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Phil MacGyver
25 abonnés
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2,0
Publiée le 23 août 2024
J'ai regardé le bousin aujourd'hui, et j'étais plein de bonne volonté, car si ça sentait le nanar à 10 km, j'aime bien les acteurs et les comédies franchouillardes sans prétention font du bien de temps en temps. Pas au cerveau, mais souvent aux zygomatiques.
Donc j'attendais pas du Michel Audiard ou du Francis Veber, seulement un truc idiot mais rigolo qui fasse passer un bon moment sans trop se casser de neurones. Malheureusement, si les acteurs sont bons, le scénario qui veut jongler entre plusieurs situations vaudevillesques à base de mari trompeur qui s'emmêle les pinceaux, ne mène finalement à rien, à tel point qu'on se demande si le film a commencé malgré toutes les "péripéties" en carton. On a droit à une succession de séquences supposément "drôles" souvent pas drôles, assemblées avec du scotch épais. La plupart des dialogues sont très médiocres, et on se demande comment Luis Rego a pu se satisfaire de ça pour réaliser son 1er (et dernier) film. Et aidé du pourtant excellent Jacky Berroyer ? M'enfin ? Fallait peut-être arrêter de boire pendant l'écriture les gars, histoire que vous ne soyez pas les seuls à vous être amusés.
La personne avec qui j'ai tenté péniblement de finir ce film m'a dit "Je me demande comment un truc pareil va finir.", et moi de lui répondre "surtout que j'ai l'impression que ça n'a jamais vraiment commencé malgré tout le bordel ambiant." Hé bien vous savez quoi ? Y'a pas de fin ! En tout cas je ne l'ai pas vécu comme ça. J'ai été surpris tellement c'était abrupt, inattendu. J'avais presque l'impression que ça coupait en plein milieu d'une séquence. Déroutant ! Et affligeant surtout, tant ce scénar bordélique fait tout juste l'effet d'un 1er jet. J'ai l'impression d'avoir passé plus de temps à écrire cette critique, que ceux qui ont torché le scénar. Reste ça et là quelques moments sympas, surtout dus à Luis Rego et Michel Galabru (à la dégaine impayable). Mais bon, on ne fait pas de l'or avec de la m... Donc...
Ah c'est sûr, ce film n'était pas destiné aux Césars ni Oscars mais que c'est drôle. Aucun meurtre, aucune cascade spectaculaire Merci ! Oubliez les temps mort, des répliques qui fusent et des situations burlesques. Notez l'hommage à son pote Coluche, putain de camion... En tout cas, les acteurs sont épatants, je me suis bien marré.
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1,5
Publiée le 28 novembre 2018
« Là où il y a des frites » Ancien membre des Charlots, Luis Rego a plus d'une corde à son arc : musicien du chanteur Antoine, homme de radio, acteur, scènariste et dèsormais rèalisateur, avec ce "Poule et frites" qui raconte les amours balnèaires d'un marchand de frites! Fidèle à son goût de la rigolade, Rego (dont le T-shirt rappelle le maillot blanc à pois rouges du meilleur grimpeur du Tour de France) signe là un nanar truffè de quiproquos et de joyeux calembours, dans la plus pure tradition du vaudeville français avec la prèsence de Claire Nadeau qui peint des nains en cèramique et de sa maîtresse, Anèmone, en marchande de glace! Max Pècas n'a qu'à bien se tenir! Victor Fleming aussi...
C'est une film très marrant. Anemone ressplendissante.C'est de l'humour caustique.Le vendeur de frite est trop marrant. Le gamin assure. Les gags sont drôles.