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On remarque d'abord la qualité de l'écriture, le bonheur de peaufiner un texte au petit point avant de le confier aux interprètes, Sylvie Testud surtout, qui est de tous les plans ou presque (...). L'histoire ne convainc sans doute pas jusqu'au bout ; elle n'en rend que plus admirable la comédienne lâchée sans parachute et qui se pose sous les bravos.
Sans doute aurait-il fallu que Stéphanie Murat (...) respecte une des lois du Dogme de Trier et consorts : pas de meurtre sauf nécessité absolue. (...) Dans ce rôle d'average girl au fond noir, miracle, Sylvie Testud s'en sort. (...) L'actrice sauve le personnage (...). Précision, profusion, générosité des gestes, voilà la folie qui manque à tant d'acteurs français.
Un peu trop sérieux pour être une vraie comédie, un peu trop délirant pour faire croire à la psychologie des personnages, Victoire se débat bravement dans l'entre-deux, suscitant la sympathie mais pas l'adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cette hécatombe est sans doute trop systématique pour être à mourir... de rire. Mais il y a de bonnes répliques et, autour du charme de Sylvie Testud, les talents réunis de Mylène Demongeot, Pierre Arditi, Philippe Khorsand, Aurore Clément...
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Victoire est un objet abscons qui se situerait entre le mauvais Raoul Ruiz de Ce jour-là et la Chantal Akerman psychanalytique du beau Demain, on déménage : partout et nulle part, en somme, ou plutôt dans un entre-deux formel indigeste ne reposant que sur les ruptures et effets de manche d'un récit faussement déjanté.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'erreur est de croire que, du moment qu'on est dans l'absurde, on peut faire tout et n'importe quoi. Le talent de Sylvie Testud n'empêche pas le comique de tomber lourdement à plat.
Sylvie Testud (...) est une actrice souvent remarquable. Mal dirigée, elle exaspère et fatigue. (...) On aurait aimé se laisser entraîner dans un délire à l'humour " british ", mais là c'est raté.
Un premier film qui travaille dans le déjanté. Un genre périlleux dans lequel se fourvoie Stéphanie Murat. Sylvie Testud, Mylène Demongeot, Pierre Arditi, Philippe Khorsand, Catherine Samie ou Aurore Clément n'y peuvent mais. C'est raté.
Pour son premier long, Stéphanie Murat rabâche une mauvaise idée de court métrage sur une heure et demie et nous pond une farce vulgaire et complètement vaine sur fond de psy de comptoir. Pas de quoi crier victoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans " humour noir ", il y a " noir ", mais il y a " humour ", et la réalisatrice en est totalement dépourvue. Ce premier film (...) se voudrait truculent. Il n'est que vulgaire, confondant de niaiserie, de beaufitude et d'ennui. Que des producteurs aient consenti à miser même 1 euro sur cette stupidité laisse pantois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
On remarque d'abord la qualité de l'écriture, le bonheur de peaufiner un texte au petit point avant de le confier aux interprètes, Sylvie Testud surtout, qui est de tous les plans ou presque (...). L'histoire ne convainc sans doute pas jusqu'au bout ; elle n'en rend que plus admirable la comédienne lâchée sans parachute et qui se pose sous les bravos.
Cahiers du Cinéma
Sans doute aurait-il fallu que Stéphanie Murat (...) respecte une des lois du Dogme de Trier et consorts : pas de meurtre sauf nécessité absolue. (...) Dans ce rôle d'average girl au fond noir, miracle, Sylvie Testud s'en sort. (...) L'actrice sauve le personnage (...). Précision, profusion, générosité des gestes, voilà la folie qui manque à tant d'acteurs français.
Le Monde
Un peu trop sérieux pour être une vraie comédie, un peu trop délirant pour faire croire à la psychologie des personnages, Victoire se débat bravement dans l'entre-deux, suscitant la sympathie mais pas l'adhésion.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Score
Victoire ? Non, défaite d'une comédie pas à la hauteur de ses ambitions auxquelles seule Testud, en très grande forme, semble croire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Cette hécatombe est sans doute trop systématique pour être à mourir... de rire. Mais il y a de bonnes répliques et, autour du charme de Sylvie Testud, les talents réunis de Mylène Demongeot, Pierre Arditi, Philippe Khorsand, Aurore Clément...
TéléCinéObs
Sylvie Testud est époustouflante. Tant qu'elle ne laisse pas aux autres -et c'est le défaut du film- la place d'exister.
Chronic'art.com
Victoire est un objet abscons qui se situerait entre le mauvais Raoul Ruiz de Ce jour-là et la Chantal Akerman psychanalytique du beau Demain, on déménage : partout et nulle part, en somme, ou plutôt dans un entre-deux formel indigeste ne reposant que sur les ruptures et effets de manche d'un récit faussement déjanté.
Le Figaroscope
L'erreur est de croire que, du moment qu'on est dans l'absurde, on peut faire tout et n'importe quoi. Le talent de Sylvie Testud n'empêche pas le comique de tomber lourdement à plat.
MCinéma.com
Sylvie Testud (...) est une actrice souvent remarquable. Mal dirigée, elle exaspère et fatigue. (...) On aurait aimé se laisser entraîner dans un délire à l'humour " british ", mais là c'est raté.
Ouest France
Un premier film qui travaille dans le déjanté. Un genre périlleux dans lequel se fourvoie Stéphanie Murat. Sylvie Testud, Mylène Demongeot, Pierre Arditi, Philippe Khorsand, Catherine Samie ou Aurore Clément n'y peuvent mais. C'est raté.
Première
Pour son premier long, Stéphanie Murat rabâche une mauvaise idée de court métrage sur une heure et demie et nous pond une farce vulgaire et complètement vaine sur fond de psy de comptoir. Pas de quoi crier victoire.
Télérama
Dans " humour noir ", il y a " noir ", mais il y a " humour ", et la réalisatrice en est totalement dépourvue. Ce premier film (...) se voudrait truculent. Il n'est que vulgaire, confondant de niaiserie, de beaufitude et d'ennui. Que des producteurs aient consenti à miser même 1 euro sur cette stupidité laisse pantois.
Zurban
Malgré un casting solide, le scénario sonne creux et la mise en scène ne décolle pas.