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Akamaru
3 129 abonnés
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4,0
Publiée le 15 septembre 2011
Cette comédie douce-amère d'une tendresse infinie fit entrer les duettistes Eric Toledano et Olivier Nakache dans le gratin du genre en France.Le célibat y est montré sans fard,avec beaucoup d'humour et une note de mélancolie.Il y a quelque chose de pathétique à aller dans des speed-dating ou dans un groupe de soutien et de rencontres.Les réalisateurs l'ont très bien compris,captant la difficulté de communiquer et donc de nouer des liens solides dans la société moderne,où tout est une question d'optimisation du temps.Plutôt que de donner un happy-end à ce pesant problème,les réalisateurs choisissent plutôt de s'intéresser à l'amitié masculine entre le trentenaire timide et hypocondriaque et le quinquagénaire jovial et à la séduction intacte.C'est dans ce rapport amical sincère entre Jean-Paul Rouve(touchant comme tout)et Gérard Depardieu(exceptionnel de sobriété)que le film trouve un bel équilibre.Dans leurs solitudes respectives,les deux bougres apprendront qu'une belle amitié vaut bien plus qu'une recherche hasardeuse de l'amour...Tout un symbole!La mise en scène est un peu terne,et les personnages secondaires stéréotypés,mais "Je préfère qu'on reste amis"(2004)a tout compris pour attendrir et émouvoir en même temps.Et son thème général m'a beaucoup parlé.
Un duo qui fonctionne plutot bien, meme si le rythme du film n'est pas endiablé, on se laisse tout d'meme attendrir par ces deux personnages, plutot sympathique. Pas mal.
Premier film d’Olivier Nakache et Eric Toledano (devenus depuis incontournables avec "Intouchables"), "Je préfère qu’on reste amis" laisse entrevoir, au détour d’une scène, le talent de ses réalisateurs mais souffre de nombreuses imperfections qu’ils ont, depuis, bien gommé. Difficile, au vu des autres films du duo, de se contenter d’un scénario qui, certes, explorent des pistes originales mais qui manque cruellement de structure. Le film a bien du mal a trouver son sujet puisqu’il traite, pêle-mêle, de la crise de la trentaine, des dragueurs de speed-dating, de la relation entre deux opposés qui s’attirent, des agences de rencontres, le tout sans oublier un pompage de "Serial Noceurs" lorsque les deux héros s’incrustent dans des mariages où ils ne sont pas invités. Pour ne rien arranger, la mise en scène des réalisateurs ne fait pas l’économie de quelques trous d’airs que le manque de structure du scénario vient aggraver. Ce grand patchwork d’idées mal agencées a, au moins le mérite, de nous livrer quelques séquences savoureuses comme les interventions de la mère de Claude (Annie Girardot, qui joue avec sa maladie de façon épatante), les rendez-vous à l’agence matrimoniale (dont les méthodes sont pour le moins surprenante) ou encore l’hilarante discussion entre Serge et deux conquêtes potentielles venues s’encanailler à la capitale. Ces scènes doivent tout à l’originalité avec laquelle les réalisateurs ont choisi de les traiter (leur ton gentiment décalé se résume parfaitement par la place totalement improbable qu’ils ont donné aux distributeurs d’eau dans le film) et à la qualité des dialogues (qui changent de l’humour beauf si chères à bon nombres de comédies françaises) mais également à leur talent de directeurs d’acteurs. L’interprétation est sans doute le gros point positif du film et c’est avec plaisir qu’on retrouve, d’un côté, un Jean-Paul Rouve évident en trentenaire dépressif et, de l’autre, un Gérard Depardieu magnifique en dragueur pathétique (avec une candeur qui le rajeunit de 10 ans). Leur duo fonctionne d’ailleurs si bien à l’écran qu’il étouffe un peu le reste du casting. "Je préfère qu’on reste amis" est donc un sympathique premier film, plein de promesses qui ont été largement tenues depuis.
Une petite comédie sympatique qui permet à Depardieu d’enchaîner un duo comique de plus. Même tout ça n’est pas des plus hilarants on suit avec intérêt le parcours de ces grands enfants qui continuent à chercher l’âme sœur à travers les agences et autres nouveaux moyens modernes de rencontre comme les speed dating. Depardieu qui a désormais ses grandes années bien derrière lui a su ressortir de l’ornière calamiteuse dans laquelle il s’était embourbé de 1993 à 2003. Jean-Paul Rouve quant à lui reprend les rôles tenus autrefois par Jugnot. A noter Girardot qui joue une mère atteinte de la maladie d’Alzeimer alors qu’elle en était sans déjà atteinte au moment du tournage.
Le final est franchement pas terrible, mal fichu, confus, mal amené. La réalisation, pourtant signée par les futurs cinéastes d'"Intouchables", est fade et sans relief. Pour résumé, si on peut trouver une bonne raison de regarder ce film c'est pour ses acteurs. Gérard Depardieu est toujours dans le ton juste en célibataire pique-assiette qui ne supporte pas la solitude, et chose très étonnante Jean-Paul Rouve l'est aussi en célibataire hypocondriaque qui ne supporte pas la solitude (ce qui aurait tendance à faire dire que la seule catégorie d'hommes qui supportent la solitude ce sont ceux qui sont mariés en fait !!!). Quelques scènes arrivent à nous parler en grande partie grâce au duo principal.
Je préfére qu'on reste amis est une agréable comédie réalisée par le tandem Eric Toledano-Olivier Nakache. Avec pour interprétes principaux, Jean-Paul Rouve et Gérard Depardieu. Le premier fait irresistiblement penser au regretté Patrick Dewaere et on se surprend à penser que c'est peut-être grâce à cette ressemblance frappante que Depardieu a accepté de lui donner la réplique. Le film nous décrit la vie de Claude Mendelbaum informaticien à la Défense, timide et hypocondriaque qui n'arrive pas à trouver la femme de sa vie et qui croise la route de Serge, un séducteur-menteur comme pas deux. Alors que rien n'est supposé les réunir, ils vont s'entendre comme larrons en foire et écumer les mariages et autres speed-datings. Sous couvert d'une comédie légère, les deux réalisateurs montrent une société qui a du mal à supporter la solitude, à s'assumer, pleine de faux-semblants où il est désormais difficile de communiquer à l'ére de la communication et de bien s'entendre, où tout doit être parfait tout de suite sans aucun droit à l'erreur. Troublant est le rôle de Annie Girardot qui joue avec beaucoup d'humour et de tendresse une mère malade d'alzheimer alors qu'elle en est atteinte dans la vie. La fin de l'histoire voire même l'histoire toute entière pourrait se résumer ainsi : qui trouve un ami trouve un trésor.
Symptomatique des tares habituelles attachées à la comédie française, "Je préfère qu'on reste amis" présente un intérêt à peu près nul. Entre manque crédibilité, absence d'humour et pauvreté des dialogues, il est bien difficile de lui trouver un quelconque intérêt. Le jeu incertain de Jean-Paul Rouve est heureusement compensé par la prestation d'un Depardieu égal à lui-même.
Difficile à croire mais avant de réaliser des petits chefs d'oeuvre de la comédie française, le tandem Toledano/Nakache ont commencé leur filmographie par cette comédie sans goût qui n'a pour unique force le duo Rouve/Depardieu et encore puisque l'on ne peut pas dire que les personnages soit franchement intéressants puisque se sont de véritables clichés ambulant. C'est surtout le personnage de Depardieu qui est vraiment sans saveur, pathétique et agaçant, Depardieu n'y est pour rien mais son rôle est vraiment mauvais. Pour une comédie on peut pas dire qu'on soit plié en deux, on est à des années lumières de l'humour de Intouchables, Tellement proches ou plus anciennement de Nos jours heureux. Bref, c'est une comédie à oubliée mais depuis le tandem Toledano/Nakache a fait du chemin et on peut les pardonner aisément de ce rater cinématographique.
Une comédie française de plus qui sent le déjà vu, qui s'essouffle très vite, même JP Rouve n'arrive pas à faire remonter le niveau et au contraire il le fait descendre très vite, encore plus que depardieu qui est super lourd.
Petite comédie légère et plaisante avec un duo : Rouve , Depardieu qui fonctionne bien mais globalement le film n'est pas exceptionnel et ne fonctionne qu'a moitie .
Un film de potes qui aborde avec tendresse et souvent avec des longueurs le thème de la solitude. On pensait que le schéma de l’homme timide face à celui qui est sûr de lui allait se renverser mais non! Malgré tout c'est très inégal et cette dernière partie avec la mariée et New York est largement ennuyeuse. Il manque quelque chose pour faire décoller le film. Et il ne fait rien avec le mec de l'agence... Décevant
Une comédie plutôt moyenne, emporté par un duo d'acteur à leur place ; mais qui n'excelle pas dans au maximum leur prestation. LE résultat est assez moyen. L4histoire de base, étant deja minime. Au vue des acteurs, ont espéré que le l'objectif de faire rire et transporter le spectateur soit là ; mais sans jamais y arriver. Loin d'y trouver des longeures, le film se veut en lui même ; un peu longuet. Pas de séquence transcendante, même si ont n'attend toujours le petit truc en plus... LE film ne décolle jamais vraiment. Donc pourquoi préciser, dans le scénario ; la particularité de chacun ; si celle ci n'est pas traité un minimum. Se regarde du fond de l'oeil, histoire de passer le temps. Mais ne relève en aucun cas de la comédie de l'année. On répfèrera sur ce réalisateur, la perfection d'intouchable.
Beau casting mais l'intrigue est attendu, les blagues manque de créativité. Le plus interessant reste ce questionnement sur les manières de se rencontrer et de créer du lien dans notre société dite hypermoderne.