Nos deux fous de service sont-ils capables de figurer dans un film digne de ce nom ? Et bien oui ! Bien sûr, ce n'est pas du Kubrick, les longueurs et maladresses sont bien présentes, mais enfin on s'amuse. Le scénario est très simple. Nos compères castagnent à tout rompre et font quelques bonnes blagues. J'ai bien aimé les scènes où on les voit s'entraîner à devenir flics. La musique est plutôt entraînante et permet de passer un bon moment, ponctué par quelques répliques sympa. "Je vous l'avait dit qu'ils étaient pas catholiques !".
2 super flics comme Quand faut y aller faut y aller, Salut l'ami adieu le trésor, Pair et Impair ou Attention les dégâts a bercé mon enfance. Je ne les manquais jamais quand ces films étaient diffusés sur M6. Dommage que ça ne soit plus le cas. Enfin, j'ai les DVD depuis belle lurette. Ce célèbre duo méritait d'ailleurs à mon goût une meilleure porte de sortie que ne furent Les supers flics de Miami ou Petit papa baston en 1994. 2 super flics est certainement leur meilleur film. Les bastons sont nombreuses (avec des dockers, des voyous dans un bar, un crétin déguisé en indien), bien tournées, super jouissives, chorégraphiées par le grand Ricardo Pizzuti. Avec la musique qui restent longtemps dans la tête signée par les frères De Angelis qui composeront l'essentiel de la filmographie de Bud Spencer et Terence Hill. Entre les bagarres les répliques cultes s'accumulent : "je suis sourd muet, pas aveugle !". C'est du bon comique gras un peu symbolisé par la scène du repas avec les deux blondes. C'est de la BD filmée semblable à du Pif et Hercule, Placid et Muzo ou Asterix et Obélix. Réalisé par leur complice, Enzo Barboni qui avait pris le pseudo E.B Clucher pensant que ça faisait plus américain, l'intrigue, un vaste trafic de drogue mené par un contremaître de port qui joue aussi le méchant dans Pair et Impair et que vont devoir démanteler deux crétins engagés par erreur dans la police n'est qu'anecdotique certes mais on s'en fout, l'essentiel n'est pas là.
Un film qui s'inscrit dans la longue lignée des Bud Spencer et Terence Hill.Le duo inséparable fait ici encore une fois mouche. Les répliques cultes et mémorables, les gags s'enchaînent tout au long du film. Bref excellente Comédie.
Un film qui s'inscrit dans la longue lignée des Bud Spencer et Terence Hill... Vraiment hilarant.. Le duo inséparable fait ici encore une fois mouche... Les répliques cultes et mémorables, les gags s'enchaînent tout au long du film. On croit qu'on a fini de rire que c'est pas fini. Bref excellente Comédie. Attention: quand le film sera fini vous aurez le thème principal en tête pendant longtemps!!
Deux super flics ! est sans aucun doute un des meilleurs épisodes de la saga « Terence Hill et Bud Spencer ». Un divertissement encore très plaisant, certes qui ne brille pas par son histoire où tout nest que prétexte aux bastons (avec les super bruitages), aux baffes du bon gros Bud et aux coups de tatanes de lahuri Terence. « Deux super-flics » amorce la carrière américaine du duo ( premier film italien tourné à Miami) et joue essentiellement sur les attentes du public avec des bagarres à gogo, des gags certes attendus mais du plus bel effet et des scènes de boustiffaille grasse (Terence rotant au nez dune belle nana). Le gros barbu bourru et le blondinet malicieux (dix-sept fois réunis au cinéma à ce jour) jouent la carte de lantagonisme et leur complicité, leur personnalité, leur dynamique, leur alchimie simposent sans difficultés et on suit les aventures de ces Pif et Hercule sans rechigner, bien au contraire. Deux super-flics est une pure comédie, enchaînant les scènes (pour moi) cultes sur un semblant dhistoire de trafic de drogue. Le rythme est soutenu durant deux heures, la réalisation de E.B. Clucher (en fait Enzo Barboni) est alerte, la musique des frères de Angelis est aussi répétitive que drôle et marquante. On ne peut sempêcher de fredonner cet air de guitare lancinant, enjoué, donnant au film un aspect quasi-cartoonesque. Comme je jai déjà mentionné, les intrigues criminelles sont certes confuses, les personnages secondaires à peine esquissés mais la galerie de ces personnages nous fend la gueule comme les différentes bandes que le fameux duo affronte : les dockers du port, la bande de Géronimo (bagarre culte sur le stade de Miami), bagarre encore plus culte contre tous les « méchants ») dans le bowling. Les claques, les coups de poing senchaînent pour notre plus grand plaisir, le divertissement est encore irrésistible trente ans après. Du grand cinéma populaire, un véritable chef-d'oeuvre d'humour des années 70 qui fut un grand succès.