Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par La rédaction
Improbable sur le papier, la greffe prend miraculeusement. C'est électrisant !
Aden
par La rédaction
Emaillé d'images d'archives souvent saisissantes, le film explore habilement les relations entre blues et hip-hop, à travers des rencontres entre vétérans et musiciens actuels. Une belle manière de tracer la continuité des musiques afro-américaines et en filigrane, un portrait de la communauté noire, des années 1950 à aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Stéphane Koechlin
L'idée – partir d' Electric Mud, expérience sonore tentée par Muddy Waters au crépuscule de sa carrière – est formidable. Marc Levin a trouvé la structure qui manque souvent aux films de la série. Elle permet de bien expliquer l'importance du blues de Chicago et surtout d'établir le lien entre le blues et le hip-hop, deux expressions essentielles de la culture noire, que l'on croyait indifférentes, voire hostiles l'une envers l'autre.L'un des meilleurs volets de la série.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par La rédaction
Souvent émouvant, ce documentaire donne aussi la part belle aux numéros musicaux dont certains laissent pantois. Ainsi, malgré quelques redondances, GODGATHERS AND SONS est intéressant, l'humilité et l'humour des bluesmen attirant une sympathie immédiate et une admiration sans faille.
Première
par Nicolas Schaller
Marc Levin dresse le portrait touchant d'immigrés marginaux (la famille juive-polonaise Chess, les bluesmen afro-américains) qui font fi des conflits raciaux pour vivre ensemble leur propre rêve américain. Quand la filiation se fait collaboration et que les musiciens vétérans du mythique album "Eletric mud" se retrouvent en studio avec les jeunots du rap, Godfathers and son instaure une émotion inattendue.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Vincent Ostria
Outre la formidable connivence entre Chuck D et Marshall Chess, qui servent de guides et de passeurs entre différents genre de la musique black, le film offre bien sûr son lot d'archives et d'images de concerts. Comme disait le grand Jean-Jacques G., "quand la musique est bonne", on ne s'en lasse pas.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Éric Biétry-Rivierre
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un documentaire mélancolique de Marc Levin. le personnage central de Godfathers and Sons (Les Parrains et les héritiers) n'est pas un musicien. On le découvre dans le public d'un club de Chicago, écoutant la chanteuse Koko Taylor. Marc Levin s'intéresse à Chess qui, avant de croiser le chemin de Mick Jagger et de Keith Richards, Chess avait été le témoin et l'acteur de l'épopée du label discographique qui porte son nom.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Stéphane Binet
Ce documentaire, qui suit les parallèles entre la vie des bluesmen et celle des rappeurs, vient grossir ls rangs des films qui mettent en avant des acteurs ou des histoires issus de la culture hip-hop.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Marc Levin a l'intelligence de prendre les chemins réels et concrets d'une rencontre intergénérationnelle : celle de Chuck D et de Marshall Chess. Hommage des jeunes aux anciens, du hip-hop au blues, symbolisé par une ultime séance d'enregistrement aux studios Chess.
Télérama
par François Gorin
Levin est un peu victime de sa bonne idée. Entre l'éternel enjouement du rejeton Chess, et la nouvelle bonhomie de Chuck D., il ne se passe pas grand-chose. (...) Symbole en queue de poisson de toute la série de sept documentaires consacrés au blues et initiée par Martin Scorsese, enrichissante mais plus forte en bonnes intentions qu'en moments de vérité brute.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Improbable sur le papier, la greffe prend miraculeusement. C'est électrisant !
Aden
Emaillé d'images d'archives souvent saisissantes, le film explore habilement les relations entre blues et hip-hop, à travers des rencontres entre vétérans et musiciens actuels. Une belle manière de tracer la continuité des musiques afro-américaines et en filigrane, un portrait de la communauté noire, des années 1950 à aujourd'hui.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
L'idée – partir d' Electric Mud, expérience sonore tentée par Muddy Waters au crépuscule de sa carrière – est formidable. Marc Levin a trouvé la structure qui manque souvent aux films de la série. Elle permet de bien expliquer l'importance du blues de Chicago et surtout d'établir le lien entre le blues et le hip-hop, deux expressions essentielles de la culture noire, que l'on croyait indifférentes, voire hostiles l'une envers l'autre.L'un des meilleurs volets de la série.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Souvent émouvant, ce documentaire donne aussi la part belle aux numéros musicaux dont certains laissent pantois. Ainsi, malgré quelques redondances, GODGATHERS AND SONS est intéressant, l'humilité et l'humour des bluesmen attirant une sympathie immédiate et une admiration sans faille.
Première
Marc Levin dresse le portrait touchant d'immigrés marginaux (la famille juive-polonaise Chess, les bluesmen afro-américains) qui font fi des conflits raciaux pour vivre ensemble leur propre rêve américain. Quand la filiation se fait collaboration et que les musiciens vétérans du mythique album "Eletric mud" se retrouvent en studio avec les jeunots du rap, Godfathers and son instaure une émotion inattendue.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Outre la formidable connivence entre Chuck D et Marshall Chess, qui servent de guides et de passeurs entre différents genre de la musique black, le film offre bien sûr son lot d'archives et d'images de concerts. Comme disait le grand Jean-Jacques G., "quand la musique est bonne", on ne s'en lasse pas.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Un documentaire mélancolique de Marc Levin. le personnage central de Godfathers and Sons (Les Parrains et les héritiers) n'est pas un musicien. On le découvre dans le public d'un club de Chicago, écoutant la chanteuse Koko Taylor. Marc Levin s'intéresse à Chess qui, avant de croiser le chemin de Mick Jagger et de Keith Richards, Chess avait été le témoin et l'acteur de l'épopée du label discographique qui porte son nom.
Libération
Ce documentaire, qui suit les parallèles entre la vie des bluesmen et celle des rappeurs, vient grossir ls rangs des films qui mettent en avant des acteurs ou des histoires issus de la culture hip-hop.
TéléCinéObs
Marc Levin a l'intelligence de prendre les chemins réels et concrets d'une rencontre intergénérationnelle : celle de Chuck D et de Marshall Chess. Hommage des jeunes aux anciens, du hip-hop au blues, symbolisé par une ultime séance d'enregistrement aux studios Chess.
Télérama
Levin est un peu victime de sa bonne idée. Entre l'éternel enjouement du rejeton Chess, et la nouvelle bonhomie de Chuck D., il ne se passe pas grand-chose. (...) Symbole en queue de poisson de toute la série de sept documentaires consacrés au blues et initiée par Martin Scorsese, enrichissante mais plus forte en bonnes intentions qu'en moments de vérité brute.