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Un visiteur
2,5
Publiée le 10 avril 2007
Par rapport à l'opus précédent, j'ai trouvé ce film très moyen. En effet, le film s'oriente plus vers la comédie en nous montrant beaucoup les relations à l'intérieur de la famille de chucky. Toutefois, le réalisateur oublie completement le coté horreur. Il y a malheureusement trop peu de meurtres et trop de peu de scènes gore. C'est dommage.
Excellent film ou l'on rit beaucoup ce film est dans la ligné du précédent opus c'est a dire que l'humour a remplacé l'horreur.Cependant quelques scenes gore rappelleront que Chucky reste Chucky. Bref si vous etes fan vous allez adorer,les autres si vous voulez rire vous ne serez pas déçus.
Pauvre Chucky, il avait déjà récolté une femme insupportable, maintenant voilà que la famille s'aggrandit avec son fils (ou sa fille) qui est une véritable tête à claques. Le film reste dans la lignée de la Fiancée de Chucky, c'est à dire un mélange de film d'horreur et de comédie pas terrible
Ce dernier volet de Chucky ressemble un peu à une parodie des anciens Chucky. Dans ce film, on a plus peur, mais on voit un spectacle comique macabre sans grand interet mais qui est réussit quand mème je trouve.
Depuis son retour fracassant en 1998, la poupée tueuse a ranimé les espoirs de son producteur David Kirschner ainsi que de son scénariste officiel Don Mancini. On découvrait donc à la fin du quatrième opus la naissance de la progéniture du couple meurtrier Chucky et Tiffany. Six ans plus tard, nous découvrons enfin ce qu'il est devenu. Mancini passe donc également à la réalisation pour clore ce chapitre final. Hélas, ce cinquième film est le moins bon de la saga, les mésaventures de la poupée tueuse partant trop en drame familial plutôt qu'en véritable film d'horreur. Les nouveautés de ce scénario ne sont tout de même pas à jeter à la poubelle : outre la psychologie des poupées qui a progressé à une allure folle et nous ont fait désormais complètement oublier qu'elles sont faites de plastique, Mancini reprend le coup classique du film dans le film. Une audace aussi sympathique que casse-gueule quand elle est mise entre de mauvaises mains... Accompagné de quelques cameos sympathiques (dont un John Waters en paparazzi machiavélique), le scénario oscille entre satire de l'industrie cinématographique, drame familial et slasher classique toujours aussi gore. Comme à son habitude, le réalisateur-scénariste place plusieurs références ciné dans son histoire et après La fiancée de Frankenstein, voici la trame de Glen or Glenda d'Ed Wood retranscrite façon Chucky, l'occasion de redécouvrir une nouvelle dimension au personnage imaginé il y a quinze ans. Ceci dit, le film s'avère inégal, le scénario part dans tous les sens à partir de la deuxième moitié du film et, à force de mettre des références de partout (Shining, Psychose, Body Double...), le long-métrage lasse plus qu'il n'amuse. On regrettera donc ce parti-pris pour la gaudriole qui fait de ce cinquième opus une œuvre respectable mais non dénuée d'un amer goût de déception.
Après "La fiancée de Chucky" (1998) qui amorçait déjà le tournant parodique qu'allait emprunter la saga des Chucky, Don Mancini (scénariste des précédents épisodes) prend le relais et passe à la réalisation pour livrer ce qui pourrait être l'ultime volet de la série au risque, autrement, de tourner en rond, la fin donnant la forte impression que la boucle amorcée avec le premier Chucky est bel et bien bouclée.
Après quatre volets plus ou moins réussis, l'auteur/réalisateur a visiblement fini par vouer une certaine affection pour ses poupées délicieusement horrifiques et semble ainsi bien plus préoccupé à traîter de la "vie" (sic) de celles-ci, de leurs questionnements existentiels (qui l'eût cru !), de leur quête improbable de rédemption (l'apparition subite de leur rejeton asexué poussant Chucky et Tiffany à devenir tant bien que mal des parents modèles) qu'autre chose.
Ce qui a pour résultat - incongru mais plaisant - de conférer au "Fils de Chucky" un aspect amusant de "comédie-familiale-sur-fond-de-film-d'horreur", les meurtres, expéditifs et dédramatisés à outrance, n'apparaissant que comme de simples formalités, histoire de contenter un minimum le spectateur avide d'hémoglobine... qui risque, pour le coup, d'être un peu déçu.
Côté casting, Jennifer Tilly interprète son propre rôle avec un second degré hilarant. D'ailleurs, l'humour n'est pas en reste dans ce volet irrévérencieux au possible... même si on est en droit de préférer les films d'horreur plus orientés sur un premier degré glaçant qui ont fait un joli retour en force depuis le remake réussi, en 2003, de "Massacre à la tronçonneuse".
On notera également, pour finir, la participation de seconds rôles sympathiques comme Hannah Spearritt (ex-chanteuse/comédienne de S club 7) et un chauffeur de taxi éperdumment amoureux de Jennifer Tilly qui vaut son pesant de situations cyniquement comiques et jubilatoires... Un plaisir qui ne se boude pas.
Moins bon que "La fiancé de Chucky" mais d'un niveau très correct, cette suite nous réserve quelques moments de franche rigolade (décidemment Chucky est plus drôle qu'effrayant) avec les efforts de la poupée tueuse pour être un bon père, les états d'âme de Tiffany ou les questions existencielles de Glem/Glenda. Moins abouti que son prédecesseur mais très drôle quand même (il faut voir Chucky se masturber en ombre chinoise ou Jennifer Tilly se foutre ouvertement d'elle même en s'autoparodiant d'une façon assez hallucinante). A noter, le rôle de John Waters.
Le Fils de Chucky est dans la droite ligne de la Fiancée de Chucky, sa suite directe. Ce deuxième opus est aussi réussi que le précédent, ce qui prime ici est avant tout l'humour horrible, et non le coté Slasher et Serial killer. On retrouve la fabuleuse et rigolote Jennifer Tilly dans son propre rôle d'actrice peu connue, à tord car c'est une des actrices américaines les plus charmantes à ce jour. Je ne ferais pas l'inventaire des gags et diverses situations cocasses de cette suite, toujours empreinte de quelques références. Elle se partage avec "la Fiancée de Chucky" l'oscar du meilleur film horriblement drole.
Film a prendre au second degré on rit plus qu'on ne cri, c'est parodique rigolo, aller on sursaute une fois.. ça vaut le coup La poupée a une voix de punk a la recherche d'une bouteille de vin et est rigolote de vulgarité. Bon ça fera surement pas rire tout le monde mais moi si !
Au rayon des films d'horreur considérés comme des classiques du genre, "Le fils de Chucky" ne peut que trouver sa place. Tout d'abord, ce film est tout sauf sérieux. Un brin potache, mais sans patauger dans l'excès, un brin sanglant, en évitant d'aller jusqu'aux effusions qui n'en finissent pas de souiller les rideaux fraîchement lavés, un brin ironique, un brin... Et tous ces brins tressés ensemble constituent une corde solide avec laquelle Chucky ligote Jennifer Tilly pour... Oui, Jennifer Tilly. Pourquoi elle ? Après "Bound", le registre change radicalement. L'actrice s'en donne à cur joie, s'époumonne en permanence, court à droite, court à gauche, poursuivie par une poupée psychopathe et lubrique à souhait. Ce film est idéal pour passer un samedi soir, un couteau de boucher... euh, un saladier de pop-corn à portée de main.
Plus de rire que de peur, ce film m'a fait déliré, et en plus il suit bien avec "la fiancée de chucky", je met quatres étoiles, car il fait vraiment rire, peut-être moins gore que le précédent chucky, mais en ts cas, je me suis amusé ! P.S : trop chou chucky, il est trop mignon