Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Bérénice Balta
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Frédéric Strauss
Un Lelouch inégal, mais au lyrisme sincère. (...) le seul genre humain qui occupe le cinéaste, c'est le genre lelouchien, dont les Parisiens ne sont qu'un spécimen. (...) Lelouch est là tout entier, à prendre ou à laisser, avec son amour pour l'amour, ses succès et ses défaites, puisqu'il n'est question d'un bout à l'autre que de cela. Alors bien sûr, le coeur balance... du bon côté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Ragoût déjà goûté auquel le cinéaste ajoute une sauce hot : son apparition en himself, d'une invraisemblable mégalomanie.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Avec Les Parisiens, Lelouch est dans l'outre-espace du pathétisme (le "isme", pour dire combien l'affligeant chez Lelouch est érigé en doctrine et en vouloir-faire), pas seulement parce que le film atteint les abysses de la nullité, mais aussi et surtout parce cette mégalomanie se déverse sur l'écran avec un aplomb écoeurant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Florence Colombani
Dès les premières minutes, en multipliant les personnages et en tablant sur l'improvisation, Claude Lelouch s'engouffre dans une impasse, et ne retrouve jamais son chemin. (...) A ces ingrédients devenus banals, il faut ajouter un désir forcené de "faire moderne", dont témoignent l'emploi maladroit du format numérique et une scène ridicule dans une boîte de nuit échangiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Nicklaus
Lelouch filme une troupe d'acteurs de boulevard comme dans une pub pour la Poste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Seguret
Le dernier film de Claude Lelouch est pathétiquement foiré (...) On ne va pas s'acharner sur un film qui n'avait pas sa place dans un festival du cinéma américain, mais on commence à être inquiet de la tournure prise par le système Lelouch, en crise d'autisme et de forclusion.
MCinéma.com
par Camille Brun
La dernière réalisation de Claude Lelouch, premier épisode d'une trilogie à venir est loin de correspondre à l'appellation " beau film ". On est même dans le gloubi-boulga cinématographique le plus total. (...) Scènes interminables, immodeste film dans le film, invraisemblances, c'est même un véritable calvaire !
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Un Lelouch inégal, mais au lyrisme sincère. (...) le seul genre humain qui occupe le cinéaste, c'est le genre lelouchien, dont les Parisiens ne sont qu'un spécimen. (...) Lelouch est là tout entier, à prendre ou à laisser, avec son amour pour l'amour, ses succès et ses défaites, puisqu'il n'est question d'un bout à l'autre que de cela. Alors bien sûr, le coeur balance... du bon côté.
Cahiers du Cinéma
Ragoût déjà goûté auquel le cinéaste ajoute une sauce hot : son apparition en himself, d'une invraisemblable mégalomanie.
Chronic'art.com
Avec Les Parisiens, Lelouch est dans l'outre-espace du pathétisme (le "isme", pour dire combien l'affligeant chez Lelouch est érigé en doctrine et en vouloir-faire), pas seulement parce que le film atteint les abysses de la nullité, mais aussi et surtout parce cette mégalomanie se déverse sur l'écran avec un aplomb écoeurant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Dès les premières minutes, en multipliant les personnages et en tablant sur l'improvisation, Claude Lelouch s'engouffre dans une impasse, et ne retrouve jamais son chemin. (...) A ces ingrédients devenus banals, il faut ajouter un désir forcené de "faire moderne", dont témoignent l'emploi maladroit du format numérique et une scène ridicule dans une boîte de nuit échangiste.
Les Inrockuptibles
Lelouch filme une troupe d'acteurs de boulevard comme dans une pub pour la Poste.
Libération
Le dernier film de Claude Lelouch est pathétiquement foiré (...) On ne va pas s'acharner sur un film qui n'avait pas sa place dans un festival du cinéma américain, mais on commence à être inquiet de la tournure prise par le système Lelouch, en crise d'autisme et de forclusion.
MCinéma.com
La dernière réalisation de Claude Lelouch, premier épisode d'une trilogie à venir est loin de correspondre à l'appellation " beau film ". On est même dans le gloubi-boulga cinématographique le plus total. (...) Scènes interminables, immodeste film dans le film, invraisemblances, c'est même un véritable calvaire !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com