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Un visiteur
0,5
Publiée le 9 octobre 2006
Le 5e volet de "Chucky" ressemble fort au 4e, sans innover davantage... Ses clins d'oeil parodiques (Halloween, Psychose, Dracula...) deviennent vite le seul intérêt de ce film très étrange, burlesque et dans lequel le ridicule tue. Si vous voulez passer un bon moment, revoyez plutôt le premier!
la saga Chucky est pas excellente, loin de la, mais c'est amusant, et plutot culte... mais cet épisode est nul a chier, déja le précédent tombait tres tres bas mais alors la ...
4ème film et plus aucun signe des personnages du tout début, cette très moderne version de Chucky nous offre pourtant un générique très bien penser, mais visuellement raté. Une seule évolution est présente dans ce volet, les 2 poupées qui sont stars de cinéma et toujours aussi criminelles. Je n'ai malheureusement pas pu voir le précédent mais à en juger le résumé par Wikipédia, j'en est conclu que la vieille génération avait brandie son clap de fin. Réellement dommage, à croire que les scénariste n'en on plu voulu de ce jeune enfant devenu ado à l'école militaire et rêveur d'une demoiselle ayant elle-même des attirances pour lui. Niveau visuel, le trop moderne à eut raison de cette presque mauvaise qualité, certes le design de notre meurtrier est très bien, mais le simple fait de l'avoir trop modernisé nous supprime totalement le charme des 3 premiers films. Plus de brave-gars, plus d'usine de fabrique, plus d'environnement enfantin, plus de jeune garçon tirailler par cette dernière. Plus rien de nostalgique pouvant être mêler au moderne. Vraiment dommage, par contre, les scènes entre Chucky, sa fiancée et leur fils furent plutôt bien mises en scène, même si très sincèrement, les acteurs eux, sont en totale roue libre. J'espère seulement ne pas voir un final de saga laborieux.
Et de trois, la famille au complet ! Toujours d'ébordant d'humour et de violence sanguinaire, le fils moins sur, et Jennifer Tilly est tout autant attachante que folle.
Chucky a un fils (ou une fille ?) Plus éprouvant que jamais, cet "ultime" épisode de la poupée de cire n'a plus rien d'effrayant, ni rien de drôle (voir la fiancée de Chucky dans ce cas) C'est risible, décousu, carrément navrant... Et dire qu'une suite est probable...croiser les doigts pour un juste bon épisode est pratiquement une utopie ici.
Un véritable désastre qui termine la saga avec une serie de stupidités plus pitoyable les unes que les autres ! La vf est immonde, le fils de chucky est meme pas attirant du tout, on plonge dans la débilité complete avec cette famille de poupées ridicule. Après le pétard mouillé "la Fiancée de Chucky" on a droit à une suite encore plus répugnante qui enchaine des conneries sur des conneries. rien est drole dans ce film, et ils croient qu'on va se marrer devant un fils hermaphrodite, des pseudo-scenes de sex avec chucky qui se masturbe par exemple ? Pitoyable tout simplement grotesque qui reduit le charme du vrai "Chucky" à néant ! Les 3 premiers restent les meilleurs (et encore le 3 tombe bien bas aussi) et auraient été suffisant. Pourquoi avoir fait des suites aussi merdiques et cartoonesques ? Simplement pour faire connaitre la poupée Chucky à la nouvelle génération ? Et c'est comme ça qu'ils comptent avoir du succes en fesant passer Chucky et sa famille pour une famille débile comparable avec les "Simpsons" ? Quelle deception...je ne reconnais plus le Chucky qui m'a effrayé quand j'étais gosse et que j'admirais jusqu'à maintenant. 0,5/5 pour quelques scenes gores qui ne sauvent pas le film de toute cette débilité profonde.
Depuis son retour fracassant en 1998, la poupée tueuse a ranimé les espoirs de son producteur David Kirschner ainsi que de son scénariste officiel Don Mancini. On découvrait donc à la fin du quatrième opus la naissance de la progéniture du couple meurtrier Chucky et Tiffany. Six ans plus tard, nous découvrons enfin ce qu'il est devenu. Mancini passe donc également à la réalisation pour clore ce chapitre final. Hélas, ce cinquième film est le moins bon de la saga, les mésaventures de la poupée tueuse partant trop en drame familial plutôt qu'en véritable film d'horreur. Les nouveautés de ce scénario ne sont tout de même pas à jeter à la poubelle : outre la psychologie des poupées qui a progressé à une allure folle et nous ont fait désormais complètement oublier qu'elles sont faites de plastique, Mancini reprend le coup classique du film dans le film. Une audace aussi sympathique que casse-gueule quand elle est mise entre de mauvaises mains... Accompagné de quelques cameos sympathiques (dont un John Waters en paparazzi machiavélique), le scénario oscille entre satire de l'industrie cinématographique, drame familial et slasher classique toujours aussi gore. Comme à son habitude, le réalisateur-scénariste place plusieurs références ciné dans son histoire et après La fiancée de Frankenstein, voici la trame de Glen or Glenda d'Ed Wood retranscrite façon Chucky, l'occasion de redécouvrir une nouvelle dimension au personnage imaginé il y a quinze ans. Ceci dit, le film s'avère inégal, le scénario part dans tous les sens à partir de la deuxième moitié du film et, à force de mettre des références de partout (Shining, Psychose, Body Double...), le long-métrage lasse plus qu'il n'amuse. On regrettera donc ce parti-pris pour la gaudriole qui fait de ce cinquième opus une œuvre respectable mais non dénuée d'un amer goût de déception.
Vraiment pas terrible les effets spéciaux et le scénario laisse à désirer... Un chucky vraiment raté voir même pathétique avec des acteurs qui jouent très mal.
J'Adore cette suite de la Fiancée de Chucky , on reste dans la continuité des autres , j'aime le coté humour et gore, je suis Fan de la saga Chucky tous les films sont top mais j'ai une Préférence pour La Fiancée de Chucky et Le FIls de Chucky mais ils sont tous bien !
Drôle, un peu gore, très bien réalisé, ironique à souhait, une excellente surprise ! Jennifer Tilly qui a accepté le jeu de l'autodérision, comme les autres acteurs (Redman, John Waters) et les nombreux clins d'oeil valent le détour !
Un petit bijou d'humour noir qui ne plaira pas à tout le monde, parce que ce film est avant tout une grande déconnade où rien n'est pris au sérieux (il n'aurait plus manqué que ça !) Le cahier des charges est correctement rempli, du gore et de l'hémoglobine à gogo, de l'absurdité à tous les étages, c'en est jouissif. Quant à Jennifer Tilly elle est incroyablement sexy dans ce film... Et puis en début de film la référence à Psychose fallait oser ! On ne s'ennuie pas une seconde ! Un régal !.
Derrière l'épisode qui su relancer admirablement la série de façon jubilatoire, ce cinquième opus n'est malheureusement plus dirigé par Ronny Yu mais bien par son scénariste d'origine Don Mancini. Celui là même qui réalisera également le deux suivants avant d'être remaké. La poupée maléfique continu son périple et grâce à sa fiancée, c'est à présent un fils qui va se mettre en travers de leur route. Le film mise beaucoup sur l'humour et les références comme son aîné sans être aussi séduisant ni savoureux. Ce qu'on apprécie le plus, une fin qui annonçait un vrai renouvellement... qui ne viendra finalement jamais. Glen ne sera jamais la relève de Chucky et s'est tant mieux car le temps aura prouvé que même son auteur renie cet opus.
Pour le dernier opus de sa saga, dont il a écrit toutes les itérations, passant du thriller à la comédie franche, les studios Rogue offraient à Don Mancini la réalisation du meilleur épisode de Chucky à aujourd'hui.
En effet, cet épisode prend le parti pris du méta film avec une Jennifer Tilly, déjà très impressionnante dans l'opus précédant, qui joue son propre rôle et qui a un rôle décisif dans ce film. Elle y est parfaite. Autour d'elle gravitent des acteurs qui ne sont là que pour leurs références, mais qui tiennent leur place de manière plus qu'honorable, comme Hannah Spearitt (ex-S Club 7) ou John Waters. Alors, qu'est ce qui fait que ce film est de loin le meilleur Chucky?
Eh bien pour commencer, sa dimension méta film, assez saisissante car absolument pas envahissante et pourtant toujours présente. Mais ce qui le rend surtout bon, c'est cet esprit ravageur, cet irrespect total de toute bienséance, cet humour souvent honteux et ultra-vulgaire, mais tout le temps drôle. Tout y passe, même Britney Spears et Martha Stewart. Quant à Brad Dourif? Il retrouve toute sa verve du premier épisode avec cette révélation incroyable sous forme de parodie de film d'horreur, quand il nous explique qu'il aime être une poupée...
En tout cas, une fin de rêve pour une saga inégale mais toujours politiquement incorrecte.