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Chris46
511 abonnés
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3,0
Publiée le 27 octobre 2014
" cherie , nous avons été rétrécis " un 3e opus sympathique de la saga " cherie , j'ai retrecie les gosses " Dans ce 3ème episode wayne szalinski ( Rick moranis ) notre inventeur farfelu c'est fait accidentellement retrecir lui , sa femme , son frère et sa belle sœur . Ils vont tenter de réparer la situation ... Ce 3ème opus de la saga " cherie , jai retrecie les gosses " est un bon petit film Sympatoche . Alors évidemment on atteint pas le niveau du premier et cultissime premier volet mais sa reste assez divertissant dans l'ensemble . Cette fois ci on reprend l'idée du premier volet sauf que cette fois ci c'est les parents qui vont se retrouver maloncontreusement retrecit et qui vont vivre une serie de peripeties cocasse . Il n'y a pas de redondance avec le premier volet car ils vont vivre des peripeties totalement differentes car ce coup ci le contexte est différent . ils se retrouve retreci a l'intérieur meme de la maison et non plus dans le jardin . Le film n'ai pas aussi drole , inventif et spectaculaire que le premier volet mais sa reste un sympathique divertissement assez amusant dans l'ensemble . Il faut dire aussi que ce 3ème opus est pénaliser par un budget modeste par rapport aux deux premiers films vu que c'est simplement un téléfilm sortit tout drolt en vidéo . Et d'ailleurs sa se ressent dans la réalisation tres moyenne . C'est toujour sympa de retrouver rick moranis dans le rôle du farfelu inventeur wayne szalinski qu'il incarne toujour a merveille . C'est d'ailleur le seul rescapé de la saga car sa femme a été remplacer par une autre actrice ainsi que son fils Adam remplacer également par un autre acteur . Mais c'est pas trop genant . Un 3ème episode amusant qui conclu bien cette sympathique trilogie .
Chérie, nous avons été rétrécis : Ce dernier film de la trilogie fait plutôt office d’épisode annexe, ce n’est pas une suite du tout. Les acteurs sont pas les mêmes, a part le principale : Wayne Szalinski. Ils ont reprit le concept du premier sauf que la, ce n’est pas les enfants qu’ils ont rétrécis, c’est au tour des parents. Bon, on perd en matière de surprise mais l’idée reste toujours aussi efficace. Ce qui a de bien, c’est que les situations sont pas les mêmes : dans le premier, c’était dans le jardin alors que la, tout ce passe dans la maison. Bon, l’humour est toujours bon enfant mais il est moins tordant. Et les quelques clin d’œil aux anciens épisodes sont bien placés. Sinon, coté réalisation, c’est de moins bonne qualité que les autres malgré que ça reste créatif. Mais, il y a un peu trop de flou à mon gout pour les arrières plans. Dommage, car ça fait un peu tv-film, comme l’ensemble du film d’ailleurs. Mais malgré tout, ça reste sympa et divertissent malgré que ce soit le moins bon des trois. C’est juste pour le plaisir de revoir le génie des Szalinski.
Troisième bourde de Wayne Szalinski. Au tour des parents de rétrécir. Malgré une minime vingtaine de minutes pas trop désastreuse, comme le moment ou ils montent sur dans une petite voiture de circuit pour enfant, il vaut pas mieux que son précédent volet, on repart toujours avec la déception de pas retrouver le bonheur du long-métrage de Joe Johnston.
Un pure plaisir, ce film est divertissant du début jusqu’à la fin, découvert petit et vu plus d'une centaines de fois ce fabuleux et envoûtant film est une pure pépite d'or !
Bis repetita. Il semblerait que Wayne Szalinski n’apprenne jamais de ses erreurs puisque ce dernier a l’intention de se servir une dernière fois de son rayon laser (alors qu’il en a formellement plus le droit, après avoir rétrécie ses enfants et agrandis le benjamin de la fratrie). Sauf qu’une fois de plus, une malencontreuse gaffe va être l’élément déclencheur de diverses péripéties…
Disney à visiblement eu les yeux plus gros que le ventre, après les excellents Chérie, j'ai rétréci les gosses (1990) & Chérie, j'ai agrandi le bébé (1992), les revoilà avec un troisième volet et sans le moindre doute, on est clairement face à l’opus de trop, celui qui aurait mieux fait de ne jamais voir le jour, tellement gênant et purement mercantile que ce dernier a écopé d’une exploitation en DTV, c’est dire son absence de potentiel.
Très rapidement, Chérie, nous avons été rétrécis (1997) dévoile éhontément ses nombreux défauts, c’est bien simple, tout ce qui ne figuraient pas dans le 1er opus (le meilleur de la saga), figurent ici. Il est impressionnant de constater à quel point les scénaristes ne se sont pas foulés pour nous chier leur histoire. S’en est tellement navrant, il y a aucune originalité, ils n’ont fait que reprendre à peu de chose près tout ce qu’il se passant dans le 1er volet pour le retranscrire avec les parents dans le rôle-titre (en lieu et place des enfants). Dans le film de Joe Johnston, on s’estimait heureux de voir le film évoluer au cœur de décors réels, de voir les acteurs se donner la réplique dans des reconstitutions gigantesques. Ici, c’est tout le contraire, le film ayant été tourné la plupart du temps sur fond vert, le rendu est particulièrement exécrable. Même la suite, réalisée par Randal Kleiser, n’avait pas osé nous faire cet affront.
S’en est tellement mauvais que l’on jurerait avoir affaire à un mauvais épisode de la série télévisée Chérie, j'ai rétréci les gosses (1997/2000), celle qui était diffusée sur Disney Channel. Serions-nous face à un épisode pilote que les producteurs auraient soigneusement maquillés pour le faire passer pour un 3ème opus ? Bien évidemment que non, puisque nous retrouvons dans le rôle principal Rick Moranis, seul et unique rescapé des précédents opus (qui sera remplacé par Peter Scolari dans la série tv).
Toujours est-il que ce troisième (et dernier) opus s’avère être une piètre suite, tant au niveau de la mise en scène qu’au niveau des décors, côté casting, on préfèrera éviter de s’y attarder, ce dernier s’avère à l’image du film, à savoir catastrophique.
Troisième et dernier opus de la trilogie "Chérie, j'ai rétrécie.agrandi, des gens de la famille", cette fois-ci Wayne Szalinsky se rétrécit lui même avec femme, frère et belle-sœur. "Chérie, nous avons été rétrécis" (1997) réalisé par Dean Cundey, est un film Disney qui fait suite aux aventures de "Chérie, j'ai rétréci les gosses", de Joe Johnston (1989), et de "Chérie, j'ai agrandi le bébé", de Randal Kleiser (1992). Seul le premier film restera la référence, le deuxième accroche moins et ce troisième film tient plus du petit téléfilm sympa à regarder sur Disney Channel un dimanche après-midi pluvieux. A part Rick Moranis, on ne retrouve plus la famille Szalinsky, même le chien a disparu. Un doublage assez criard, des placements de produits en cascade et un budget plus petit. Cependant ça reste regardable. Un petit téléfilm sympathique et pas mal.
On a rétréci les enfants, agrandi un bébé ; quelle autre surprise pouvaient nous réserver les Szalinski ? Rétrécissons les parents ! Si on a le plaisir de retrouver Rick Moranis, il est le seul rescapé des aventures précédentes. Chérie, nous avons été rétrécis ne s’est pas beaucoup embarrassé reprenant certaines scènes du premier épisode. L’idée du bain de céréales est ici exploitée avec un plongeon dans un bol de sauce à l’oignon ou il y a encore ce cousin remplaçant la fourmi venant aider nos minuscules héros. Il y a quand même quelques idées sympa comme ce petit tour dans ce circuit ou la descente en bulle de savon mais les effets spéciaux de l’époque ne font plus vraiment rêver. Chérie, j’ai agrandi le bébé était déjà à ranger dans la catégorie “Suite de trop”, ce 3ème volet suit le même chemin.
Ce troisième et ultime volet de la saga chérie j'ai rétréci les gosses est franchement de mauvaise qualité ( pas d'un point de vue image ) mais plutôt scénario, pratiquement rien à garder dans le film , la réalisation pas bonne, histoire multi répéter qui tourne vite en rond , aucun gags de qualité, seul les effets spéciaux de haut niveau relève le film , même les comédien ne sont pas à la hauteur , mais à noter la présence de Mila Kunis (enfant a l'époque ) qui tiens la un de ses primeur pas a du cinéma avec déjà sa petite bouille bien arrondi qu'elle gardera une fois adulte . résumer : Voulant se débarrasser d'un totem, Wayne Szalinsky et son frère Gordon , ainsi que leurs femmes, se retrouvent rétrécis à la suite d'une mauvaise manipulation du rayon rétrécisseur. 1h15 de film très ennuyeux pour une faible durée de film .
"Chérie, Nous Avons Eté Rétrécis" et le 3em et dernier opus de la franchise "Chérie j'ai.." produite par "Disney" et revient indéniablement à ses 1er amours. Avant de remiser définitivement sa machine infernale, "Wayne" ne peut s'empêcher de la ressortir une dernière fois et la catastrophe se reproduit: Il s'est rétréci ainsi que son frère et leurs épouses. Une grande panique s'ensuit et les parents lilliputiens s'évertuent d'attirer l'attention de leurs enfants. On retrouve le délire du 1er épisode situé dans la maison familiale avec quelques scènes particulièrement drôles. Un circuit "Hot Weels" qui fait figure de véritable montagnes Russes, un bol de sauce à l'oignon géant dans lequel les héros se retrouvent à 2 doigts de se faire becter, "Wayne" qui se retrouve à magouiller dans les composants de sa chaine "Hi-Fi", les idées refont clairement surface dans ce dernier segment. Hélas reléguer à un simple "Direct to Vidéo", "Chérie, Nous Avons Eté Rétrécis" aurait largement mérité un budget plus conséquent, des effets spéciaux plus aboutis et une meilleur distribution. Mais le métrage s'avère au final des plus sympathique et renoue avec ses origines de manière nostalgique pour un spectacle familial de qualité !
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2,5
Publiée le 6 janvier 2022
Pas d'angoisse, Wayne Szalinski a l'affaire bien en main! Après avoir rètrèci ses gosses et agrandi son bèbè, ce papa savant et gaffeur va cette fois rèduire les adultes de cette famille à gèomètrie variable! F / X, frissons gèants et gags bon enfant sont au programme de cette troisième mouture! C'est ni plus ni moins qu'une redite de l'èpisode n°1 mais en mode inversè (des parents plus petit qu'un raisin sec affrontent les 1001 dangers que recèle leur maison). Rick Moranis revient dans ce dernier volet (?) d'une populaire trilogie qui s'est, depuis, mètamorphosèe en sèrie tèlèvisèe avec une bonne soixantaine d'èpisodes! L'ensemble est amusant et divertissant mais nous sommes loin du scènario drôle et inventif de "Honey, I Shrunk the Kids" premier du nom! Sinon la boîte aux lettres bizarre des Szalinski rèpond toujours prèsent mais le courrier atterrit une fois sur deux dans les cèrèales...