Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
France Soir
par Alexandre Simon
Même s'il est aisé de trouver bien des faiblesses au bébé de Pixie: une poésie infentile et des gags éventés, Linda Hardy prouve une fois de plus qu'elle sait finalement jouer la comédie.
Libération
par Bayon
(...) une curiosité. Le héros souffleur de théâtre (Guillaume Pixie, acteur auteur, dialoguiste, etc.) cultive visiblement Jacques Tati. Il en a retenu la mécanique gestuelle et lettriste à la Pierre "Yoyo" Etaix. Dont il nourrit, sur fond de fixations pédestre (il voit les chevilles) et orale ("Sans mot, c'est le coma"), son vague comique de situation et coq-à-l'âne, sur le thème "absurde" d'un souffleur de père en fils.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Difficile de pointer les défauts d'un film ayant le courage de déployer audace et originalité. LE SOUFFLEUR est en effet un OVNI comme on en voit assez peu dans le paysage cinématographique français.[...] Malheureusement, ces discours sont parfois tellement écrits qu'ils manquent cruellement de spontanéité et donc de profondeur.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Il flotte là comme un parfum de Cyrano des années 2000, et si le résultat se cherche un peu, l'univers de Guillaume Pixie impose sa singularité avec un aplomb dont il serait dommage qu'il reste sans lendemain.
aVoir-aLire.com
par Emmanuelle Cocud
De manière générale, puisque les références théâtrales et cinématographiques semblent multiples, on aurait aimé que le réalisateur en joue davantage et plus ostensiblement, dans un feu d'artifice de citations et de clins d'oeil. Son film gentillet et tendrement original y aurait certainement beaucoup gagné..
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert et Hugo Lopez
Un festival de niaiseries.
Ouest France
Derrière un gros clin d'oeil à Cyrano, on verra là une originale déclaration d'amour au monde du théâtre. [...] Dommage, il ne s'est pas rendu compte qu'il avait sous la main pas plus que la matière d'un court-métrage.
Première
par Gaël Golhen
Le film peine à trouver ses marques et sombre in fine dans une poésie toc et vulgaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Une seule idée pour un très laborieux long métrage, heureusement assez...court.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Jean Coutances
Que le réalisateur n'ait pas eu un seul ami pour lui dire qu'il courait à sa perte en dit plus long que le film sur la nature humaine.
Zurban
par Charlotte Lipinska
Le jeu décalé et l'atmospère surréaliste pouvait séduire, ils finnissent par agacer, autant que le personnage de Félix, bien peu émouvant. Dommage, il y avait une étonnante et belle idée de départ.
France Soir
Même s'il est aisé de trouver bien des faiblesses au bébé de Pixie: une poésie infentile et des gags éventés, Linda Hardy prouve une fois de plus qu'elle sait finalement jouer la comédie.
Libération
(...) une curiosité. Le héros souffleur de théâtre (Guillaume Pixie, acteur auteur, dialoguiste, etc.) cultive visiblement Jacques Tati. Il en a retenu la mécanique gestuelle et lettriste à la Pierre "Yoyo" Etaix. Dont il nourrit, sur fond de fixations pédestre (il voit les chevilles) et orale ("Sans mot, c'est le coma"), son vague comique de situation et coq-à-l'âne, sur le thème "absurde" d'un souffleur de père en fils.
MCinéma.com
Difficile de pointer les défauts d'un film ayant le courage de déployer audace et originalité. LE SOUFFLEUR est en effet un OVNI comme on en voit assez peu dans le paysage cinématographique français.[...] Malheureusement, ces discours sont parfois tellement écrits qu'ils manquent cruellement de spontanéité et donc de profondeur.
TéléCinéObs
Il flotte là comme un parfum de Cyrano des années 2000, et si le résultat se cherche un peu, l'univers de Guillaume Pixie impose sa singularité avec un aplomb dont il serait dommage qu'il reste sans lendemain.
aVoir-aLire.com
De manière générale, puisque les références théâtrales et cinématographiques semblent multiples, on aurait aimé que le réalisateur en joue davantage et plus ostensiblement, dans un feu d'artifice de citations et de clins d'oeil. Son film gentillet et tendrement original y aurait certainement beaucoup gagné..
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Un festival de niaiseries.
Ouest France
Derrière un gros clin d'oeil à Cyrano, on verra là une originale déclaration d'amour au monde du théâtre. [...] Dommage, il ne s'est pas rendu compte qu'il avait sous la main pas plus que la matière d'un court-métrage.
Première
Le film peine à trouver ses marques et sombre in fine dans une poésie toc et vulgaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Une seule idée pour un très laborieux long métrage, heureusement assez...court.
Télérama
Que le réalisateur n'ait pas eu un seul ami pour lui dire qu'il courait à sa perte en dit plus long que le film sur la nature humaine.
Zurban
Le jeu décalé et l'atmospère surréaliste pouvait séduire, ils finnissent par agacer, autant que le personnage de Félix, bien peu émouvant. Dommage, il y avait une étonnante et belle idée de départ.