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gimliamideselfes
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1,0
Publiée le 10 avril 2012
Je suis assez déçu de ce film, parce que déjà il y a moins de filles à déshabiller, vu que ça se passe dans un Goulag, elles ne sont pas nues pour un oui ou pour un non, le film part sur un mauvais point. Mais bon quelques scènes peuvent rattraper l'ensemble, du moins dans la première partie du film qui se passe dans un camp de redressement par le travail, parce que justement on est au Goulag, il y a Ilsa qui torture des gens, ils font des expériences pour endoctriner des gens et finalement on est assez proche des deux premiers volets, la neige en plus, les plans sur les poitrines généreuses de jeunes innocentes en moins. Heureusement qu'Ilsa va se dénuder pour un oui ou pour un non, parce que sinon je me serai endormi. Elle a beau être assez vieille, elle est bien conservée. Donc on a une torture qui est pas mal, on fait passer un type sous de la glace jusqu'à qu'il meurt et se noie. Sympa. Mais ça reste de la torture de mâle, où sont les jeunes femmes ? je vous pose la question à vous messieurs les scénaristes ? La seconde partie du film, Ilsa devient maqueresse, bon c'est pas très concluant en fait. J'ai vraiment été déçu de ce film, alors que les deux premiers arrivaient à être pas trop mal, surtout le premier. Mais là c'est vraiment vide et passablement chiant, les seuls moments où j'ai pu rire, c'est lorsque les gens parlent avec un accent russe pas possible, ou bien quelques pieux qui se plantent dans des mecs de manière assez rigolote, mais sinon c'est un peu le néant. Dommage.
Hilarant de stupidité, une actrice principal blonde à gros sein qui ne pense qu'a baisé, un peu de sang, des dialogues miteux. Le genre de film qu'il faut voir bourré, pour trouvé ça comique, dans le cas contraire on se fait chier.
Contrairement à son prédécesseur qui se déroulait dans un pays chaud, "Ilsa, la Tigresse du Goulag" ne remplit pas ses objectifs. Beaucoup moins drôle, excentrique, sensuelle et sanglant que le volet "Ilsa, gardienne du Harem" ce dernier (vrai) opus se veut une copie timide et sans originalité à l'exception d'une seule, celui de raconter une histoire qui se passe essentiellement à... Montréal. Oui, vous avez bien lu... la localisation précise reste Montréal (le "fameux" goulag étant narré une quinzaine de minutes seulement). On est ici toujours dans une histoire abracadabrantesque qui est beaucoup moins fun et limpide que le deuxième opus (je n'ai pas encore vu le premier Ilsa à l'heure où j'écris cette critique), deux éléments qui en faisait pourtant son charme. L'ennui pointe alors rapidement son nez. A fuir à l'exception des fans de grosses poitrines (nombreux !) et d'Ilsa (moins nombreux !)
Le nanard n’est pas un mauvais film. Il est pire ou meilleur que ça. Ce film est le troisième volet d’une trilogie dont je n’ai pas (encore) vu les premiers épisodes. Tout commence en Sibérie où Ilsa dirige d’une main de fer un goulag. Un petit goulag. Les figurants manquaient probablement. Brimades, tortures et jeux sexuels sont le quotidien du camarade colonel Ilsa. Si le film est avant tout concon et malsain comme peut l’être bon nombre de ces films crapoteux d’exploitation, il n’est reste pas moins recommandable. La première demi-heure du film est tout simplement énorme. Compilation kitsch de tant d’outrances, ode à la dérision et au second degré, dialogues génialement ridicules. La suite se passe ailleurs et le sel n’y est plus jusqu’à une fin qui tire très bien son épingle du jeu. Le génie humain n’a pas de limite. Charogne capitaliste !
Moins bien que La Louve des SS. Cette fois-ci toute l'histoire ne se passe pas dans un camp ou ici un goulag. Il n'y a seulement que 30 minutes du film qui se passe dans un camp. Ensuite c'est beaucoup plus soft que le premier en terme de sexe et de gore. Voilà pourquoi ce film perd un bon gros point. Cependant c'est tout aussi kitsch que les précédents. C'est bien nanardesque et Dyanne Thorne est toujours aussi magnifique. Le plus grand intérêt de se film reste bien sûr les scènes de sexe et les dialogues absolument formidables !
En cette ère de liberté, de violence, de stupre et d’amoralité que seront toujours les années 70 à mes yeux, il suffisait d’un minimum de contextualisation pour transformer un petit porno-soft en véritable manifeste politique (enfin, je crois. En tout cas, c’est l’idée que j’ai envie de m’en faire)...et de donner à la sculpturale Dyanne Thorne, à laquelle on pardonnera volontiers sa coiffure perturbante à la Mireille Darc, la certitude qu’on ne l’engageait pas uniquement pour ses très gros poumons. D’ailleurs, le film de prison, c’était un autre truc bien propre à l’époque, et le fait que la prison soit ici en plein air et dans la neige apportait un peu d’exotisme bienvenu à un schéma éculé : après tout, un tigre de Sibérie affamé, c’est un peu plus intéressant qu’un maton avec une enfance difficile. Avec le recul, on comprend évidemment tout à fait ce qui poussait à une telle exposition crue du sadisme propre à la nature des Communistes qui, comme Desproges le savait, torturaient, violaient, buvaient le sang des enfants et manquaient complètement d'autocritique : c’est qu’il fallait donner un peu de coeur au ventre à l’Amérique de Carter qui ne comptait plus ses déculottées. Enfin, tout aurait été beau et bien si la totalité du film s’était déroulé au goulag, entre cosaques brutaux, commissaires politiques pervers, infirmières échaudées par le sauna et le samovar et sadique en chef nue sous sa pelisse en poil d’intellectuel contre-révolutionnaire. Le problème, c’est que toute la seconde moitié du film se déroule au Canada dans les années 70, avec une nanardesque histoire de survivant des camps qui retrouve sa tortionnaire devenue maquerelle à Montréal. Ok, il fait froid et il y a de la neige aussi mais ce n’est plus du tout la même chose, et ça ne présente plus le moindre intérêt. Désolé Ilsa, tu n’as jamais été meilleure que quand tu étais “La louve des SS”.