Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Memories of murder est fait de bouts qui ne se joignent pas, d'une succession implacable de ratés faisant obstacle à la juste vision de la situation politique du pays.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Contrairement à la virtuosité vide et à la relative bêtise d'un Sympathy for Mister Vengeance, Memories of murder s'impose par la simplicité de ses vertus : grande maîtrise technique, certes, mais aussi ironie pétillante, psychologie affinée et croyance toujours renouvelée dans la puissance des dialogues. (...) Lorsque la réalisation s'emballe (la poursuite survitaminée dans la nuit), Bong laisse éclater son talent de pur film-maker.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Michaël Melinard
Oeuvre drôle et tragique, Memories Of Murder est le somptueux film de l'arrivée de la modernité dans la campagne coréenne.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
S'inspirant d'un fait divers de la fin des années 1980, le cinéaste Bong Joon-ho joue avec les codes du polar et réussit à inventer un récit étonnant qui mélange l'atroce et le burlesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
L'épaisseur du film, qui atteint la folle densité littéraire de certains polars, ne vire jamais à la lourdeur bouffone et indigeste, trop attachée qu'elle est à contenir le mystère insondable et glaçant, presque fantastique, de nuits noires, ruisselantes et inévitablement assassines.
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Rarement une deuxième oeuvre n'a eu aussi peu de défauts. A la fois populaire et intelligent, le film déploie, sans esbroufe, image somptueuse, belle musique et scénario solide. Et, suprême réussite, il garde un esprit typique de la Corée. Ce n'est pas un hasard si, là-bas comme ailleurs, MEMORIES OF MURDER est unanimement salué.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Une chose est sûre : après ce film, les matins ne seront plus jamais calmes en Corée. (...) Des polars de cette trempe, secs, sombres, poignants, rugueux mais aussi lumineux, miraculeux, drôles, absurdes, décomplexés, on en redemande.
Aden
par La rédaction
Flic de la ville, flic de province... et, derrière eux, le décor (funèbre) d'une Corée encore sous l'emprise de la dictature militaire. Ces différents échos procurent au film une ampleur inattendue et donnent au jeu de piste des allures souterraines de grand film crypté sur une société tellement malade qu'elle finit par engendrer ses monstres.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est une comédie policière avec un tandem drolatique à la Laurel et Hardy, formé par deux policiers à côté de leurs pompes. Le plus étonnant, c'est que chaque détail du film, jusqu'à la peinture de ces deux extravagants personnages, est authentique. Joon-ho Bong s'est, en effet, inspiré de faits réels qu'il a relatés sans broder. Surprenants Coréens !
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Edouard Waintrop
Sur un tel thème, on pouvait craindre le pire, le genre Seven, terreur toc et effets massues, mais ce n'est pas ce type de partition que Bong Joon-ho, cinéaste de 35 ans, a voulu jouer pour son second long métrage. Il a pris cette histoire avec une rigueur teintée d'humour, a essayé de la dénouer comme n'importe quel polar et l'a plongée dans une description minutieuse de la société provinciale à l'époque de la dictature.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
L'originalité de Memories of murder tient dans la confrontation visuelle entre le caractère sugrenu du quotidien et de ses détails (...), et le logistique huilée des crimes. (...) Une fantasmagorie liée à un mélange inédit de précision sociologique, de cruauté froide, d'irréalité bleutée et de chamanisme.
Première
par Estelle Ruet
Polar existentialiste et fable contemporaine, Memories of murder a très logiquement raflé le Grand prix du dernier festival du film policier de Cognac. La mise en scène au scalpel nous plonge au coeur des personnages, de leurs doutes et de leurs contradictions, avec un sens implacable du déterminisme.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Ce "thriller de pays sous-développé", selon le cinéaste, revisite le genre entre burlesque et réalisme social. Mais "Memories of Murder", comme son nom l'indique, est avant tout une entreprise archéologique, une réflexion sur la manière dont le passé, même occulté, ne cesse de hanter le présent.
Télérama
par Pierre Murat
C'est un petit polar que ses origines rendent forcément mystérieux. Joon-ho Bong joue très habilement un rien trop ostensiblement, peut-être sur le décalage. Sur l'hystérie des personnages. Grotesque et effrayant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Le nouveau cinéma coréen, avec ce Memories of murder en tête n'est qu'une tentative faible, molle, et un peu laborieuse de se montrer aussi grand que ses cousins. On préfère de loin l'inédit Public Enemy de Kang Woo-suk, qui avec son énergie iconoclaste à la Fuller et sa radicalité à la Fukasaku arrive pourtant à ne jamais rien devoir.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Cahiers du Cinéma
Memories of murder est fait de bouts qui ne se joignent pas, d'une succession implacable de ratés faisant obstacle à la juste vision de la situation politique du pays.
Chronic'art.com
Contrairement à la virtuosité vide et à la relative bêtise d'un Sympathy for Mister Vengeance, Memories of murder s'impose par la simplicité de ses vertus : grande maîtrise technique, certes, mais aussi ironie pétillante, psychologie affinée et croyance toujours renouvelée dans la puissance des dialogues. (...) Lorsque la réalisation s'emballe (la poursuite survitaminée dans la nuit), Bong laisse éclater son talent de pur film-maker.
L'Humanité
Oeuvre drôle et tragique, Memories Of Murder est le somptueux film de l'arrivée de la modernité dans la campagne coréenne.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
S'inspirant d'un fait divers de la fin des années 1980, le cinéaste Bong Joon-ho joue avec les codes du polar et réussit à inventer un récit étonnant qui mélange l'atroce et le burlesque.
Les Inrockuptibles
L'épaisseur du film, qui atteint la folle densité littéraire de certains polars, ne vire jamais à la lourdeur bouffone et indigeste, trop attachée qu'elle est à contenir le mystère insondable et glaçant, presque fantastique, de nuits noires, ruisselantes et inévitablement assassines.
MCinéma.com
Rarement une deuxième oeuvre n'a eu aussi peu de défauts. A la fois populaire et intelligent, le film déploie, sans esbroufe, image somptueuse, belle musique et scénario solide. Et, suprême réussite, il garde un esprit typique de la Corée. Ce n'est pas un hasard si, là-bas comme ailleurs, MEMORIES OF MURDER est unanimement salué.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Une chose est sûre : après ce film, les matins ne seront plus jamais calmes en Corée. (...) Des polars de cette trempe, secs, sombres, poignants, rugueux mais aussi lumineux, miraculeux, drôles, absurdes, décomplexés, on en redemande.
Aden
Flic de la ville, flic de province... et, derrière eux, le décor (funèbre) d'une Corée encore sous l'emprise de la dictature militaire. Ces différents échos procurent au film une ampleur inattendue et donnent au jeu de piste des allures souterraines de grand film crypté sur une société tellement malade qu'elle finit par engendrer ses monstres.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
C'est une comédie policière avec un tandem drolatique à la Laurel et Hardy, formé par deux policiers à côté de leurs pompes. Le plus étonnant, c'est que chaque détail du film, jusqu'à la peinture de ces deux extravagants personnages, est authentique. Joon-ho Bong s'est, en effet, inspiré de faits réels qu'il a relatés sans broder. Surprenants Coréens !
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Sur un tel thème, on pouvait craindre le pire, le genre Seven, terreur toc et effets massues, mais ce n'est pas ce type de partition que Bong Joon-ho, cinéaste de 35 ans, a voulu jouer pour son second long métrage. Il a pris cette histoire avec une rigueur teintée d'humour, a essayé de la dénouer comme n'importe quel polar et l'a plongée dans une description minutieuse de la société provinciale à l'époque de la dictature.
Positif
L'originalité de Memories of murder tient dans la confrontation visuelle entre le caractère sugrenu du quotidien et de ses détails (...), et le logistique huilée des crimes. (...) Une fantasmagorie liée à un mélange inédit de précision sociologique, de cruauté froide, d'irréalité bleutée et de chamanisme.
Première
Polar existentialiste et fable contemporaine, Memories of murder a très logiquement raflé le Grand prix du dernier festival du film policier de Cognac. La mise en scène au scalpel nous plonge au coeur des personnages, de leurs doutes et de leurs contradictions, avec un sens implacable du déterminisme.
TéléCinéObs
Ce "thriller de pays sous-développé", selon le cinéaste, revisite le genre entre burlesque et réalisme social. Mais "Memories of Murder", comme son nom l'indique, est avant tout une entreprise archéologique, une réflexion sur la manière dont le passé, même occulté, ne cesse de hanter le présent.
Télérama
C'est un petit polar que ses origines rendent forcément mystérieux. Joon-ho Bong joue très habilement un rien trop ostensiblement, peut-être sur le décalage. Sur l'hystérie des personnages. Grotesque et effrayant.
Fluctuat.net
Le nouveau cinéma coréen, avec ce Memories of murder en tête n'est qu'une tentative faible, molle, et un peu laborieuse de se montrer aussi grand que ses cousins. On préfère de loin l'inédit Public Enemy de Kang Woo-suk, qui avec son énergie iconoclaste à la Fuller et sa radicalité à la Fukasaku arrive pourtant à ne jamais rien devoir.