Le 1er Delta Force était un nanar plutôt divertissant à sa manière et reposant sur un casting de choix mais ici rien de tel dans cette suite qui n'a pas grand chose à voir avec le 1er. C'est une gloriole américaine très reaganienne qui montre une façon assez radical de se débarrasser des trafiquants de drogues sévissant dans les pays d'Amérique latine mais ça passe encore si le film était bien foutu mais ce n'est pas vraiment le cas. Chuck Norris égale à lui-même livre une prestation limitée mais somme toute pas désastreuse (à près tout on imagine mal le genre de personnage qu'il joue étant des hommes déconneurs mais plutôt renfermés et se confiant peu à autrui cependant par moment il lance quelques vannes) ; le problème vient surtout des scènes d'action qui n'ont rien de spectaculaires même pour ce genre de production de plus l'action est surtout concentrée vers la fin après on ne s'ennuie pas vraiment en regardant Delta Force 2 et on peut apprécier le jeu de Billy Drago qui joue un méchant de service assez savoureux.
apres le sauvetage des gentils otages ricains, Chuck revient donner une conference sur la morale et sauve les bien aimés USA de la drogue à lui tout seul. Ce film est un pur moment de bonheur du debut à la fin. Chuck est magistral. Un bon gros film ricain lobotomisé où les states montre une fois de plus qu'ils sont les meilleurs grâce à un heros viril et barbu. CHUCK FOREVER!
"Delta Force 2", film d'action américain réalisé par Aaron Norris (frère de l'acteur) sorti en 1990. Suite de "The Delta Force" (1986) toujours avec Chuck Norris. Après avoir sauvé le monde au Liban, la delta force s'attaque aux narcotrafiquants en Amérique du Sud. Avec Chuck Norris, Billy Drago et John P. Ryan. Du bon film d'action ricain typique des années 80 /90. tourné au premier degrés et à regarder au second, bien sûr. Delta Force 3 s'attaquera (bien entendu) aux méchants russes, sans Chuck Norris, mais avec son fils : Mike Norris...
Cette suite est bien meilleur et moins guignolesque, atmosphère Rambo non pas au Vietman mais au Cambodge, le gros point port de delta Force 2 c'est l'acteur de John P. Ryan (Runaway Train) qui joue là un Général farfelu. Action non-stop pour un petit film de guerre somme toute acceptablement correcte.
Si Chuck Norris n'existait pas, il se serait inventer lui même car un monde sans Chuck Norris est impensable. Suite qui n'a de rapport avec le premier "Delta Force" que le titre, le militant Chuck Norris embrase cette fois une noble cause: la lutte contre la drogue en s'attaquant directement à la source. Et oui le Chuck refuse de voir ses plus jeunes compatriotes lobotomisés tomber si bas et comme le gouvernement américain ne sait plus quoi faire, il envoie le seul et unique Chuck Norris, ou le célèbre barbu viril va s'en donner à coeur joie de zigouiller des latinos trafiquant de cocaine, d'autant plus qu'ils ont buté son pote et sa famille. Un gros nanar qu'on adore pour la présence et le jeu de Chuck Norris, bourré d'actions old school et de dialogues rigolos dont on se demande si ils n'ont pas été écrit sous cocaine justement.....
Celui-ci, TF1 nous le repasse de temps à autre donc vous n'avez aucune excuse si vous ne l'avez pas vu. Rien que la tronche d'enfer de Billy Drago vaut le détour. Mais surtout c'est le message qu'il convient d'ecouter: Menahem, malgré son type légérement sémitique, n'aime pas les gens aux teint mats (ou même légérement colorés). Ce coup-ci exit les Arabes terroristes, adios les Viets fourbes, bye-bye les communistes tiers-mondistes de tout ordre, enter les latinos à queues de cheval et rasage approximatif qui veulent détruire la vertueuse Amérique à grands renforts de poudre blanche. Bien sûr, l'administration et ses veules bureaucrates voudront empecher Chuck de rendre justice. Mais son sens de l'honneur inflexible, son mépris des lois internationales les plus élémentaires (tous ces gens pour qui on vote sont corrompus de toute façon et que c'est que magouille et compagnie, et que c'est les braves citoyens qui payent toujours l'addition), ainsi que des effets spéciaux d'un à propos jamais mis en défaut malgré leur foireusité monumentale, achéveront de vous convaincre que la drogue c'est mal, et que la solution c'est Chuck. Si vous êtes pas d'accord, alors c'est Chuck qui vous achévera.
Ce second volet est nettement moins bon que le 1er, qui assumait son côté "nanardesque" mais qui était divertissant !! Ici, le scénario est moyen, l'antagoniste n'a aucun charisme !! Il reste quelques scènes d'action sympa et les tatanes de Chick Norris pour réussir à finir ce film !!
Le défaut de rythme est un peu moins marqué que dans l'épisode précédent mais il existe toujours : il n'y a pas assez d'alternances, de ruptures entre l'exposition des enjeux et les scènes d'action. Donc on s'ennuie malgré un méchant assez réussi.
D’une efficacité on ne peut plus supérieure au premier volet, The Delta Force 2: The Colombian Connection creuse le sillon ouvert un an auparavant par Licence to Kill (Scott Glen, 1989), lui empruntant certaines idées narratives – le cadre tropical ou le saut en parachute par exemples – ainsi que sa noirceur humaine : ce n’est plus Felix Leiter et son épouse qui se retrouvent kidnappés et exécutés mais Bobby, sa femme et le bébé qu’elle porte, lors de séquences brutales qui conjurent la facilité habituelle dans ce genre de productions testostéronées. L’antagoniste, interprété par Billy Dragon, rappelle le monstre Franz Sanchez campé par Robert Davi ; à l’inverse, notre héros refuse de revendiquer son « droit de tuer », qu’il laisse à son meilleur ami, pour s’arrimer au respect de la loi, s’efforçant de traîner le narcotrafiquant devant la justice. La réalisation va à l’essentiel et témoigne d’un soin porté à la photographie et au montage, ce qui contribue à la lisibilité – et donc à la qualité – de l’action. N’oublions pas non plus la partition musicale du français Frédéric Talgorn, remarquable de mimétisme et d’intelligence, comme l’atteste la reprise ironique du thème consacré aux entraînements militaires quand Scott McCoy délivre une leçon de combat à son adversaire. Une belle surprise avec, derrière la caméra, le frère de Chuck Norris, Aaron Norris.
Chuck en pleine puissance nous fait son grand numéro de bagarres et d'action , pour les afficionados purs et durs de Norris . Il liquidera les méchants de manière très violente, le film est efficace.
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2,5
Publiée le 21 octobre 2010
Chuck Norris n'en est plus à flanquer des targnoles aux terroristes palestiniens, pirates de l'air menaçant la sècuritè d'Israël! Cible idèale: l'Amèrique du Sud où pullulent les gouvernements ripoux, les fonctionnaires vèreux et les barons de la drogue! Après la dècision de George Bush de renverser le despote trafiquant de coke Manuel Nortega, les productions Cannon ripostent par "Delta Force 2", apologie de la politique extèrieure de la Maison Blanche en matière de raclèe à foutre sur la gueule des dictateurs sniffeurs de dope! Cannon n'y va pas par quatre chemins: les agents amèricains dèfendent la veuve et l'orphelin, les trafiquants de drogue sont des malfaisants intègraux pètant dans la soie, le gouvernement du pays visitè est dirigè par un homme de paille...Pas bien compliquè de comprendre et d'applaudir à l'intervention amèricaine! Tout est là pour qu'on y adhère totalement avec un Billy Drago qui compose un vilain sèduisant dans son incommensurable mèchancetè! il faut le voir tuer un nourrisson pour s'en servir comme cache à drogue, violait une femme, liquidait son bèbè et son mari, descendre d'une balle dans la nuque un vieux paysan innocent, gazait dans une chambre vitrèe les agents amèricains, èventrait sur vingt bons centimètres un traître...il connaîtra èvidemment un châtiment à la mesure de ses crimes! Un Chuck Norris qui se montrera nettement plus catègorique que dans l'èpisode n°1...
Bien ancré dans les carcans du film américain d'action testostéroné des années 80-90, Delta Force 2, comme son prédécesseur, use et abuse des stéréotype du genre. De la mort du side-kick latino qui ne sert à rien juste là pour justifier le massacre du héros, en passant par les clichés bien bourrins sur la Colombie (ici renommée "San quelque chose") et son méchant, vraiment méchant, avec dialogue de méchant et erreur de méchant (il ne tue JAMAIS Norris quand il le peut). Delta Force 2 cummule les scènes de grand n'importe quoi et les répliques stupides. A noté aussi la présence de figurants à 85% asiatiques et moustachus (pour des colombiens ça la fout mal), de cabotinage en tout genre, de fusillades pendant lesquelles Norris enchaine les coups au but, pendant que les roquettes adverses semblent le caresser gentillement; à croire que la botte de foin derrière laquelle il se planque est en titane. Dans le même genre on note qu'il y a un maitre des arts martiaux parmis les méchants, histoire de nous faire un petit coimbat en face à face au 3/4 du film. C'est bien connu les maîtres du karaté travaillent tous pour des trafiquants de drogue latino. En bref loin du grand art, Delta Force 2 tiens vraiment du nanar, drôle sans le vouloir, se prenant au sérieux en en des caisses, et suivant point par point les poncifs du genre et ce en dépit du bon sens. Il y a de quoi se marrer et c'est toujours ça, bien que dans le genre action stupide-pseudo-sous-rambo il y a bien mieux! Mais un Chuck Norris, ça ne se refuse pas...