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Votre avis sur Ed Gein, le boucher ?
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Vinz1
Ce film, contrairement à « Gacy » brossant trop superficiellement le portrait du tueur et dénué de véritables scènes choc, est de facture plus qu’honnête. Ici, même si le métrage aurait gagné plus en développant davantage certains aspects de la vie du serial killer et en adoptant un rythme plus soutenu, on en apprend pas mal quant aux motivations du psychopathe et sur ce qui l’a poussé à agir ainsi. De plus, certaines scènes très réalistes, font parfois froid dans le dos. Mais bon, ce n’est pas « Henry portrait d’un serial killer », mètre-étalon en la matière. Il mérite toutefois une note au-dessus de la moyenne et d’être découvert.
gabdias
Biopic de l'un des seriel-Killeurs les plus fascinants des USA, qui a inspiré les plus grands (Hopper dans Massacre à la Tronçonneuse ou Hitchcock dans Psychose) mais le film méritait autre chose qu'un vulgaire traitement de série TV. Tout est misérablement bâclé et on n'y croit pas une minute. Un véritable navet.
Le plus du film: Ed Gein le boucher retranscrit parfaitement, au détail près, les "exploits" du tueur, en tout cas les 2 meurtres pour lesquels il fut officiellement reconnu coupable. En revanche rien sur la disparition de la baby-sitter, des deux chasseurs, ni sur son complice qui l'aidait à fouiller les tombes. Un peu léger pour le contenu. D'un point de vue cinématographique, on est même pas au niveau d'un docu-fiction, c'est à dire que le métrage est mis en scène avec une platitude absolue, pas d'effets sonores, de musique, d'effets chocs. Malgré l'horreur de l'oeuvre du boucher, le film ne fait jamais peur et ne baigne dans aucune ambiance, ni malsaine, ni ironique... Encéphalogramme plat.
Reste à apprécier la composition de S. Railsback dans le rôle principal, plus vrai que nature.
Reste à apprécier la composition de S. Railsback dans le rôle principal, plus vrai que nature.
Un film a regarder si vous vous intéressé au tueur Edward Théodore Gein ( dit le boucher de Plainfied ), mais sinon, la qualité de l'oeuvre est à déplorer : la bande-son est inexistante, les acteurs ne sont pas géniaux, le scénario retrace assez bien l'histoire original, mais les dialogues ne sont pas top ( appart quand maman Gein récite le bible à son petit ). Donc voila, si vous ne vous intéressez pas au sujet : passez votre chemin, 1.5/5 je suis gentil.
Ce film ayant un sujet plutôt intéressant, et un titre qui inspire le gore n'ai rien d'autre qu'un film lent, mou, ennuyeux.
l'acteur est convainquant certes mais ça s’arrête la. l'histoire n'est que copié collé, les scènes de meurtres ne sont pas vraiment convaincantes, la fin est nulle.
Bref un film ou il vaut mieux passer sont chemin.
l'acteur est convainquant certes mais ça s’arrête la. l'histoire n'est que copié collé, les scènes de meurtres ne sont pas vraiment convaincantes, la fin est nulle.
Bref un film ou il vaut mieux passer sont chemin.
Au vu du budget supposé du film, je l'ai trouvé moyen. Une étude psychologique de Gein, schizophrène qui a terminé sa vie pépère dans un asile. Il n'y a ici ni gore, ni trash. Tout en sachant que ce n'est pas le sujet du film, on voit mal le côté maléfique du personnage sans ces ingrédients; un documentaire aurait tout aussi bien fait l'affaire. Le parti pris de sobriété de ce film (en dehors de la fameuse scène où Gein danse de nuit dans son vêtement de peau de femme(qui a inspiré Buffalo Bill dans "le silence des agneaux"), rend celui-ci quelque peu longuet, malgré sa brièveté.Pour un personnage qui a inspiré nombre de chefs d'oeuvre de l'horreur, (entre autres "psychose"), c'est un peu décevant, même si par ailleurs les faits sont scrupuleusement respectés.
Long, ennuyeux, sans intérêt. Un film basé sur l'un des plus grands et des plus connus tueurs en série qui ne laisse voir ni l'horreur des crimes, ni l'angoisse des victimes, et qui fait passer Ed Gein pour un idiot attardé qui tue uniquement parce que la voix du fantôme de sa maman chérie lui dit de le faire. Totalement ridicule. Mon 0,5/5 est attribué aux 15 secondes où l'on voit Ed Gein sortir de la maison vétu de la peau d'une de ses victime, unique scène intéressante dans tout le film, qui est selon moi totalement raté.
Un très bon thrillo-drame historique, bien mieux mené que "Massacre à la tronçonneuse" trop fiction et supposée. Un décryptage subtile de cette biographie "folle" dans les années 50. Dommage que ce soit si court (1h20). On joue sur l'analyse psychologique et ses traumatisme ici, pas dans le but de faire peur, ce n'est pas le sujet. Agréablement surpris, surtout au vue des notes médiocres. A découvrir sans retenue !!!
Franchement, si c'est une histoire vraie, ils auraient pu au moins choisir un bon acteur avec un peu de charisme, ça frise le ridicule là. A mins que les réalisateurs voulaient justement prendre quelqu'un de très commun ? Bref, c'estgrâce à ça que je lui mets un bon 2
un film tre lent meme si il et tire de fait reel il et pas terrilbe sai lui qui a inspire le personnage de leterface
Ed Gain. On en a déjà beaucoup parlé, mais jamais directement (les massacres à la tronçonneuse pour ne citer que les plus connus). Un biopic est l'occasion rêvée pour faire de la lumière sur le vrai personnage. Et n'en déplaise aux fans de gore, mais ce film fait vraiment plus dans le réaliste (et parfois dans le suggéré) pour décrire son personnage. On tient là une biographie quasi documentaire, puisqu'elle n'ajoute rien de plus à ce qu'ont pu nous apprendre moult documentaires déviants et racoleurs sur le sujet. Une étude de caractère bien esquissée, et formidablement soutenue par la performance de Steve Railsback, tout à fait crédible dans ce personnage ambigu et schizophrène. Le modeste budget du film est très bien exploité, l'esprit récup transpirant dans de nombreux plans. On ajoute à ça des accessoires crédibles (les mobiliers en ossements, seul vrai lien avec le premier massacre à la tronçonneuse) et une trame originale par son approche du quotidien (on prend l'histoire en cours de route). Pas de grain de folie (à part dans la scène surréaliste où Ed danse sous la lune vêtu de la peau de ses victimes) ou de trouille réelle, ce film est une approche du fait divers à la Henry, portrait d'un serial killer. Et ça, on peut l'apprécier.
Inspiré des faits réels de la vie d'Edward Theodore Gein, ce film reprend avec beaucoup de réalité tous les détails récurrents de l'histoire originelle de ce tueur en série du 20ème siècle. Ayant bien largement contribué à la création du culte Massacre à la tronçonneuse (bien que Tobe Hooper en ait apparemment nié toute vérité) ou encore du grand Silence des agneaux de Jonathan Demme, la vie de ce pauvre homme, dévoré par la folie à cause d'une famille religieuse extrémiste et notamment d'une mère bien trop possessive et folle, aura été adapté avec une efficacité rare. Pourtant déjà remake d'un certain Deranged de 1974, Ed Gein, le boucher puise sa force dans une ambiance glaciale omniprésente, en prenant (à raison) bien le soin d'éviter effluves inutiles d'hémoglobine, en préférant plutôt se concentrer sur le dérangement psychologique de ce fils grandement perturbé par une enfance baignée dans la violence, une éducation extrême et dans les méfaits d'une religion sur-vénérée. La retranscription historique est simple, l'ambiance est très gênante, voire terrifiante, étrange et la mise en scène est impeccable, portée par un Steve Railsback qui, incontestablement, excelle en campant ce psychopathe skyzofrène, sanguinaire et sadique, à l'image pourtant si douce et innocente. Un biopic horrifique diablement efficace et choquant qui maîtrise parfaitement le malaise psychologique qu'il engendre. Là où l'adaptation du biopic de Gacy aura raté son coup quelques années plus tard, Ed Gein, le boucher montre non seulement ce qu'est un vrai film d'horreur, mais retranscrit également admirablement le massacre commis par ce tueur en série, guidé par la voix imaginaire de sa monstrueuse mère... en y ajoutant, pour clore le tout, de (soit disantes...) réelles images d'archive en fin de film... Terrifiant.
Certes le film montre à quel point ce serial-killer était atteint psychologiquement, hanté qu'il était par une mére trop stricte et humiliante. Elevé par cette mére abusive et formaté aux textes religieux, on le voit pas fort malin et pourtant aimable..... Et c'est tout, film ennuyeux dans son déroulement qui laisse l'attention du spectateur en route. A éviter.
Quand on fait un biopic sur Edith Piaf ou Harvey Milk, je peux comprendre qu'on fasse dans l'académique, par contre quand on s'attaque à un tueur complètement dérangé comme Ed Gein, ce choix est simplement impardonnable. En résulte donc un film jamais dérangeant mais toujours ronflant, avec une esthétique télévisuelle en diable, un acteur principal en mode performance-moi-vouloir-oscar, des scènes profondément malsaines montrées de manière frontales mais qui reste pourtant complètement inoffensives, allez comprendre. Bon on va pas tergiverser trois plombes, le réalisateur derrière ce film est un mauvais sans le moindre point de vue, certainement intimidé par son sujet tout en étant terriblement maladroit quand il s'agit de filmer l'horreur au sens pur du terme. Un ratage en règle, le film définitif sur ce tueur en série reste à faire, en attendant on se contentera des bouts de sa personnalité qui ont inspiré quelques grands classiques tels que "Massacre à la tronçonneuse", "Psychose" ou bien "Le silence des agneaux".
Enfin, une adaptation du fait divers terrifiant qui a inspiré de nombreux réalisateurs et donné naissance à Norman Bates, Hannibal Lecter et autre Leatherface ! Mais, au final, le tueur Ed Gein aurait mérité un film à la hauteur de sa monstruosité et non pas cette série B de bas étage à la mise en scène de pacotille (aucun rythme, décors cheap…). Et puis, comment peut-on faire un film aussi soft avec une histoire aussi terrifiante ? Les amateurs de gore peuvent passer leur chemin, le film méritant tout juste une interdiction au moins de 12 ans. Quant à Steve Railsback, il campe un Ed Gein certes intéressant (ses traumatismes, sa schizophrénie…) mais pas assez flippant (j’imaginais Gein bien moins “actif“). Reste quelques scènes intéressantes (Gein et son costume en peau de femme au clair de lune...) mais elles rappellent trop les classiques du 7e art que sont “Massacre à la tronçonneuse“ et “Le silence des agneaux“. Il reste un grand film à faire sur le Boucher de Plainfield.
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