Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
Mother India retient autant les leçons d'un lyrisme hollywoodien digne d'un King Vidor que celle d'un Dovjenko et du grand cinéma soviétique des années 1920. L'alternance de reconstitutions en studio et de plans en extérieur, l'usage du Technicolor créent un brouillage de la perception saisissant. Le tout plonge aujourd'hui le spectateur dans un état halluciné, extatique. Le discours matérialiste du film en appelle à une raison qui s'oppose au déchaînement furieux des émotions.
Fantastikindia
par Suraj
Un croisement étonnant du cinéma soviétique et des grandes fresques hollywoodiennes des années 50, avec un style et une thématique proprement indienne.
La critique complète est disponible sur le site Fantastikindia
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Un vrai mélodrame dans la pure tradition de Bollywood avec sa poésie, son lyrisme exacerbé, ses personnages poursuivis par une fatalité, un mauvais "karma" qui se débattent pour survivre dans un environnement hostile. Ça chante. Ça danse. C'est kitsch en diable ! Réalisé en 1957 par Mehboob Khan, le film est devenu un classique du genre. A ne pas manquer !
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Ebtre lyrisme flamboyant et kitsch clinquant, entre réalisme socialiste et théâtre frustre, ce classique bollywoodien mêle numéro dansés et anticolonialisme à la truelle.
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
L'expressionnisme dramatique de la photographie et de la couleur n'atteint certes pas à l'élégance et au dépouillement esthétique de Satyajit Ray, mais Mother India, dans ses flamboiements mélodramatiques, semble autant rattaché à cette veine de cinéma classique qu'aux dérives contemporaines des produits formatés Bollywood. Du genre commercial, le film offre aussi sa part de charme exotique : chants, intermèdes comiques.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Lyrisme exacerbé, lutte des pauvres contre les riches... Cette magnifique fresque populaire gravite autour d'hypnotisantes scènes de danses et de chants.
Zurban
par Eric Quéméré
Magnifique de sobriété, la belle Nargis compte aussi pour beaucoup dans l'attrait exercé par ce film fondateur de la tradition bollywoodienne qui ravira les amateurs de Lagaan et de Devdas.
Le Monde
Mother India retient autant les leçons d'un lyrisme hollywoodien digne d'un King Vidor que celle d'un Dovjenko et du grand cinéma soviétique des années 1920. L'alternance de reconstitutions en studio et de plans en extérieur, l'usage du Technicolor créent un brouillage de la perception saisissant. Le tout plonge aujourd'hui le spectateur dans un état halluciné, extatique. Le discours matérialiste du film en appelle à une raison qui s'oppose au déchaînement furieux des émotions.
Fantastikindia
Un croisement étonnant du cinéma soviétique et des grandes fresques hollywoodiennes des années 50, avec un style et une thématique proprement indienne.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Un vrai mélodrame dans la pure tradition de Bollywood avec sa poésie, son lyrisme exacerbé, ses personnages poursuivis par une fatalité, un mauvais "karma" qui se débattent pour survivre dans un environnement hostile. Ça chante. Ça danse. C'est kitsch en diable ! Réalisé en 1957 par Mehboob Khan, le film est devenu un classique du genre. A ne pas manquer !
Les Inrockuptibles
Ebtre lyrisme flamboyant et kitsch clinquant, entre réalisme socialiste et théâtre frustre, ce classique bollywoodien mêle numéro dansés et anticolonialisme à la truelle.
Libération
L'expressionnisme dramatique de la photographie et de la couleur n'atteint certes pas à l'élégance et au dépouillement esthétique de Satyajit Ray, mais Mother India, dans ses flamboiements mélodramatiques, semble autant rattaché à cette veine de cinéma classique qu'aux dérives contemporaines des produits formatés Bollywood. Du genre commercial, le film offre aussi sa part de charme exotique : chants, intermèdes comiques.
TéléCinéObs
Lyrisme exacerbé, lutte des pauvres contre les riches... Cette magnifique fresque populaire gravite autour d'hypnotisantes scènes de danses et de chants.
Zurban
Magnifique de sobriété, la belle Nargis compte aussi pour beaucoup dans l'attrait exercé par ce film fondateur de la tradition bollywoodienne qui ravira les amateurs de Lagaan et de Devdas.