AlloCiné
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Votre avis sur Le Maître d'école ?
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encore une comédie des année 90 qui se dit drôle et que non seulement ce n'est pas le cas mais aussi on se dit que comment on a pu rire de ce genre de film à époque . Très peu de scène drôle les seule ne sont même pas de coluche sauf peut être une phrase , une réalisation qui a la fin du film ce laisse un'peu à d'éditer en s'attardant trop sur une scène qui scène a rien . Ce film essaye de montrer le quotidien de certaines professeur . Mais pas assez drôle .
Un Coluche attachant dans une comédie de mœurs touchante et délicate avec toutefois un manque flagrant de rigueur dans l’écriture.
Je me rendais pas compte de la pauvreté de ce film quand j'étais petit.
Ce film est d'un vide absolu en fait mis à part deux-trois piques sur les syndicats qui n'aident ni les élèves ni les profs selon eux. Une suite d'anecdotes sans cohérence.
Rien ou presque sur les difficultés d’être enseignant, rien sur les difficultés d'être élève, l'instit a 3 classes alors qu'il est totalement inexpérimenté et tout va bien.
L'intrigue du fils du maire est vite expédiée.
L'élève perdu ? Pas grave il rentre tout seul.
Le suppléant joue à la bataille de purée ? Il est titularisé.
Le mec ne sait pas écrire "je m'appelle", il ne sait pas ce qu'est le passé composé, et il aurait fait du droit ? Quand on a son bac, surtout à l'époque, on connait ses temps, surtout ceux de base.
Et je ne parle même pas de l'erreur de calcul au milieu du film, en oubliant les priorités opératoires.
Il n'y aurait pas eu Coluche dans ce film, il aurait fini au tréfond des oubliettes du cinéma, tel le navet incohérent qu'est ce film.
Ce film est d'un vide absolu en fait mis à part deux-trois piques sur les syndicats qui n'aident ni les élèves ni les profs selon eux. Une suite d'anecdotes sans cohérence.
Rien ou presque sur les difficultés d’être enseignant, rien sur les difficultés d'être élève, l'instit a 3 classes alors qu'il est totalement inexpérimenté et tout va bien.
L'intrigue du fils du maire est vite expédiée.
L'élève perdu ? Pas grave il rentre tout seul.
Le suppléant joue à la bataille de purée ? Il est titularisé.
Le mec ne sait pas écrire "je m'appelle", il ne sait pas ce qu'est le passé composé, et il aurait fait du droit ? Quand on a son bac, surtout à l'époque, on connait ses temps, surtout ceux de base.
Et je ne parle même pas de l'erreur de calcul au milieu du film, en oubliant les priorités opératoires.
Il n'y aurait pas eu Coluche dans ce film, il aurait fini au tréfond des oubliettes du cinéma, tel le navet incohérent qu'est ce film.
Une bonne petite comédie française avec un Coluche très drôle et une Josiane Balasko "Lajoie Rabat-joie" ;)
"Msieur Msieur il y a 2 p à m'appelle,
-Il y a 2 p à ta pelle .. " Ma scène préfère ahah
"Msieur Msieur il y a 2 p à m'appelle,
-Il y a 2 p à ta pelle .. " Ma scène préfère ahah
Un film doux et touchant, petite comédie où on y voit un coluche très tendre avec les enfants en tant qu'instituteur. Agréable divertissement
Classique de mon enfance, Le Maitre d'école est un film dont je me rappelais la sympathie du professeur et la chanson Yéyé les copains, c'est demain qu'on s'fait la malle... Revu aujourd'hui, prêt de 40 ans après sa sortie, et sans perdre toute la magie de mon enfance, je me dit tout de même que l'ensemble est assez simple et manque de profondeur. En revanche, là ou le film est utile, c'est qu'il permet de voir à quel point le monde a changé. Entre la vie de prof, l'accès au métier, les thèmes évoqués, la condition de l'enseignant et les relations instit-élève, on ne peut que constater que bien des choses vues à l'écran serait impossible aujourd'hui ! En bien ou en mal ? A vous de voir !
Un maximum de bons acteurs et un Coluche au top et même si le scenario est pas très poussé a regarder de toute urgence car un max de moment de délires et en plus une fin au top A voir
Vinz1
Sous ses aspects de petite comédie, « Le maître d’école » est plus que cela car il est un miroir de son époque. D’abord quant aux thèmes de société traités, avec principalement le chômage, le divorce, la peine de mort et l’homosexualité. Puis, relativement à la profession d’instituteur (maintenant professeur des écoles), métier déjà considéré comme une voie de garage, avec sa formation sur le tas, ses conseillers pédagogiques, ses collègues proches du burn ou et surtout, ses syndiqués à mort ! Alors quand le tout nous est servi par un Coluche en maître d’école au sommet de son art et avec Richard Gotainer aux platines, on ne peut que dire "merci" !
Un classique de mon enfance, qui a cette époque là me tordait de rire, mais un film plutôt moyen avec de bons gags
Film assez drôle dans lequel on voit un homme ridicule se battre avec ses élèves de manière humoristique. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
Note moyenne 2,9... ? Pour moi c'est 5, tout simplement pour la simplicité et la beauté des personnages. Chacun exprime une expression ou une image de l'enseignement fraîche et finalement très belle. L'ambiance générale n'est pas lourde, mais légère et donne envie d'en voir plus... car cette fraîcheur manque aujourd'hui. On a tous déjà vu ce film (ou pas) mais le revoir est toujours un plaisir... avec Coluche et sa bouille merveilleuse qui donne envie à tous de l'avoir comme professeur pour tous les jeunes autant que les moins jeunes... une gentillesse... une bonhomie... un modèle d'attitude merveilleuse, ouverte et tellement positive. Il est parti trop tôt... mais il a su alors ne laisser que le meilleur de lui-même, il faut continuez de profiter de lui tant qu'on peut notamment en regardant ce film simplement merveilleux... bon film à vous... vous prendrez forcément du plaisir.
Je n'avais pas revu ce film depuis que j'étais gamin et j'en avais gardé comme souvenir une comédie française un peu potache comme cette époque (fin 70 début 80) en avait produit en masse. Et revu avec un regard d'adulte, il s'avère que ce souvenir d'enfance était assez trompeur.
Finalement l'aspect "comédie" de ce film, bien que présent, est assez peu développé. En revanche on a le droit à un vrai regard d'auteur sur l'Enfance dont la sincérité laisse pantois.
Ici, les enfants sont à la fois naïfs, cruels, mignons, égoïstes, charmants, rieurs et, surtout, bruyants. Comme dans la réalité en somme. On est à des années-lumières du regard politiquement correct donné par la quasi-totalité des films montrant des enfants.
En parlant de politiquement correct d'ailleurs, certains thèmes sociétaux sont abordés avec ces enfants, comme la peine de mort (on est en 1981) ou l'homosexualité. Et bien les réponses majoritaires des enfants sont telles que ce film serait sans aucun doute censuré par diverses associations s'il était tourné aujourd'hui. Et ce, malgré Coluche qui tente de les ramener dans le droit chemin.
Malheureusement, la réalisation est très conventionnelle et pas très réussie. Il manque un scénario digne de ce nom. Et l'aspect potache de l'ensemble a tendance à tuer dans l’œuf toutes ses velléités artistiques. Dommage, sans ces importants défauts ce très bon film aurait pu atteindre des sommets.
en point positif également, la musique farfelue et inoubliable de Richard Gotainer)
Finalement l'aspect "comédie" de ce film, bien que présent, est assez peu développé. En revanche on a le droit à un vrai regard d'auteur sur l'Enfance dont la sincérité laisse pantois.
Ici, les enfants sont à la fois naïfs, cruels, mignons, égoïstes, charmants, rieurs et, surtout, bruyants. Comme dans la réalité en somme. On est à des années-lumières du regard politiquement correct donné par la quasi-totalité des films montrant des enfants.
En parlant de politiquement correct d'ailleurs, certains thèmes sociétaux sont abordés avec ces enfants, comme la peine de mort (on est en 1981) ou l'homosexualité. Et bien les réponses majoritaires des enfants sont telles que ce film serait sans aucun doute censuré par diverses associations s'il était tourné aujourd'hui. Et ce, malgré Coluche qui tente de les ramener dans le droit chemin.
Malheureusement, la réalisation est très conventionnelle et pas très réussie. Il manque un scénario digne de ce nom. Et l'aspect potache de l'ensemble a tendance à tuer dans l’œuf toutes ses velléités artistiques. Dommage, sans ces importants défauts ce très bon film aurait pu atteindre des sommets.
en point positif également, la musique farfelue et inoubliable de Richard Gotainer)
MaCultureGeek
Le Maître d'école est un petit film sympathique qui ne casse pas non plus des briques. Divertissant, mignon et porteur de bons sentiments, il divertit sans réellement marquer. Claude Berri oblige, c'est un divertissement très maîtrisé, voir même parfaitement emballé. On ressent toute la maîtrise de l'homme dans ses cadrages, dans la gestion du rythme, le développement de certaines thématiques. L'humour de situation sera aussi bien géré que celui de gestes ou de répétition, confortant le spectateur dans cette idée que le film est bien géré de bout en bout. Loin de la lourdeur exponentielle d'un Jean-Marie Poiré ( qui trouve son humour dans l'excès le plus abject ), il distille son humour au compte-goutte, commence légèrement pour finir en beauté. C'est une montée progressive dans l'hilarité, un choix artistique très bienvenu, le calme avant la tempête. Très réussi quand il s'agit de faire rire, Le Maître d'école préfèrera annuler certains gags pour mieux les relancer plus tard, avec un meilleur rythme et une surprise décuplée. On ne s'attend pas à rire, ou très peu; Berri sait nous prendre au dépourvu, nous surprendre, nous désarçonner. Rien que pour cela, le film vaut le coup. Seulement, il n'est pas parfait. On regrettera notamment le manque d'écriture des personnages secondaires ( particulièrement la femme du personnage de Coluche, étrangement sous-exploitée ), et le manque d'aboutissement de certaines situations ( la relation avec Balasko, par exemple, coupera court sans qu'aucune répercussion ne survienne ), et le côté quelque peu passe partout de la mise en scène ( aussi maîtrisée qu'elle soit ). Reste la prestation très touchante de notre bon ami Coluche, qui avait en lui cette force émotionnelle particulière. Ni trop dynamique ni trop pauvre bougre, l'artiste savait jouer entre les deux, gardant la maîtrise de son interprétation, ni trop manichéenne ni trop nuancée. C'est un peu la croisée des caractères, l'union des personnalités les plus contraires. Sympathique petit film que celui, appuyé par d'excellents jeunes acteurs ( même pas professionnels, qui plus est ), ainsi qu'une direction des interprètes très convaincante. Une comédie vraiment bonne mais qui marque peu sur la longue durée, encore que certains passages manquent cruellement de rythme. Si vous désirez voir un bon petit film bien de chez nous, celui-ci est un choix qui se démarque. Plaisant sans être révolutionnaire pour autant. Parfois, c'est tout ce que l'on veut.
Etant fan de ce genre de cinema un peu lourdaud franchouillard de ces annees la
je ne peu que apprécier coluche en maitre d école
blague potache dialogue rigolo ponctuent ce film bien trempé
Mr Claude Berri nous offre un bon divertissement que j ai vu et revu et rerevu
Merci
je ne peu que apprécier coluche en maitre d école
blague potache dialogue rigolo ponctuent ce film bien trempé
Mr Claude Berri nous offre un bon divertissement que j ai vu et revu et rerevu
Merci
A priori, Coluche en instituteur, ça promet... ou ça laisse place en tout cas à l'imagination ! hélas, hormis quelques sourires et malgré le bagoût du comique-acteur, on reste sur sa faim... car le Maître d'école n'est pas une comédie -bien qu'elle en ait une certaine apparence- mais un film social qui ne cesse de nous abreuver de son angélisme plein de sirop de grenadine jusqu'à ce qu'on en dégueule partout.
Il faut dire que la justification permanente du "plus beau métier du monde" est un leitmotiv illustré par moult clichés appuyés lourdement alors qu'il s'agit d'un affreux boulot (déjà en 1981...) avec des mômes ingrats qui ont déjà pris le pouvoir, une profession de foi (il en faut) délaissée par l'éducation nationale déliquescente et démissionnaire (déjà en 1981...).
Tout cela est en plus énoncé au premier degré avec une naïveté confondante (on se croirait à l'école des fans "les enfants sont merveilleux...") et on sent bien qu'il pousse des auréoles à la fin sur les têtes de ces ravis de la crèche, aussi innocents que l'enfant qui vient de naître et qui déjà leur mord le bras. Voilà donc un film des plus désolants, et précurseur, qui explique bien des choses dont notamment le marasme actuel.
Il faut dire que la justification permanente du "plus beau métier du monde" est un leitmotiv illustré par moult clichés appuyés lourdement alors qu'il s'agit d'un affreux boulot (déjà en 1981...) avec des mômes ingrats qui ont déjà pris le pouvoir, une profession de foi (il en faut) délaissée par l'éducation nationale déliquescente et démissionnaire (déjà en 1981...).
Tout cela est en plus énoncé au premier degré avec une naïveté confondante (on se croirait à l'école des fans "les enfants sont merveilleux...") et on sent bien qu'il pousse des auréoles à la fin sur les têtes de ces ravis de la crèche, aussi innocents que l'enfant qui vient de naître et qui déjà leur mord le bras. Voilà donc un film des plus désolants, et précurseur, qui explique bien des choses dont notamment le marasme actuel.
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