Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Bernard Médioni
Avec une réelle habileté se construit de surcroît le malaise ambiant, grâce notamment à la disqualification des repères. (...) S'il évoque explicitement Ring, (...) le long-métrage de Takashi Shimizu évoque par ailleurs le très remarquable Enfant du Diable. Pareille parenté ne saurait toutefois entamer sa profonde originalité, ni son sens aigu de l'effroi.
Mad Movies
par Yannick Dahan
Le meilleur parti pris du film est sans coneste d'avoir conservé l'ancrage profond du sujet dans la culture japonaise, et d'avoir laissé Shimizu raconter à nouveau son histoire de fantôme dans son pays d'origine. (...) Une atmosphère pesante, comme une résignation, servie par une mise en scène froide et languissante qui prépare à merveille des séquences de pure terreur.
Score
par La rédaction
Non content d'avoir une scène choc toutes les 10 minutes, le spectateur ressent immanquablement la pression montée jusqu'à un final bien traumatisant. En plus d'être un authentique film de trouille, The Grudge est donc l'explosion internationale du réalisateur Takashi Shimizu. L'ouverture des frontières a vraiment du bon.
La critique complète est disponible sur le site Score
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
le cinéaste s'amuse à mêler, dans la droite ligne du néo-fantastique nippon contemporain, d'effrayantes apparitions spectrales et la peinture d'une réalité banale. La structure complexe du film masque mal le relatif vide d'une oeuvre où l'épouvante est désormais réduite à une rhétorique, maniée avec habileté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Autour du thème de la malédiction liée à une maison, tout l'arsenal habituel des accessoires qui font peur : du bruit tonitruant, un montage heurté, des éclairages tarabiscotés. Rien de neuf, mais ça fait toujours frissonner.
Paris Match
par Alain Spira
Bien sûr, la mise en scène est efficace et, lorsque l'on ne s'ennuie pas, on susaute, mais on attendait un peu plus d'inventivité dans le scénario. Ce film d'horreur n'en est pas une. Et c'est son plus gros défaut...
Positif
par yannick Dahan
Mâtiné d'effets chocs réussis, ce qui constitue la moelle épinière du projet The Grudge étonne davantage par sa mise en scène élaborée, faussement transparente, qui fait naître l'épouvante d'une atmosphère triste et désenchantée, que par ses effets de surprise attendus.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Destinée au grand public, la version américaine ne démérite pas pour autant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Olivier Pélisson
Si l'on retrouve des recettes déjà vues dans les films de Nakata, ce triomphe au box-office US produit par Sam Raimi est très efficace et empêchera les âmes sensibles de s'endormir...
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Après Alien versus Predator, voici Buffy versus Sadako. Un remake bâtard qui tente d'imposer sa singularité. (...) Le spectacle manque d'émotion comme de substance et peut lasser (...) mais cette relecture pas inintéressante et somme toute efficace reste l'occasion pour Shimizu de se faire un passeport, non seulement pour lui mais également ses acteurs japonais, dont l'excellent Ryo Ishibashi.
Aden
par Philippe Piazzo
Sarah Michelle Gellar, ex Buffy à la télé, se retrouve maintenant au cinéma, dans une maison hantée à Tokyo, avec un enfant dans un placard, plein de musique qui grince et des trucs dans le noir qui font peur...La routine.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Produit assez écoeurant pour sa fadeur opportuniste, un tel film est surtout un grand rendez-vous manqué. A l'heure où le gore crade revient en force à Hollywood, la greffe rêvée de l'entertainment US et du si singulier fantastique nippon prend des allures de gros pétard mouillé.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Alexis BERNIER
Que la fille fantôme aux cheveux d'encre et à la peau de lait caillé, déjà vue dans The Ring, Dark Water ou Deux soeurs, cesse ses simagrées qui n'impressionnent plus personne. A fortiori dans The Grudge, vendu comme le parangon de ces nouvelles terreurs asiatiques et qui se dégonfle passé un inquiétant préambule.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Shimizu se prend les pieds dans tous les tapis : histoire incomplète et incompréhensible, scènes de dialogues tournées à la va-vite, flopée d'acteurs américains perdus dans un Tokyo sans saveur, ficelles grossières, personnages fades, fin indigente... (...) A prendre au troisième degré et avec boules Quiès, THE GRUDGE est une horreur plus qu'un film d'horreur.
Rolling Stone
par Sabine Gros La Faige
Le réalisateur ne parvient pas à instaurer un climat d'horreur suffisamment crédible et prenant. Le rythme décousu du film et le jeu passif et inexpressif de Sarah Michelle Gellar nous plongent dans une quasi-torpeur, indigne d'un film d'épouvante.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Quelques traits humoristiques parsèment heureusement ce film à l'esthétique très années 70, style " Hou, hou, fais-moi peur ! ". Seuls les accros de séries B ringardes seront à la fête.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
Avec une réelle habileté se construit de surcroît le malaise ambiant, grâce notamment à la disqualification des repères. (...) S'il évoque explicitement Ring, (...) le long-métrage de Takashi Shimizu évoque par ailleurs le très remarquable Enfant du Diable. Pareille parenté ne saurait toutefois entamer sa profonde originalité, ni son sens aigu de l'effroi.
Mad Movies
Le meilleur parti pris du film est sans coneste d'avoir conservé l'ancrage profond du sujet dans la culture japonaise, et d'avoir laissé Shimizu raconter à nouveau son histoire de fantôme dans son pays d'origine. (...) Une atmosphère pesante, comme une résignation, servie par une mise en scène froide et languissante qui prépare à merveille des séquences de pure terreur.
Score
Non content d'avoir une scène choc toutes les 10 minutes, le spectateur ressent immanquablement la pression montée jusqu'à un final bien traumatisant. En plus d'être un authentique film de trouille, The Grudge est donc l'explosion internationale du réalisateur Takashi Shimizu. L'ouverture des frontières a vraiment du bon.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
le cinéaste s'amuse à mêler, dans la droite ligne du néo-fantastique nippon contemporain, d'effrayantes apparitions spectrales et la peinture d'une réalité banale. La structure complexe du film masque mal le relatif vide d'une oeuvre où l'épouvante est désormais réduite à une rhétorique, maniée avec habileté.
Ouest France
Autour du thème de la malédiction liée à une maison, tout l'arsenal habituel des accessoires qui font peur : du bruit tonitruant, un montage heurté, des éclairages tarabiscotés. Rien de neuf, mais ça fait toujours frissonner.
Paris Match
Bien sûr, la mise en scène est efficace et, lorsque l'on ne s'ennuie pas, on susaute, mais on attendait un peu plus d'inventivité dans le scénario. Ce film d'horreur n'en est pas une. Et c'est son plus gros défaut...
Positif
Mâtiné d'effets chocs réussis, ce qui constitue la moelle épinière du projet The Grudge étonne davantage par sa mise en scène élaborée, faussement transparente, qui fait naître l'épouvante d'une atmosphère triste et désenchantée, que par ses effets de surprise attendus.
Première
Destinée au grand public, la version américaine ne démérite pas pour autant.
Zurban
Si l'on retrouve des recettes déjà vues dans les films de Nakata, ce triomphe au box-office US produit par Sam Raimi est très efficace et empêchera les âmes sensibles de s'endormir...
aVoir-aLire.com
Après Alien versus Predator, voici Buffy versus Sadako. Un remake bâtard qui tente d'imposer sa singularité. (...) Le spectacle manque d'émotion comme de substance et peut lasser (...) mais cette relecture pas inintéressante et somme toute efficace reste l'occasion pour Shimizu de se faire un passeport, non seulement pour lui mais également ses acteurs japonais, dont l'excellent Ryo Ishibashi.
Aden
Sarah Michelle Gellar, ex Buffy à la télé, se retrouve maintenant au cinéma, dans une maison hantée à Tokyo, avec un enfant dans un placard, plein de musique qui grince et des trucs dans le noir qui font peur...La routine.
Chronic'art.com
Produit assez écoeurant pour sa fadeur opportuniste, un tel film est surtout un grand rendez-vous manqué. A l'heure où le gore crade revient en force à Hollywood, la greffe rêvée de l'entertainment US et du si singulier fantastique nippon prend des allures de gros pétard mouillé.
Libération
Que la fille fantôme aux cheveux d'encre et à la peau de lait caillé, déjà vue dans The Ring, Dark Water ou Deux soeurs, cesse ses simagrées qui n'impressionnent plus personne. A fortiori dans The Grudge, vendu comme le parangon de ces nouvelles terreurs asiatiques et qui se dégonfle passé un inquiétant préambule.
MCinéma.com
Shimizu se prend les pieds dans tous les tapis : histoire incomplète et incompréhensible, scènes de dialogues tournées à la va-vite, flopée d'acteurs américains perdus dans un Tokyo sans saveur, ficelles grossières, personnages fades, fin indigente... (...) A prendre au troisième degré et avec boules Quiès, THE GRUDGE est une horreur plus qu'un film d'horreur.
Rolling Stone
Le réalisateur ne parvient pas à instaurer un climat d'horreur suffisamment crédible et prenant. Le rythme décousu du film et le jeu passif et inexpressif de Sarah Michelle Gellar nous plongent dans une quasi-torpeur, indigne d'un film d'épouvante.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Quelques traits humoristiques parsèment heureusement ce film à l'esthétique très années 70, style " Hou, hou, fais-moi peur ! ". Seuls les accros de séries B ringardes seront à la fête.