Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
lillois
103 abonnés
454 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 26 septembre 2007
Par principe, je boycotte les remakes instantanés de films asiatiques ("The Ring", "Dark Water" etc). Néanmoins l'occasion s'est présentée de voir celui-ci alors je l'ai regardé par curiosité (sans avoir vu l'original de Takashi Shimizu). Une double bizarrerie réside dans l'idée d'avoir confié la tâche au même réalisateur et maintenu l'intrigue au Japon ! Une famille américaine achète ainsi à Tokyo une jolie maison inoccupée depuis trois ans. Manque de pot, la colère n'a pas encore évacué les lieux. C'est ce que découvrira également une autre américaine, Karen, bénévole dans une association d'aide aux personnes. Rendue anecdotique par une mise en scène plate et un temps d'apparition à l'écran réduit, la présence de Sarah Michelle Gellar ne constitue même plus un atout. Ses fans ont probablement dû être déçus de la voir se fourvoyer dans ce minuscule film d'horreur avançant à deux à l'heure. En effet, la prédominance des flash-back a tendance à freiner le récit davantage qu'elle ne l'étoffe (car l'essentiel de ce qu'il faut savoir tient finalement en quelques répliques qu'il ne faut surtout pas louper pour comprendre comment se relient les éléments de l'histoire). Un must dans les catégories "même pas peur" et "quand est-ce que ça termine ?".
Le remake américain de Ju-On est bien réussi ! Il est aussi bien que l'original Japonais ! Vaut le détour avec un stress constant comme le "the grudge" fait ses fameux bruits
Je n'ai pour l'instant vu que le premier épisode "auto-remake" avec Sarah Michelle Gellar de cette Saga, et il est vrai que l'idée basique de la maison hanté est bien exploité ici. La respiration "asthmatique" de l'âme maudite reste bien quelques jours / semaines dans la tête.
The Grudge remplit son contrat : ça fait peur. On peut regretter quelques maladresses, des acteurs un peu justes, et certaines scènes qui portent à rire. Mais ne crachons pas dans la soupe, c'est un bon film d'horreur comme on les aime.
Déçu déçu déçu .... Que dire de plus . Personnellement j'ai trouvé qu'il ne faisait pas peur =O Effectivement y a un ou deux moments de suspens , mais le fait qu'on voit tout arriver à 5 kilomètres fait retomber l'ambiance , non vraiment déçu . Ok les acteurs relèvent un peu le film , mais pour ma part ça ne suffit pas.
Tout est dans le synopsis, après l'avoir lu il y a rien d'autre intéressent a savoir Le scénario est bien mince, les acteurs peut inspirés, la réalisation on ne peut plus classique. L'histoire est achée, sans transition, sans rythme, le scénario est vraiment un prétexte pour enchainer des scènes soit disant flippante mais ce n'est pas le cas. L'ambiance du film se résume à mettre de la musique un peut plus forte au moment ou ça doit faire peur et quelque apparition à la "ring" mais tellement prévisible qu’elles sont sans effet. Le film n'est pas aidé par son montage que j'ai trouvé assez mauvais. Franchement on a vu mieux, Ring par exemple, à oublier vite fait.
Utilisant judicieusement le dépaysement de ses personnages (toujours un peu creux malheureusement), Shimizu réalise la meilleure version de son histoire. Le récit est enfin parfaitement équilibré et les effets horrifiques ne perdent rien de leur efficacité, le cinéaste japonais faisant encore preuve de sobriété.
Dans le genre de l'horreur, The Grudge est quand même de haut niveau. Certes, les effets utilisés pour faire peur sont classiques, mais très efficaces. Le film est plongé dans une ambiance japonaise fort agréable, ce qui change des productions américaines de ce genre et rend le film plus original. De plus, The Grudge bénéficie d'un montage très intéressant et poussé, racontant 3 histoires différentes à 3 époques différentes de façon non chronologique. Bref, le film parvient même à faire peur sans nous plonger dans le noir, ce qui est plutôt balaise.
Ces dernières années, le cinéma nippon a révolutionné le cinéma dépouvante. The Grudge, la réplique de Takashi Shimizu, version américanisée, ne faillit pas à ce phénomène. Il maîtrise sa réalisation de bout en bout avec efficacité et sobriété dans les effets. Sarah Michelle Gellar quant à elle prouve à nouveau, après Havard Story, quelle peut porter un tel projet sur ses épaules avec un jeu tout en nuance et en profondeur. Certes, le scénario reste très conventionnel, il sagit encore dune maison maudite où se passent des phénomènes étranges. Mais lintérêt du film nest pas là. Juste une ambiance, malsaine, éprouvante qui va crescendo jusquà la fin où vous finissez recroquevillé sur votre voisin ou sous votre siège. Après The Ring, vous aviez du mal à regarder une cassette sans sursauter au moindre coups de téléphone ? Et bien là, accrochez-vous !!! Dans les sous-sols, les couloirs du métro, où quand vous finirez tard le soir, le fantôme de Toshio ne sera peut-être pas loin
Film très angoissant. Les acteurs sont bons et le film est très bien réalisé. Le succès du film est surement du à l'ambiance du film est est vraiment très réussie. Pas forcément effrayant mais très efficace tout de même. Le scénario est plutot bon mais il y avait moyens de trouver mieux. Très bon film.
Takashi Shimizu réalise là un bon remake avec cette version de The Grudge produite par le génial Sam Raimi, le réalisateur de la trilogie Evil Dead ou encore de la future trilogie Spider-Man. Tout simplement car ce dernier a eu la bonne idée de donner un petit budget s'élevant à 10 millions de dollars (En comparaison, The Ring en a couté plus de 60) au petit Shimizu, ce qui évitait déjà un tas d'esbrouffes visuelles comme dans les films hollywoodiens. Et en plus, il a demandé à ce que le film soit tourné au Japon comme l'original déjà tourné par Shimizu. Quant au film en lui-même, j'ai passé un très bon moment et je me suis laissé emporter par cette histoire de malédiction. Certaines scènes sont vraiment flippantes et le film n'est pas spécialement long, ce qui évite les baisses de rythme incessantes comme dans The Ring de Gore Verbinski. Et puis bon, étant un fan de la famille Raimi, je dois dire que le rôle de Alex tenu par Ted Raimi (Le frère de Sam) est vraiment plaisant. Sinon Bill Pulmann joue bien même si son rôle est petit mais très important dans l'histoire. Pour parler des fantômes, ils sont extraordinaires. Le rendu visuel est vraiment flippant et les bruits qu'ils font stressent le spectacteur qui est sur de sursauter dans les secondes qui viennent... mais qui se fait quand même avoir comme un bleu. Bon, un petit bémol au film qui m'oblige à ne lui mettre que trois étoiles: le scénario qui devient un peu bizarre dans les quinze dernières minutes du long-métrage. Et puis il faut dire que l'invraisemblance final où Sarah Michelle Gellar n'est même pas brulé après avoir mis le feu laisse le spectateur un petit peu pantois même si Takashi Shimizu n'a pas opté pour une happy-end ridicule pour faire en sorte que le film cartonne au box-office. Chose faite d'ailleurs avec plus de 110 millions de dollars aux USA et plus de 750 000 entrées en France. Tant que ce succès est mérité, ça va...
ce film est une bombe méme excellent,le scénario est super l'histoire prenante est tripante.en plus on sursaute du début j'usqu'a la fin est qu'elle plaisir de revoire sarah michelle gellar dans un tel role qu'elle tien a merveille bref c'est un bijou ce film a voir est a revoir
Le plus embêtant dans un film dhorreur, cest quand il ne fait pas peur, tout le monde est daccord Mais quand il en devient drôle et pathétique , il faut commencer à sinquiéter. Dans la catégorie américanisation de film dhorreur asiatique, ce Grudge en fait malheureusement partie. Et Sarah Michelle Gellar( qui avait pourtant besoin de relancer sa carrière) avec, qui fait la potiche aux cotés de second srôles tout aussi convaincant. Le film nest donc quune perpétuelle attente dun sursaut et dun éveil. Un éveil qui ne survient quau générique de fin ( ou avant ,comme moi). Ouf , cest fini.
N'allons pas dire que ce film fait peur (ce n'est pas The Ring), disons qu'il stresse et de ce côté c'est réussi. Les effets de terreur provoquent alors chez le spectateur une indulgence illimitée au scénario de deux pages et l'interprétation évaporée des acteurs venus de la télé.