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real-disciple
81 abonnés
1 024 critiques
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1,5
Publiée le 27 septembre 2012
D'un côté on a des références sympas à des classiques de l'horreur (Shining, Halloween, Psychose) et une part d'autodérision de l'actrice Jennifer Tilly bienvenue bien qu'assez lourde. De l'autre on a totalement changé de rail depuis La fiancée de Chucky, ces dernier font moins peur et les codes sont usés jusqu'à la corde. De plus l'idée du fils androgyne est vraiment nulle, ça n'apporte rien du tout. Chucky se comporte trop humainement et on est loin des frayeurs du premier. La fin suggère une énième suite qui fait qu'on peut se demander si cela ne va pas conduire à la destruction d'une déjà trop longue saga.
bof un chucky finalement décevant avec une histoire pas mal au départ(un fils)mais les réalisateurs on complètement pourrit l'histoire avec un fils qui aime que la paix et qui entraîne sa mère avec luis pendant que le père(chucky)joue les grands méchants loups(comme d’habitude)et (comme d’habitude)spoiler: chucky meure a la fin . Aussi non dans l’ensemble plutôt marrent,sa se laisse voire mais bon,faut pas s'attendre au premiers.
Les Chucky c'est comme le vin, ça se bonnifie avec le temps. ça doit être la seule saga horrifique hollywoodienne à ne pas souffrir des suites minables et sans saveurs à gogo. Dans la droite lignée de "la fiancée de Chucky", le côté rock en moins, ce cinquième opus est encore plus décalé et plus gore, bourré de références comme "Shining", "Halloween", "Psychose" ou encore "Glen ou Glenda" de Ed Wood. On suit ici les problèmes de couple particulier de la poupée de sang et les problèmes identitaires du rejeton autour d'une satire du milieu Hollywoodien, dans une bonne humeur décomplexé qui donne un grosse bananne. Privilégiant encore des effets spéciaux à l'ancienne à base de maquillage et d'animatronique en pleine ère du numérique à outrance, "Le fils de Chucky" reste idèle à une tradition artisanale de la série B tout comme "La fianée de Chucky" et c'est tant mieux.
Je l'ai trouvé pas mal du tout. Peut être parce que c'est le premier film de la saga que je regarde... Toujours est-il qu'on ne se prend pas la tête et qu'on parvient même à rire plusieurs fois. Chucky et Tiffany sont vachement attachants. Mais la fin part dans tous les sens et c'est dommage.
Ayant eu de mauvaises critiques, je me suis tout de même laissé tenté par le dernier opus de la série Chucky, étant donné que La fiancée de Chucky était particulièrement réussi... Diantre ! Quelle déception, ce dernier film ! Dès le début du film, on n'est largué dans une histoire sans queue ni tête avec un fils à l'air malade, frôlant le ridicule et ses deux parents aujourd'hui stars d'une super-production Hollywoodienne, hum ! Des interprétations douteuses (Jennifer Tilly, parfaitement ridicule dans son propre rôle), des dialogues ennuyeux à mourir, quel est le réel but de cette histoire ???! Ce film est décousu de tous les côtés et on attend impatiemment la fin pour voir ce que ça donne et pour voir SURPRISE ! retour à la case départ ! :D
Il aura fallut visiblement attendre le cinquiéme volet des aventures de notre poupée maléfique préférée pour céder à la lassitude. Si l'on riait à bon escient des joutes verbales de notre Chucky dans ses predecesseurs, on peine à esquisser le moindre sourire dans cette éniéme résurrection. Les gags sont éculés, les morts sans aucune originalité, le scénario insipide. Bref, une succession de deceptions pour ce mythe du séptiéme art. Don Mancini, dont on connait l'inspiration et la contribution pour cette saga, n'aura pas réussi son passage à la réalisation sans saveur. Jennifer Tilly se dénigre, joue en constante auto-dérision, si bien qu'elle perd même en crédibilité dans sa propre parodie. C'est le comble. Le cercle familial s'aggrandit, avec un fils trés laid et dépourvu d'objectif. Il assiste, niaisement, à l'activité malsaine à laquelle s'adonnent ses parents "made in japan". Brad Dourif est égal à lui même, dans ce tableau parfois indigeste, et reléve un tant soit peu le niveau de l'oeuvre. Mais ne nous leurrons pas, c'est le moins bon des Chucky. Musicalement, pas de surprise. Même "la fiancée de Chucky" s'en sortait avec les honneurs en comparaison. Un contexte hollywoodien totalement inexploité, avec l'insertion de Redman qui ne contribue en rien à rendre plus immersif l'effet cinéma. Finalement, il n'y a pas grand chose à sauver de cette mascarade cinématographique. Le dénouement (avec une référence assez savoureuse que je tairais) est chaotique et nous raméne au point de départ. L'épilogue n'est pas plus rejouissant : attendu, prévisible. L'impertinence, l'arrogance et la folie de Jennifer Tilly auront suffit pour détourner notre regard. Mais quand bien même l'on supporte ses etats d'âme jonchés de cris stridents et pénibles, on trouve le temps long...trés long...trop long. La poupée serait-elle en phase de liquidation ? Rupture de stocks les amis, plus aucun stratagéme ne fait mouche. Pas drôle, pas innovant et pas personnel, "Le fils de Chucky" aura réussi l'exploit de dégrader ces morceaux de caoutchouc assemblés déjà bien amochés aux cicatrices multiples.
On retrouve la poupée tueuse en famille, mais on est loin des 4 premiers. L'idée de départ n'est pas trop mal, mais le résultat n'est pas au niveau. Des dialogues loin d'ètre irrésistibles. C'est a voir pour chucky toujours aussi délire, et bien marrant. Son fils déjanté (au vu des parents) nous offre un final dans la scène de l'hopital n'est pas trop mal puis la fin...... 2.5/5
Certes, l'histoire est un peu beaucoup tirée par les cheveux... Mais c'est super ! Il y a vrément une touche de "modernité" qu'il n'yavait pas dans les autre volet de la saga Chucky. ET puis le scénario est plein de rebondissements !! A voir, ça vaut le coup !
Pour le dernier opus de sa saga, dont il a écrit toutes les itérations, passant du thriller à la comédie franche, les studios Rogue offraient à Don Mancini la réalisation du meilleur épisode de Chucky à aujourd'hui.
En effet, cet épisode prend le parti pris du méta film avec une Jennifer Tilly, déjà très impressionnante dans l'opus précédant, qui joue son propre rôle et qui a un rôle décisif dans ce film. Elle y est parfaite. Autour d'elle gravitent des acteurs qui ne sont là que pour leurs références, mais qui tiennent leur place de manière plus qu'honorable, comme Hannah Spearitt (ex-S Club 7) ou John Waters. Alors, qu'est ce qui fait que ce film est de loin le meilleur Chucky?
Eh bien pour commencer, sa dimension méta film, assez saisissante car absolument pas envahissante et pourtant toujours présente. Mais ce qui le rend surtout bon, c'est cet esprit ravageur, cet irrespect total de toute bienséance, cet humour souvent honteux et ultra-vulgaire, mais tout le temps drôle. Tout y passe, même Britney Spears et Martha Stewart. Quant à Brad Dourif? Il retrouve toute sa verve du premier épisode avec cette révélation incroyable sous forme de parodie de film d'horreur, quand il nous explique qu'il aime être une poupée...
En tout cas, une fin de rêve pour une saga inégale mais toujours politiquement incorrecte.
Dernier volet et c'est celui qui fallait pas voir. C'est le créateur lui-même de la poupée, Don Mancini qui s'occupe de la réalisation. C'est catégoriquement le pire volet, j'arrive pas à encaisser sa gueule. Le scénario est pas un cadeau, c'est proche d'un mauvais Scream 3. Jennifer Tilly revient en scène pourquoi avoir fait cela en sachant spoiler: que dans le premier elle est dead . Maintenant il pourrait y avoir un remake à venir de Chucky, par espoir ou désespoir affaire à suivre, encore une fois à surveiller parce que c'est Mancini qui rempile, alors je le souhaite qu'il se plante pas cette fois...
Mouais bof,le fils de chucky est marrant,les vannes de chucky sont marrante(surtout celles sur son fils)mais le film est assez lent.Du coup l'ennuie viens vite,trop vite,on sent que le scénario a été bâclé.C'est dommage de terminé(ou pas)une serie comme celle la sur un film aussi moyen.