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"Ils essaient de boycotter Noël cette année." Voilà la réplique qui à elle seule résume le film. Ils essaient... envers et contre tous ! C'est d'ailleurs ce qui est le plus déroutant dans ce film, fêter Noël avec force décorations et repas partagés étant imposé par la communauté. La première moitié est bien vue, avec une lutte menée par Luther (Tim Allen) et sa femme Nora (Jamie Lee Curtis) qui occasionne quelques scènes cocasses. Mention spéciale pour le passage par la cabine de bronzage, Jamie Lee Curtis ayant le courage de se montrer en maillot de bain alors qu'elle n'a plus la plastique qu'on pouvait lui envier dans Un Poisson Nommé Wanda ou True Lies. La deuxième moitié s'essouffle, avec quelques incohérences. Au final on passe un bon moment, sans plus.
Encore un classique de la période de Noël.
Bien plus réussi selon moi que Super Noël, Tim Allen a en tout cas la chance de ne pas subir le doublage de Nagui pour ce film.
Les situations sont drôles et la présence du Père Noël a pour moi toute son importance. L'ensemble, et tous les seconds rôles y contribuent, constitue un chouette moment à passer devant sa télé.
Libérez Frosty !!
Bien plus réussi selon moi que Super Noël, Tim Allen a en tout cas la chance de ne pas subir le doublage de Nagui pour ce film.
Les situations sont drôles et la présence du Père Noël a pour moi toute son importance. L'ensemble, et tous les seconds rôles y contribuent, constitue un chouette moment à passer devant sa télé.
Libérez Frosty !!
Sur un scènario de Chris Columbus, "Christmas with the Kranks" (2004) se doit d'être vu pendant les fêtes de fin d'annèe! Un Noël pas comme les autres pour les Krank où rien ne saura comme autrefois! D'abord ce couple bienveillant boycotte Noël : pas de rèveillon, pas de cadeau, pas de sapin, pas de guirlande, pas de couronne qui dècore toutes les portes d'entrèe annonçant Noël...Bref ce sont les voisins qui ne vont pas être contents, d'autant plus que la fille des Krank veut prèsenter son fiancè en plein rèveillon de Noël! Ok ça ne casse pas des briques mais on rit souvent grâce aux pitreries de Tim Allen (un habituè des fêtes) et Jamie Lee Curtis! Le jambon fumè au miel est mis à l'honneur, de plus il y a dans cette comèdie familiale de magnifiques dècorations qui ne nègligent aucun dètail (cf. les bonhommes de neige illuminès sur chaque toit de maison). ils sont fort les ricains, avec eux, la gamme des illuminations est infinie...
Audrey L
Christmas with the Kranks (Un Noël de folie !) est loin d'être désagréable, et nous aura même fait sourire à plusieurs occasions, notamment grâce à la grande envie de Tim Allen, Jamie Lee Curtis et Dan Aykroyd d'être là, on le ressent souvent. On a ainsi des scènes hallucinantes (et doublées par des cascadeurs talentueux) de Jamie qui fait
spoiler:
"de la course de chariot de supermarché" pour attraper un jambon au miel, Tim Allen qui tombe du toit et qui rampe pour éviter une chorale de Noël comme si la CIA avait débarqué, Dan Aykroyd en tyran de quartier qui oblige ses concitoyens à fêter Noël pour passer dans le journal (avec cette petite réplique faussement anodine lors de la coupure de courant : "Vous savez qui appeler ?"...
Oui, chaque gamin qui a grandi avec Ghostbusters aura toujours un frisson à la moindre évocation de son joujou favori). On retrouve aussi au casting Erik Per Sullivan, le jeune acteur qui joue Dewey dans la série Malcolm, qu'on reverra assez peu par la suite (profitons-en le temps de ce film), et des seconds rôles sympathiques (les flics un peu bébêtes mais serviables, qui vont à l'aéroport "chercher Enrique" avec une pancarte "N. Reeky" - on a ri, meilleure vanne du film -). Ajoutez à cela une morale de la pression sociale qui existe (surtout aux États-Unis, mais à moindre mesure en France aussi) à fêter Noël avec tout le tralala lumineux, dîner et cadeaux, pour un propos plus intelligent qu'il n'y paraît. Vraiment, ce film de Noël n'est pas à la traîne dans le lot existant, on regrettera seulement la fin qui rétropédale assez grossièrement sur sa critique de la pression sociale à fêter Noël (on revient dans du bon sentiment festif, ce qui est de bon ton pour cette catégorie de films, mais n'a pas l'audace qu'on espérait en début de récit), et possède des effets spéciaux vraiment ratés (concrètement, le chat et le traîneau du Père Noël). Avec un petit moment touchant dans la dernière ligne droite (lorsque le père spoiler: offre son billet de voyage à la vieille voisine mourante...
), Christmas with the Kranks déploie de nombreux atouts pour vous faire passer un bon moment, et réussit dans la très grande majorité. Acteurs qui s'éclatent (Jamie Lee Curtis surtout, rayonnante malgré sa coupe de cheveux effarante), seconds rôles bien écrits, critique de la société (même si elle tombe à l'eau), et final drôle et touchant, ne ratez pas cette petite comédie de fin d'année.
Oui, chaque gamin qui a grandi avec Ghostbusters aura toujours un frisson à la moindre évocation de son joujou favori). On retrouve aussi au casting Erik Per Sullivan, le jeune acteur qui joue Dewey dans la série Malcolm, qu'on reverra assez peu par la suite (profitons-en le temps de ce film), et des seconds rôles sympathiques (les flics un peu bébêtes mais serviables, qui vont à l'aéroport "chercher Enrique" avec une pancarte "N. Reeky" - on a ri, meilleure vanne du film -). Ajoutez à cela une morale de la pression sociale qui existe (surtout aux États-Unis, mais à moindre mesure en France aussi) à fêter Noël avec tout le tralala lumineux, dîner et cadeaux, pour un propos plus intelligent qu'il n'y paraît. Vraiment, ce film de Noël n'est pas à la traîne dans le lot existant, on regrettera seulement la fin qui rétropédale assez grossièrement sur sa critique de la pression sociale à fêter Noël (on revient dans du bon sentiment festif, ce qui est de bon ton pour cette catégorie de films, mais n'a pas l'audace qu'on espérait en début de récit), et possède des effets spéciaux vraiment ratés (concrètement, le chat et le traîneau du Père Noël). Avec un petit moment touchant dans la dernière ligne droite (lorsque le père spoiler: offre son billet de voyage à la vieille voisine mourante...
), Christmas with the Kranks déploie de nombreux atouts pour vous faire passer un bon moment, et réussit dans la très grande majorité. Acteurs qui s'éclatent (Jamie Lee Curtis surtout, rayonnante malgré sa coupe de cheveux effarante), seconds rôles bien écrits, critique de la société (même si elle tombe à l'eau), et final drôle et touchant, ne ratez pas cette petite comédie de fin d'année.
Shawn777
Alors oui, je sais que ce film réuni tous les clichés de la comédie de Noël typiquement américaine mais pourtant, je trouve les critiques assez sévères ! Réalisé par Joe Ruth, sorti en 2004 et adapté d'un roman de John Grisham (assez étonnant puisque l'écrivain est surtout connu pour ses polars, notamment dans l'univers des tribunaux), le film nous présente l'histoire des Krank qui décident cette année de ne pas fêter Noël afin de pouvoir s'offrir une croisière. Mais leurs voisins ne l'entendent pas de la même façon ! Film de Noël par excellence mais pas totalement puisque les personnages passent leur temps, durant une bonne partie du film, à éviter Noël. C'est d'ailleurs la partie la plus réussie, j'avoue honnêtement avoir franchement ri à plusieurs reprises, quelques gags fonctionnant très bien (de plus, l'alchimie Jamie Lee Curtis et Tim Allen est très bonne) et puis, on a quand même une petite critique de l'american way of life, notamment au travers du contexte qui est la banlieue pavillonnaire. Alors il est certes difficile d'y voir un quelconque message ou sous-texte dans une comédie de Noël un peu simpliste mais pourtant, elle y est ! Même s'il est certain que c'est très peu subtile tant les personnages sont caricaturaux, le film nous dépeint cependant une micro-société (représentée par la banlieue donc) dans laquelle les personnages seraient presque prisonniers de leur propre "rêve". En effet, esquiver Noël pour partir en croisière, ce qui nous parait être une décision complètement banale, prend des proportions démesurées lorsque les voisins commencent à les harceler, à les critiquer etc. Alors évidemment, c'est l'ingrédient premier de cette comédie mais on peut également le voir comme la représentation d'une prison dorée dans laquelle les personnages sont obligés de suivre la mouvance collective au risque de se faire violemment rejetés. Malheureusement, le film sombre sur sa fin dans les écueils du film de Noël très américain avec cette morale à deux ronds sur le partage, l'esprit communautaire et bien-sûr "l'esprit de Noël", allant alors complètement à l'encontre de la critique que le film avait tenté de dresser, peut-être malgré lui d'ailleurs, sur le mode de vie pavillonnaire. Concernant les acteurs, en dehors du couple que j'ai déjà mentionné plus haut, nous pouvons retrouver, entre autres, Dan Aykroyd et Erik Per Sullivan qui jouent très bien ! "Un Noël de folie !" est donc, dans sa première partie, une comédie aussi grinçante que loufoque qui vaut le coup d’œil, puis tombe dans quelque-chose de très mielleux sur sa fin.
Un Noël de folie ! est un bon film avec un scénario agréable et un bon choix de distribution d'acteurs et d'actrices comiques et il y a de bons dialogues. J'ai vraiment apprécié Tim Allen et Jamie Lee Curtis dans le rôle du couple marié les deux avaient une grande chimie et ils ont aimé travailler ensemble cela se voit dans le film et j'ai vraiment apprécié le personnage de Dan Aykroyd. Le film a beaucoup de parties drôles et même s'il ne sera certainement pas un film de Noël classique il est très agréable a regarder. Je le recommande comme un film amusant pour toute la famille à regarder surtout au moment de Noël...
Je pense que certain n'on pas compris le film, il respecte bien l'esprit de noël ,bien sur il ne faut pas s'attendre a un conte de noël avec ses lutins, mère noël et compagnie, mais j'ai bien aimé , avec de bons acteurs et de l'humour, un peu de magie et un père noël des plus intriguant!
Un film plein de d humour mais aussi de cafouillage à mon avis les acteurs sont là heureusement car sinon il serait plat à mon avis
Dik ap Prale
Sans hurler de bonheur, ou passer des rires aux larmes, on fond tout simplement pour l'esprit de Noël qui inonde ce film. Les voisins du quartier et l'intriguant père Noël du centre commercial nous laissent une savoureuse envie de nous mettre à table pour le réveillon.
ferdinand75
Une petite comédie de Noel comme il est de tradition aux USA. Ici le départ en vacances aux Caraibes va empêcher la rue de gagner le trophée pour les meilleurs décorations de Noel. Beaucoup de gags mais le film vaut surtout pour la bonne interprétation de Jamie Lee Curtis, qui est vraiment aussi à l'aise dans le drame que la comédie et Dan Acroyd que l'on a toujours plaisir à revoir.
Une très bonne comédie de Noël avec des acteurs parfaits, une histoire originale et une grande dose d'humour. Avoir pendant les fêtes de fin d'année et aussi si vous avez envie de passer un bon moments ; c'est très sympa pour les fêtes de Noël, vraiment !
Mouais, sympa mais sans plus. Les acteurs sont bons et certaines situations sont réjouissantes.
J'aurai même mis moins s' il n'y avait pas une belle fin de Noël, moi qui suis un énorme fan de cette fête. Les gags sont moyens et je n'accroche pas avec cet anti-Noël même si c'est pour la comédie. Il y a largement mieux à voir
Sympathique comme tout, rigolo, on passe un bon moment, à regarder un après midi de pluie pendant les vacances de Noel !
NeoLain
Un Noël pas joli joli ! Ca commence tendrement, je scrute le générique du début et que vois-je !? Chris Columbus au screenplay, bien ça. Sauf qu'on avance avec lourderie. Un mari décide de faire boycotter noël et veut emmener sa dulcinée en vacance au soleil. Sauf que bien entendu rien ne va se passer comme il se doit, d'ailleurs il ne partiront pas du tout de chez eux. Rien ne bougera vraiment bien, au fond ce long-métrage chante bien fort "vive le vent, vive le vent d'hiver. Vous vous faites chiez chez vous, qui reste en sifflant, soufflant dans votre oreille". Spectateur, fuyez donc, faites l'amour à votre femme sur une table en compagnie des toasts foie gras et autres.
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