque de se contredire, ce système implique une grande densité qui sait nous captiver. On regrettera certaines longueurs qui a défault d'apporter de la profondeur cassent le rythme. Cependant ces longueurs se justifient aisément tant elles contribuent au réalisme et l'objectivité de la caméra. Le final est éblouissant, on constate ici encore le grand talent de Lelouch, qui fait passé à son tour la caméra à l'écran pour construire une fin en faisant semblant de ne pas la construire. Un film dans un film qui se substitue merveilleusement à la réalité de l'histoire. C'est un film brillant qui nous est offert par un réalisateur hors pair !
Comment ce film a t'il pu réaliser un si pitoyable, voire même inimaginable score d'audience ? Je ne comprends pas, vraiment pas. Avant cela, je n'avais (je crois) jamais vu de film de Claude Lelouch et, pire même, j'ai décidé de regarder ce film en ayant un a priori négatif ! Eh bien, quelle surprise ! Sincèrement, oubliez les jugements et regardez ce beau film de cinéma. Je suis vraiment déçu que Claude Lelouch n'ait pas pu réaliser sa trilogie. Je me décide donc à découvrir tout le reste de sa filmographie. Allez vite acheter le DVD, il ne coûte pas cher ! A peine 3,50€ un bénéfice large pour un si beau film !
Lelouch a raté le coche. Le premier volet de sa trilogie n'est pas l'ultime référence de comédie chorale qu'on aurait souhaité. Le choc final entre réalité et fiction brouille le joli miroir dans lequel on prenait un plaisir inratable à se voir. Pour le reste, c'est un miroir sans teint. Mitigé mais pas déçu, car y on retrouve la trop rare Maïwenn dans le rôle principal.
Un très bon Lelouch, n'en déplaise aux critiques qui, par les excès de leur lynchage, m'ont donné envie d'aller constater leur manque d'objectivité... Sans être un chef d'oeuvre, ce film constitue un agréable divertissement, très lelouchien quand même, donc à déconseiller aux personnes chroniquement atteinte du syndrome anti-Lelouch. Allez vous faire votre propre opinion...
je me flagelle encore tellement je m'en veux d'être allé voir ce film... tout est entendu, déjà vu, stéréotypé, sans fraicheur et sans saveur... ce n'est qu'une succession de stars qui articulent quelques répliques pseudo-droles et surtout pitoyables de pathétisme! Sincèrement, les Parisiens, si vous cherchez à rire, vous avez tous certainement des amis plus droles que les personnages de ce film... alors allez plutot voir vos amis!