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Malevolent Reviews
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3 207 critiques
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3,5
Publiée le 4 mai 2013
Trois ans après avoir aidé la tante de Séraphin à se débarrer d'un méchant entrepreneur, la Coccinelle est de retour pour une troisième aventure se déroulant cette fois-ci en France. Et si Robert Stevenson n'est plus de la partie, on peut acclamer le retour du héros du premier film, le génial Dean Jones. Unique rescapé de la saga, il va courir à bord de sa fidèle Coccinelle - bêtement renommée Roméo chez nous et non plus Choupette - contre deux principaux concourants : une Américaine féministe (Julie Sommars) et un odieux Allemand (l'improbable Eric Braeden). Car oui, La Coccinelle à Monte-Carlo voit le grand retour des fameuses courses automobiles absentes du deuxième opus, ici bigrement efficaces et très bien rythmées au même titre que les scènes d'humour. Le scénario, lui, se voit agrémenter de deux sous-intrigues palpitantes, la première étant la romance entre Roméo et une voiture concurrente. L'autre sous-intrigue consiste à pimenter le tout avec une classique histoire de vol de diamants dissimulés à l'intérieur de Roméo, l'occasion pour nos héros de se frotter à nouveau à de pathétiques brigands. Le film se situe par ailleurs dans la ville la plus romantique du monde : Paris, avec ses petits clichés de l'époque et ses joyeux habitants (à noter les courtes apparitions de Gérard Jugnot et Josiane Balasko, alors inconnus du grand public). Quant aux courses-poursuites, elles sont ici très nombreuses, que ce soit sur les différents circuits, dans les rues parisiennes ou en pleines cambrousses du pays. Mélange judicieux des thèmes principaux des deux précédents films (les courses et l'affrontement contre des bandits), ce troisième opus reste l'un des meilleurs de la saga, indubitablement.
Bourré d'humour, à tous les niveaux : Police, pilotes automobiles, méchants. Un diamant est volé et caché dans la coccinelle. Le casting est bien, les voix françaises expressives. Des petites musiques tout le long du film et de superbes voitures en plus de la coccinelle (Roméo en français) qui va tomber amoureux d'une Lancia et lui faire les yeux doux. Le film a sans doute contribuer au succès de la coccinelle. Encore aujourd'hui; je ne me lasse pas de ce film et de son humour !
Herbie ne sera finalement pas restée au garage très longtemps, rebaptisée Roméo pour l’occasion l’appel de la route et de la compétition était devenu trop grand. Nous retrouvons ainsi Dean Jones dans le rôle-titre mais aussi l’ambiance compétitive qui avait cruellement fait défaut au second épisode. La coccinelle débarque en France pour concourir lors de la mythique course Paris-Monte-Carlo, mêlé à cela une intrigue que l’on pourrait qualifier de policière autour de voleurs de diamants mais c’est surtout la toute relation amoureuse qu’entretien la coccinelle avec une Lancia qui est mis en avant. Une relation assez mal gérée et qui devient vite agaçante car elle détériore le rythme de l’histoire bien que sans cela le film aurait perdu de son charme. L’action se passant en France on peut apercevoir Josianne Balasko et Gérard Jugnot en serveur dans une scène savoureuse. Avec "La Coccinelle à Monte-Carlo", Vincent McEveety réalise un film divertissant pour les enfants petits et grands.
La coccinelle à Monte Carlo est une excellente comédie bourrée d'humour qui a bercé mon enfance. Je l'ai vu beaucoup de fois, je ne m'en lasserai jamais ! Le casting est excellent, on notera l'apparition de Gérard Jugnot dans une scène hilarante. A découvrir en famille !!
Un bon divertissement. On retrouve l'esprit du premier volet, avec également le protagoniste de celui-ci comme acteur principal. Le scénario est très simple, mais assez correct. Un bon film pour enfant !
On retrouve Dean Jones alias Jim Douglas au volant de la Coccinelle pour une nouvelle course, ce qui ne fait pas de mal à l'image du film. Ue intrigue policière en pleine course, c'est sympathique mais pas aussi plaisant que le premier volet. La Coccinelle change de nom pour l'histoire d'amour entre les voitures et l'image des Français est risible. On y trouve Gérard Jugnot en serveur dans un de ses premiers rôles, c'est assez surprenant. Bref, un petit film marrant qui remonte un peu le niveau de la saga mais le meilleur reste le premier.
La coccinelle à Monte-Carlo est un bon film de Vincent McEveety. Le scénario est excellent, la mise en scène est correcte, le film est divertissant même si il est incroyablement plat, les acteurs sont convaincants on retrouve notamment à l’affiche du film Dean Jones, Don Knotts ou encore Julie Sommars… Bref c’est un bon film mais on est très loin du chef-d’œuvre, 13 / 20.
Ce troisième volet, plus intéressant que le second, marque le retour de Dean Jones au volant de la Coccinelle. Seul problème Choupette est devenue Roméo. L'autre bonne chose de ce film est l'apport d'une enquête policière et les gags qui vont avec. La Coccinelle nous montre, dans ce volet de la série, un visage plus humain et plus tendre. Et comme c'est une comédie et que nous avons de l'humour, nous rigolerons de toutes les exagérations sur les français!!
Notre chère Choupette participe à un rallye automobile pour notre plus grand plaisir. Vas-y t'es la plus forte. Un film très agréable pour les petits et les grands.
on retrouve l'ambiance course du premier épisode, ainsi que le retour de Jim Douglas au volant, mais il manque quelquechose.Moins magique peut etre, plus axé sur le policier comique et la course automobile, herbie est moins craquante. Ne parlons pas de l'image des francais dans ce film, c'est assez douloureux...On sourira devant l'un des premiers roles de Gerard Jugnot, et devant les superbes prises de vue parisiennes.
Peut-être pas le meilleur de la saga, mais il y a quand même de l'humour et la Coccinelle a toujours autant de personnalité. Au détour d'une scène, il y a une apparition de Gérard Jugnot, qui nous livre un sketch génial !