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    La Montagne sacrée
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    86 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 juillet 2012
    Un film très spécial, ingénieux (de part ses nombreuses trouvailles et son imagerie impressionnante) mais prévisible (la fin manque cruellement d'originalité). LA MONTAGNE SACREE ne fut ni une bonne ni une mauvaise surprise pour moi. Un film différent, au montage novateur et au(x) message(s) évocateur(s), mais pas un chef-d'oeuvre.
    Tom Bombadil
    Tom Bombadil

    6 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mai 2020
    Fort de la réputation sulfureuse de Fando et Lis et du succès d’un El Topo devenu rapidement culte (notamment grâce à la vogue des midnight movies), Alejandro Jodorowsky, étoile montante d’un cinéma expérimental et provocateur, se voit offrir 750 000 dollars pour son prochain film et une liberté artistique totale. Pas de producteurs, pas de critiques, pas de censure, pas d'entraves à la folie de cet artiste total qu’est Jodo.

    Librement inspiré d’un écrit inachevé de René Daumal (Le Mont Analogue), La Montagne Sacrée, sorti en 1973, rejeton filmique d’un homme sans aucune limite à son art, se révèle être une création originale totalement barrée, auréolée de mysticisme et d’ésotérisme. Un film qui défonce au bazooka les codes du cinéma traditionnel, tant au niveau narratif, technique, que émotionnel.
    Quand on connaît le travail de Jodorowsky, on a l’habitude de se perdre dans un autre univers, d'être dans un monde parallèle, où les lois de la logique et de la cohérence ne sont plus les mêmes, et La Montagne Sacrée représente le paroxysme de cette distanciation avec la réalité, ce film étant le plus fou et le plus ambitieux du cinéaste, du moins au sein de ses œuvres achevées.

    Prenant la forme d’une fable métaphorique, dans un monde indéterminé à un âge indéterminé, défonçant alors tous les repères du spectateur, le film conte les errances d’un sosie du christ en prise avec un alchimiste devenu son maître lors d’une initiation spirituelle. Celui-ci présente à son disciple les sept personnes les plus puissantes de la planète, chacune associée symboliquement à une planète du système solaire, et tous prêts à renoncer à tout pour le secret de l’immortalité. Secret qui se trouve au sommet de la montagne sacrée, gardé par neuf sages...

    Derrière ce postulat de base, le cinéma si singulier de Jodo, psychédélique, inhabituel, où chaque plan, chaque scène est digne d’un tableau et bénéficie d’une multitude de richesses et de détails dont il est impossible de tout répertorier dans son esprit et tout comprendre au bout d’un seul visionnage.
    Surréaliste à faire passer David Lynch pour un metteur en scène tout ce qu’il y a de plus bien-pensant et banal, La Montagne Sacrée est provocateur, démesuré et profondément mystérieux à s’arracher les cheveux à chaque plan. C’est un concentré de deux heures de toutes les obsessions du cinéaste, à savoir la quête initiatique d’un individu qui se détache peu à peu d’une vision étriquée de la réalité, l’élévation spirituelle et l’abandon de toute superficialité ou matérialisme au profit d’une paix intérieure, un véritable boui-boui syncrétique avec son lot de nécromancie, de mysticisme, d’ésotérisme, de symbolique religieuse et parfois païenne, de tarot, sans oublier les miracles artistiques de la nature, comme Jodo appelle les handicapés, snobés par un cinéma plus conventionnel et puritain, sublimés ici par le cinéaste chilien.

    Soutenue par ces images ahurissantes, troublantes et à mille lieux d’un cinéma hollywoodien propre et conformiste, une critique virulente de tout ce qui passe par la tête de Jodo est délivrée avec fracas. Par le biais de cette quête pour l’immortalité, le réalisateur s’en prend aux colonnes fondatrices de notre société moderne, les sept individus représentant sept fondements de celle-ci à savoir le culte de l’image et de la beauté au détriment de l’être, le marchandage et à sa suite la mort d’un art devenu un produit fabriqué en série, l’endoctrinement des jeunes populations, la culture de la guerre comme lieu de commerce ou encore l’autorité extrémiste et quasi-fanatique d’une police corrompue et répressive...

    Tout y passe dans ce film foisonnant d’idées complètement délirantes, d’une nuée de Marie Madeleines prostituées sortant d’une église jusqu’aux images du christ destinées à la consommation de masse, en passant par une caricature gore de l’invasion de l’Amérique du Sud par les conquistadors, cette fois ci rejouée avec des batraciens. La religion et le capitalisme étant les principales cibles d’un Jodorowski que l’on imagine sous l’emprise de psychotropes mais pas les seules.

    L'élévation spirituelle et le reniement de toute idée matérielle corrompue par un système capitaliste traités par le cinéaste sont à leur zénith à la fin du film, une conclusion osée, où le réalisateur brise le quatrième mur avec fracas, basculant dans la réalité que le spectateur avait abandonné deux heures plus tôt, pour pondre un monologue digne de figurer dans les annales du cinéma. Comme si après une série de claques dans la tronche, on recevait un uppercut à l’estomac.

    La Montagne Sacrée est plus qu’un film, c’est un voyage contemplatif et mystique, violent et psychédélique, visuellement époustouflant et à l'ambition démesurée.
    Un chef-d’œuvre venu d’une autre galaxie où le LSD est roi, situé en plein dans le boom créatif des 70’s mais qui est allé au delà de n’importe quel OVNI filmique de cette période bénie, détruisant au passage des carcans hollywoodiens trop conventionnels et réducteurs à son goût.
    Une expérience cinématographique complètement dingue à vivre absolument au moins une fois, à condition d’être ouvert d’esprit et enclin à être bombardé en dehors de sa zone de confort habituelle. Quant à savoir où ce film mène et ce qu’il apporte au voyageur, c’est au spectateur d’en juger, mais au final, que ce soit en bien ou en mal, ce voyage hallucinatoire signé Jodorowski ne laissera jamais indifférent.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 139 abonnés 7 481 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2013
    Waouh quelle claque ! Après avoir « enduré » l’imagination débordante du réalisateur Chilien Alejandro Jodorowsky, on n’est pas sur d’avoir tout saisi au final, tant son œuvre est complexe et . . . qu’elle nous enlève les mots de la bouche !
    Un homme représentant le Christ, un maître spirituel, un alchimiste, un groupe d'apôtres, une multitude de personnages représentés au sein d’une histoire des plus complexes et invraisemblables, entre incompréhension et compréhension, entre rêve et réalité, La Montagne Sacrée (1973) nous laisse perplexe plus d’une fois. Une chose est sure, cet « OFNI » ésotérique et mystique vaut le coup d’œil sans la moindre hésitation, ne serait ce que pour ses nombreuses trouvailles, ingéniosités et autres idées et humour noir toutes plus originales les unes que les autres !
    Une œuvre psychédélique & surréaliste qui en aura dérouté plus d’un, à découvrir aussi du même réalisateur, le western psychédélique El Topo (1970).
    Santu2b
    Santu2b

    247 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2008
    Enfin je découvre l’univers de l’atypique (et je pense que le mot "atypique" est très réducteur !) d’Alejandro Jodorowsky. Après "Fando et Lis" et "El Topo", le cinéaste chilien (bénéficiant au passage de l’aide de John Lennon) s’aventurait sur un terrain encore plus miné et ambitieux que ses précédentes réalisations avec "La Montagne Sacrée". L’œuvre se présente en effet comme un véritable pamphlet contre la société et surtout contre l’église dans lequel on y suit le périple d’un vagabond barbu aux faux airs du Christ. Mais c’est un Jésus franchement marquant et quelque peu déséquilibré qui nous est présenté ici aussi bien capable d’avoir des comportements des plus immoraux que de céder également aux pires tentations. Comment résumer ce film simplement ? Un voyage mystique hallucinant, un condensé de violence et de sexe magnifié par des couleurs flamboyantes. Soyons honnêtes sur un film de Jodorowsky c’est quasiment impossible d’être sur le juste milieu ; c’est l’adhésion ou le rejet total. Mais que l’on adore ou que l’on déteste ses films on ne peut nier la richesse de ses idées, la puissance de ces images qui peupleront pour longtemps mon imaginaire de jeune cinéphile, ce découpage précis et fascinant sans oublier surtout cette poésie cynique à faire cligner plus d’un oeil. Incroyable !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 mai 2008
    La Montagne sacrée est un film étrange et envoûtant, à la fois expérimental et complètement barré. Beaucoup d'idées sortent de cet ovni. Mais peu de questions sont posés. Et c'est peut-être cela la plus grande faiblesse de ce long-métrage qui se cherche une identité mais qui ne la trouve véritablement jamais. Mais n'est-ce pas en cela la plus grande qualité de l'homme ? Ou n'est-ce pas tout simplement sa plus grande mission voire le but de son existence ? Mais pour ce qui est du film, on trouvera l'ensemble très original. La provocation étant le plus grand symbole de cette oeuvre hors du commun, il faudra reconnaître le talent du réalisateur-acteur Alejandro Jodorowsky pour son sens de l'irrespectueux absolument remarquable. Néanmoins, le film affiche rapidement ses limites. Entre-autre, son accessiblité étant très réduite, peu de gens pourront le découvrir. Ce qui est fort dommage. De plus, si l'on est tout à fait déroutés par la globalité de l'oeuvre, il sera difficile pour beaucoup de trouver la clé de cette énigme dont l'issue se révèle être à la fin une terrible farce. Bref, La Montagne sacrée n'est pas le chef d'oeuvre attendu mais un film plein de curiosité. Il ne demande peut-être qu'à murir encore un peu.
    stebbins
    stebbins

    497 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2011
    Selon l'astrologie occidentale, les natifs du Verseau sont excentriques. Pour certains même, ce signe est synonyme de génie ou de folie. Alejandro Jodorowsky étant né un 7 février, je commence à me poser des questions : le cinéaste chilien aurait-il pété les plombs en réalisant le Montagne Sacrée ? Etrange, érotique, violent, baroque, sordide, mysthique, inspiré, inclassable et unique, ce film n'est absolument pas résumable, aussi bien d'un point de vue narratif que d'un point de vue critique ( il m'est très difficile de porter un jugement sur La Montagne Sacrée ). Cet OVNI n'est ni vraiment un film d'aventures, ni vraiment un film de science-fiction, c'est avant tout une expérience pour les sens. Stylistiquement, c'est peut-être le film le plus achevé de Jodorowsky ( même si Fando et Lis était assez beau visuellement, grâce à une photographie noir et blanc somptueuse...): de très belles images ( la scène des crapauds costumés est magnifique ), une bonne musique ( composée partiellement par Jodorowsky ), mais aussi des scènes outrancières ( le duel des chiens enragés par exemple ) et déroutantes ( je pense au final du film ). Si vous êtes adeptes du cinéma psychédélique des années 70 ( Easy Rider, Zabriskie Point, More...) La Montagne Sacrée vous comblera. Un film qui me laisse avec des jugements paradoxaux, c'est pourquoi je ne mets que 2 étoiles ( il en aurait peut-être mérité 3, mais bon...). A voir au moins une fois, car c'est un film pour le moins marquant.
    oranous
    oranous

    140 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2007
    C'est un film très étrange. C'est le moins que l'on puisse dire.
    J'ai eu beaucoup de mal a rentrer dans le film. En revanche j'ai beaucoup aimé les présentations des 7 compagnons.
    Je ne peux pas dire que j'ai adoré ce film. La fin est terriblement décevante.
    Jodo possède un univers très particulier que ce soit dans ses films ou dans ses BD. J'accroche très peu a son dessin.
    C'est très surréaliste mais en même temps complètement déjanté.
    La musique est quand a elle assez stressante dans le mauvais sens du terme. c'est une musique très déplaisante.

    je lui met 3 pour la présentation des 7 compagnons qui dure tout de même longtemps.
    pitch22
    pitch22

    165 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 février 2007
    Découvrir un tel délire transgressif reste une expérience troublante, dérangeante (violente), poétique, dans tous les cas marquante. Cette "fable" fantas-mystico-surréaliste haute en couleurs (du sordide obscène à l'éblouissement merveilleux), très riche en références, passe en revue le destin catastrophique de huit planètes aux sociétés pourries par des directions fascistes et la quête, illusoire, par leurs maîtres à penser, d'une auto-épuration radicale. Un scénario radicalement atypique, superbement mis en scène, dont la cohérence se révèle lentement. Sur terre, le fascisme se déploie par le détournement pervers du message sacré (ici, christique) : ainsi piégé, un "Jésus" (mince, blanc, chevelu), 34 ans, vêtu de rien puis d'un "string", se rebelle et va rencontrer le "Maître" des religions planétaires unies (joué par Alexandro Jodorowsky lui-même) qui se chargera, avec sa svelte servante noire, de former ainsi un groupe avec les autres "chefs" ratés, et de le mener sur la voie de la pureté (celle qui transfigure sa merde intérieure)... La lenteur, les corps offerts, la musique symphonique, le choix ultra-imaginatif de décors et de bizarreries offrent une majestuosité hypnotique aux multiples "tableaux" qui jalonnent l'oeuvre, livrée à la satyre grotesque et à l'auto-dérision métaphorique. Ce film, avant-gardiste, s'inscrit dans une époque de libération post-colonialiste et post-industrielle - on aimerait ajouter sexuelle, mais le discours vise davantage la charge ironique contre les idéologies du pouvoir que l'explosion d'un système social hypocrite. Le pouvoir castrateur, au moins, est condamné (autant que l'Homme-objet, l'Homme-machine)... Nul sacrilège: Jodorowsky l'anti-conformiste donne une magnifique leçon de lucidité sur l'abjection des "hautes" prétentions de l'être humain et de ses phantasmes totalitaires (dont "être éternel"), totalement déconnectés de la réalité. Contre la folie, le lâcher-prise requiert l'auto-dérision pour rejoindre la "vie réelle".
    max6m
    max6m

    72 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2007
    Amateurs de films déjantés et psychédéliques, celui-ci est fait pour vous. "La montagne sacrée" est un des plus puissants délires visuels qu'il m'ait été donné de voir. Le film est une débauche d'idées et d'images fortes, reflet de l'imagination débordante de l'auteur. On peut découper le film en trois parties assez inégales. La première (à mon sens la plus réussie) est une succession de séquences délirantes remplies d'images d'une flamboyance et d'une richesse absolues. La puissance critique de chaque image est proprement incroyable, se passant ainsi de tout dialogue. On retiendra notamment les attaques politiques contre les régimes dictatoriaux et le militarisme, qui se révèlent d'une puissance suggestive à couper le souffle (scènes de massacre, etc). La deuxième séquence (très réussie également) est composée de 9 tableaux présentant les univers des 9 immortels. Ces différents univers sont autant de caricatures cyniques des sociétés de consommation et des régimes totalitaires(religion, fascisme, technologie, armement, sexisme,...). La dernière partie retrouve une narration plus classique et rattrape le fil rouge du film en nous exposant le voyage initiatique des 9 vers le sommet de la Montagne Sacrée. Malgré quelques passages intéressants (le café du Panthéon, boutique de souvenirs surréaliste), toute cette partie sur la quête spirituelle des personnages les conduisant à la pureté originelle et la sagesse accumule les clichés. Le symbolisme des premières séquences a ici complètement disparu au profit d'un message se voulant à portée universaliste et métaphysique mais au final d'une grande platitude, débouchant sur un final en forme de gag, risible de ridicule. L'effet recherché (les personnages en quête de vérité et qui donc aboutissent à la réalité du film et de leur rôle d'acteur) est complètement raté, sauf si c'est l'humour qui était visé. Ce film reste malgré tout, pour sa première heure, un objet cinématographique unique, qu'il est nécessaire d'avoir vu.
    ClemYti
    ClemYti

    27 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2021
    L'un des films si ce n'est le film le plus fou de l'histoire du cinéma! Des véritables tableaux surréalistes magnifiques. Un chef d'œuvre peut-être trop méconnu de l'artiste de génie Alejandro Jodorowsky!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 avril 2009
    J'adore, complètement fou. Un de mes films préférés.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 février 2009
    d'une richesse époustouflante , des idées dans chaque scéne , un véritable voyage dans l'univers de jodo : surréaliste , dadaiste , symbolique ... un ovni dans l'histoire du cinéma .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mai 2008
    Voilà un film peu commun. L'univers est très décalé, érotique, violent, onirique, baroque... On se demande où l'on est pendant ces deux heures d'un film symbolique et philosophique. Certaines scènes sont visuellement insoutenables, d'autres incongrues etc. En fait, c'est un enchaînement de choses dépourvues de sens ( enfin, pas totalement ), qui vont s'entremêler pour ne donner qu'une vérité unique et fondamentale. C'est une réelle expérience cinématographique que nous offre ce réalisateur, à l'esprit un tantinet tordu, qui est finalement peut-être ( voir très surement ) dans le vrai. Un film qui faut voir plusieurs fois, je pense, pour en saisir tout son sens. Une bonne claque, toute fois légèrement inégale.
    matetvivi
    matetvivi

    14 abonnés 177 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Un film étrange à bien des égards. Je suis tombé dessus un soir d'été à la télé et je suis resté comme hypnotisé jusqu'à la fin, surprenante. Depuis j'ai hâte de renouveler l'expérience, car c'en est une, assurément.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 mai 2008
    Une oeuvre métaphisique exceptionnel signé alejandro jodorowsky, complexe (évidemment), violent (voir gore), un estetisme divin, aidé par john lennon qui avait aimé el topo, jodorowsky signe une oeuvre plus ambitieuse.
    Un déluge d'image et une grande fin tres moralisateur et tres interessante, je vous laisse voir par vous meme, une chose est sur la montagne sacrée ne vous laissera pas indifférent, on aime ou on déteste.
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