Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Jean Roy
À l'arrivée, c'est comme un cocktail doux amer, sucré salé, une apparente absence de rigueur fruit d'un travail sans rémission. On pensait connaître Rome. On vient de la découvrir. À quand semblable film dans notre capitale ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Aden
par Philippe Piazzo
On ne retrouve pas ici la tension extrême, entre regard chaleureux et critique acerbe, qui a fait le prix de ses plus beaux films. (...) Gente di Roma est en quelques sorte un film humaniste qui serait à bout de souffle. Ce qui fait qu'on peut aussi avoir envie de l'aimer et de le défendre un peu plus que d'autres.
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Florence Colombani
Scola montre avec insistance le racisme ordinaire contre les immigrés, ces "extra-communautaires" qui obsèdent le gouvernement et une partie de la population (...). Mais la forme paraît bien maladroite, absorbée par de fausses audaces et le scénario est trop contraignant. Reste une tentative intéressante quoique imparfaite de saisir la nature d'une ville mythique et de ses habitants.
Libération
par La Rédaction
Un album d'impressions, parfois tendres, parfois caustiques, mais un cinéaste sur le déclin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) comme dans tous les films à sketchs, dont l'Italie était une fervente productrice à une époque, il y a du bon et du moins bon. (...) Surnagent malgré tout des moments remarquables, tour à tour touchants ou drôles.
Positif
par Paul Louis Thirard
Voici un film qui offre une séduction très particulière (...). On a le droit de se laisser charmer, de chercher (dans les bonnes librairies romaines) les recueils de Belli (...) et de se demander si ce restaurant (près du portique d'Octavie) n'est pas le même que celui du Dîner.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
Modeste et humaniste, Ettore Scola fait de sa ville un lieu de mixité où vivent, sinon en paix, du moins dans une cohabitation pacifique, des centaines de milliers d'immigrés parfois ennemis (...). La mise en scène est molle, par moments. Mais le regard de Scola est généreux, toujours, et très sombre, parfois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Ce genre de film embourgeoisé, insidieusement conservateur, ne fait évidemment l'intérêt de personne.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Film à sketches plus consternants les uns que les autres sur quelques prétendus spécimens de l'âme romaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gérard Delorme
L'ensemble, qui se voudrait un carnet de croquis, est trop hétéroclite pour dégager une impression cohérente. Le style varie entre schéma grossièrement crayonné ou portrait posé. Le discours est omniprésent et sonne plus ou moins creux selon qu'il est écrit ou pris sur le vif. Très inégal donc.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Ce documentaire ne tient pas ses promesses et finit par ressembler à une simple galerie de portraits, certes pas inintéressants mais pas vraiment percutants non plus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
À l'arrivée, c'est comme un cocktail doux amer, sucré salé, une apparente absence de rigueur fruit d'un travail sans rémission. On pensait connaître Rome. On vient de la découvrir. À quand semblable film dans notre capitale ?
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Aden
On ne retrouve pas ici la tension extrême, entre regard chaleureux et critique acerbe, qui a fait le prix de ses plus beaux films. (...) Gente di Roma est en quelques sorte un film humaniste qui serait à bout de souffle. Ce qui fait qu'on peut aussi avoir envie de l'aimer et de le défendre un peu plus que d'autres.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Scola montre avec insistance le racisme ordinaire contre les immigrés, ces "extra-communautaires" qui obsèdent le gouvernement et une partie de la population (...). Mais la forme paraît bien maladroite, absorbée par de fausses audaces et le scénario est trop contraignant. Reste une tentative intéressante quoique imparfaite de saisir la nature d'une ville mythique et de ses habitants.
Libération
Un album d'impressions, parfois tendres, parfois caustiques, mais un cinéaste sur le déclin.
MCinéma.com
(...) comme dans tous les films à sketchs, dont l'Italie était une fervente productrice à une époque, il y a du bon et du moins bon. (...) Surnagent malgré tout des moments remarquables, tour à tour touchants ou drôles.
Positif
Voici un film qui offre une séduction très particulière (...). On a le droit de se laisser charmer, de chercher (dans les bonnes librairies romaines) les recueils de Belli (...) et de se demander si ce restaurant (près du portique d'Octavie) n'est pas le même que celui du Dîner.
Télérama
Modeste et humaniste, Ettore Scola fait de sa ville un lieu de mixité où vivent, sinon en paix, du moins dans une cohabitation pacifique, des centaines de milliers d'immigrés parfois ennemis (...). La mise en scène est molle, par moments. Mais le regard de Scola est généreux, toujours, et très sombre, parfois.
Chronic'art.com
Ce genre de film embourgeoisé, insidieusement conservateur, ne fait évidemment l'intérêt de personne.
Les Inrockuptibles
Film à sketches plus consternants les uns que les autres sur quelques prétendus spécimens de l'âme romaine.
Première
L'ensemble, qui se voudrait un carnet de croquis, est trop hétéroclite pour dégager une impression cohérente. Le style varie entre schéma grossièrement crayonné ou portrait posé. Le discours est omniprésent et sonne plus ou moins creux selon qu'il est écrit ou pris sur le vif. Très inégal donc.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ce documentaire ne tient pas ses promesses et finit par ressembler à une simple galerie de portraits, certes pas inintéressants mais pas vraiment percutants non plus.