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Chris46
519 abonnés
978 critiques
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3,5
Publiée le 11 juin 2014
3ème volet de la saga de la coccinelle . Jim Douglas ( Dean jones ) décide de reprendre le volant de sa coccinelle pour le rallye de monte Carlo en compagnie de son nouveau mécanicien et co pilote nommée weely applegate ( don knotts ) . Il espère fait un retour en fanfare après 12 ans d'absence sur les circuits en remportant le rallye. Mais tout ne va pas se passer comme prévu car Ils devront faire face a une bande de voleur qui ont cacher un diamant dans le réservoir de la coccinelle et qui veulent le récupérer ... Ce 3ème volet est réussi. On retrouve un peu l'esprit du premier volet et c'est agréable . Déjà on a le retour de Dean Jones dans le rôle de Jim Douglas et c'est très sympa de le revoir dans ce rôle . Il manquait vraiment dans le second volet . Il est accompagner dans cette nouvelle aventure par don knotts dans le rôle de l'hilarant weely applegate son nouveau mécano . Le scénario permet le retour des courses de voitures et c'est très agréable . On voyage sur les routes entre Paris et monte Carlo et c'est cool . Le film contient son lot d'humour et d'action . Cette opus est un des meilleurs de la saga avec le premier . On passe un bon moment en compagnie de notre coccinelle préférer .
Un bon divertissement. On retrouve l'esprit du premier volet, avec également le protagoniste de celui-ci comme acteur principal. Le scénario est très simple, mais assez correct. Un bon film pour enfant !
Notre chère Choupette participe à un rallye automobile pour notre plus grand plaisir. Vas-y t'es la plus forte. Un film très agréable pour les petits et les grands.
LE grand film qu'on attendait, enfin on se sent transcender et émerveillé par une coccinelle 53 toujours plus punchante et surprenante ! Des jeux d'acteurs géniallissimes et un jeune acteur français (Gérard Jugnot) qui nous montre toute l'étendue de son talent, un grand acteur à en devenir ! Vivement la suite :)
Trois ans après avoir aidé la tante de Séraphin à se débarrer d'un méchant entrepreneur, la Coccinelle est de retour pour une troisième aventure se déroulant cette fois-ci en France. Et si Robert Stevenson n'est plus de la partie, on peut acclamer le retour du héros du premier film, le génial Dean Jones. Unique rescapé de la saga, il va courir à bord de sa fidèle Coccinelle - bêtement renommée Roméo chez nous et non plus Choupette - contre deux principaux concourants : une Américaine féministe (Julie Sommars) et un odieux Allemand (l'improbable Eric Braeden). Car oui, La Coccinelle à Monte-Carlo voit le grand retour des fameuses courses automobiles absentes du deuxième opus, ici bigrement efficaces et très bien rythmées au même titre que les scènes d'humour. Le scénario, lui, se voit agrémenter de deux sous-intrigues palpitantes, la première étant la romance entre Roméo et une voiture concurrente. L'autre sous-intrigue consiste à pimenter le tout avec une classique histoire de vol de diamants dissimulés à l'intérieur de Roméo, l'occasion pour nos héros de se frotter à nouveau à de pathétiques brigands. Le film se situe par ailleurs dans la ville la plus romantique du monde : Paris, avec ses petits clichés de l'époque et ses joyeux habitants (à noter les courtes apparitions de Gérard Jugnot et Josiane Balasko, alors inconnus du grand public). Quant aux courses-poursuites, elles sont ici très nombreuses, que ce soit sur les différents circuits, dans les rues parisiennes ou en pleines cambrousses du pays. Mélange judicieux des thèmes principaux des deux précédents films (les courses et l'affrontement contre des bandits), ce troisième opus reste l'un des meilleurs de la saga, indubitablement.
Ce troisième opus de la franchise "La Coccinelle", cette fois réalisé par Vincent McEveety et sorti en 1977, est à l'image des deux précédents opus, c'est-à-dire pas mal mais sans plus. Nous retrouvons cette fois Jim Douglas accompagné d'un nouvel acolyte pour faire la course Paris/Monte-Carlo, toujours avec la Coccinelle bien-sûr. Bon alors du coup, soit le film a fait l'impasse sur le précédent (dans lequel Choupette avait prit sa retraite et vivait avec une vieille dame), soit il se situe entre le premier et le second, sinon cela n'a pas trop de sens. Enfin bref, sans surprises, le scénario est plutôt classique et convenu même si cette fois, il est assez progressiste envers les femmes, ce qui s'inscrit bien dans le contexte de l'époque. Enfin, notons malgré tout que le film ne prend pas trop de risques car il adopte un discours progressiste durant la majorité du film en mettant en avant les capacités d'une femme pilote de course pour finalement la spoiler: faire couler dans une mare (il faudra attendre l'espèce de remake de 2005 pour réellement avoir un personnage féminin important). Sinon, en dehors de cela, le film reste assez gentillet, est un poil plus rythmé que les deux autres mais fonctionne toujours sur le même schéma narratif, ce qui est un peu dommage. Ainsi, les personnages principaux devront se concentrer sur la course pendant que la voiture devra se préoccuper de problèmes que les protagonistes (un peu débiles du coup) n'ont pas conscience. Le scénario n'est pas le seul à jouer avec la continuité narrative de la saga puisque la V.F. change le prénom, et du coup le genre, de la voiture. En effet, la voiture s'appelle Herbie en V.O. mais ils ont décidés en français de l'appeler, dans les deux premier films, Choupette. Simplement ici, la voiture tombe amoureuse d'une Lancia et au lieu de faire une voiture lesbienne, "Choupette" est changé en "Romeo". En ce qui concerne les acteurs, ils jouent dans l'ensemble plutôt bien mais surtout, nous retrouvons Dean Jones. "La Coccinelle à Monte-Carlo" est donc un divertissement plutôt efficace même s'il n'est pas marquant.
La coccinelle à Monte Carlo est une excellente comédie bourrée d'humour qui a bercé mon enfance. Je l'ai vu beaucoup de fois, je ne m'en lasserai jamais ! Le casting est excellent, on notera l'apparition de Gérard Jugnot dans une scène hilarante. A découvrir en famille !!
Suite des aventures de la célèbre Coccinelle Herbie, "La Coccinelle à Monte Carlo" ne se montre pas plus réussie que ces prédécesseurs. Oubliant rapidement les quelques sourires devant les quelques effets de montage très visibles, le spectateur sombre rapidement dans le mal vieilli et le ridicule. C'est pourtant avec Dean Jones, qui avait initié cette petite aventure sordide quelques années plus tôt, que démarre cet épisode. En dépit de petits efforts d'écriture qui tentent laborieusement d'élever notre appréciation, "La Coccinelle à Monte-Carlo" fait une sortie de piste qui nous assomme aussi brutalement de M.Derrick.
Ce troisième volet, plus intéressant que le second, marque le retour de Dean Jones au volant de la Coccinelle. Seul problème Choupette est devenue Roméo. L'autre bonne chose de ce film est l'apport d'une enquête policière et les gags qui vont avec. La Coccinelle nous montre, dans ce volet de la série, un visage plus humain et plus tendre. Et comme c'est une comédie et que nous avons de l'humour, nous rigolerons de toutes les exagérations sur les français!!
Après un 2ème volet légèrement décevant, on retrouve l'esprit du 1er opus, pour de nouvelle aventure bourré d'humour et de pointe de vitesse décoiffant. Divertissant !
"La Coccinelle à Monte-Carlo" est le troisième volet de la saga. D'un point de vue personnel, j'avais vraiment aimé le précédent volet. Même si l'original était très moyen, j'étais ressorti satisfait du visionnage de ce deuxième épisode, lui qui était une comédie burlesque assumée à 100 %. Par conséquent, j'ai été intrigué de voir le comédien principal du premier volet revenir pour celui-ci et de voir que l'on allait retourner à un film bien plus centré sur la course. Finalement, même si elle n'est pas au niveau du précédent, je trouve que cette suite est un peu plus appréciable que le premier épisode. On retrouve ce côté bon enfant que l'on avait lors du second, avec une Choupette qui réussit à être attachante et qui dégage une vraie personnalité malgré sa condition de n'être qu'une voiture. Forcément, on tombe sur quelque chose d'assez basique, avec de la romance, mais cela donne quand même une personnalité à ce personnage. L'ensemble est plutôt très agréable à regarder, beaucoup de séquences ont réussi à me marquer et à parfaitement me divertir. En tant que français, je pense que la scène avec Gérard Jugnot reste la plus drôle. C'est uniquement basé sur du comique muet, il n'y a aucun dialogue, et c'est ce qui fait tout le charme de ce passage. Pour le reste, on retrouve donc quand même quelques éléments issus du premier, notamment avec cette fameuse course. Globalement, ces séquences sont bien mieux gérées que lors de l'original. Elles sont plus impressionnantes, plus longues et nettement mieux rythmées. Maintenant, elles ne sont pas parfaites pour autant, la faute à un gros défaut qui vient les parasiter, et pas seulement que pour elle. Celui-ci venant du scénario, car si l'intrigue reste appréciable, elle est divisé en deux, avec le côté "course" de l'un et l'histoire d'un bijou volé de l'autre. Et je dois dire que cette deuxième intrigue peine à convaincre et ralenti considérablement le rythme par moments. Lors du final, on aimerait se concentrer sur la course, mais on est gêné par ce second récit. En soi, je comprends l'idée, mais on sent véritablement que ce dernier est là pour combler, qu'il est ici pour masquer le fait que le long-métrage allait être trop court sans son ajout. Mais hormis ces moments, je recommande quand même le film, aussi bizarre que cela puisse paraître. Je pense qu'il reste très agréable à regarder, et plutôt divertissant dans l'ensemble. C'est loin d'être parfait, mais pour une petite comédie familiale, cela fait totalement l'affaire. Pour conclure, une bonne comédie de son époque.