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Un visiteur
1,5
Publiée le 9 novembre 2013
Il n'est pas drôle, Redman est inutile, Chucky: Made In Japan hum... L'opus précédent était plutôt réussi, là il est plutôt raté. Ne vous fiez pas aux apparences, ce film est grotesque.
J'ai toujours aimer les chucky mais je dois avouer que celui là n'est vraiment pas terrible et on sent qu'il l'on fait uniquement pour continuer la saga. Mais j'aime toujours parce que c'est chucky et que il ya plein d'humour et de gore.
Je l'ai trouvé pas mal du tout. Peut être parce que c'est le premier film de la saga que je regarde... Toujours est-il qu'on ne se prend pas la tête et qu'on parvient même à rire plusieurs fois. Chucky et Tiffany sont vachement attachants. Mais la fin part dans tous les sens et c'est dommage.
j'avais beaucoup apprécié les 3 premiers que j'avais vu très jeune et qui m'ont fait passer quelque nuit blanche. j'avais des appréhension pour celui la mais ouf, il est pas ci mal que ça.
Chucky 5 n'est a prendre au sérieux a aucunes secondes, c'est une parodie sadique se moquant même de la saga Chucky elle même. Entre effusion de sang et boyaux éparpillés par ci par là, Chucky reste vraiment une œuvre comique pour ados. Parodiant des œuvres comme Shining (rien qu'a la jaquette, on a compris a quoi s'attendre) ou Cannibal Holocauste, il a su se placer aux plus grandes portes des comédies horrifiques US. Après le scénario, on est pas aller le chercher bien loin... mais bon ça reste divertissant !
Après avoir vu un tel film on ne peut qu'avoir l'idée confortée que Chucky est le pantin de Don Mancini Ad Vitam Eternam. Le zigoto a soit quelques neurones en moins, soit l'envie de faire durer encore un peu le show sans y perdre l’âme de sa créature (comme ce fut malheureusement le cas pour d'autres grandes figures des films de genre dans les années 80) Après avoir usé jusqu’à la corde l'obsession de Chucky pour sa victime favorite : Andy (dans les 3 premiers opus de la franchise) Mancini signait un retour gagnant avec The Bride of Chucky qui versait dans le caustique tout en gardant une trame classique et des meurtres très graphiques. Dans The Seed of Chucky, on chute de plusieurs étages et on se débat désormais dans l'univers terrifiant et vaste de cette bonne vieille série Z. Le Z : que ce soit au niveau de la réalisation, du jeu des acteurs ou d'un scénario tellement barré qu'en plus d'empiler les incongruités, les punchlines débiles et les situations toutes plus invraisemblables les unes que les autres se permet le luxe d’espérer être profond. Malgré tout, les apparitions des poupées sont toutes formidables (quel réalisme !! Vive les trucages a l'ancienne !) les meurtres plutôt sympatoches et il ne manquait pas grand chose en fait pour que ce film soit une réussite. Il aurait fallu une caution pour justifier ce grand n'importe quoi. Rajoutez moi Mancini qui se réveille d'un cauchemar a la fin du film et je dis banco dans un grand eclat de rire; Mais ce ne sont pas les références a Ed Wood, l'auto dérision de Jennifer Tilly ou la présence de John Waters au casting qui suffiront a me faire adhérer a un film foutoir, fourmillant d'idées politiquement incorrectes mais tellement mal fichu qu'il n'est finalement pas si drôle que ça. Quel Dommage !
Chucky et sa fiancée sont de retours, rictus aux lèvres, couteau à la main, ils ont la pèche! Gore et humour émaillent cet épisode qui tire à gros boulet sur les valeurs de la société actuelle et sur Hollywood. Mais Don Mancini délaisse la réflexion au profit de l'efficacité et de scènes toutes plus irrévérencieuses les unes que les autres, blindés de références à un cinéma qui en son temps faisait office de contre culture; statut que revendique ce 5éme épisode qui prend des risques en s'éloignant de l'ambiance des premiers volets. Cette semence de Chucky est un très bon cru, le meilleur de la série à mon sens, mais surtout une pure série B bonnarde à voir entre potes.
"Le fils de Chucky" ne ment pas ses directives d'"Horror-show". A moins d'être atteint, on ne voit pas tous les jours une poupée de 53 cm descendre une bouteille de champagne, conduire une voiture sans code de la route ou se masturber devant "Troma". Petit rouquin caboché au rire sadique, avec sa femme Tiffany, blonde caoutchouteuse, toujours si l'on est pas accro à la poudre, ce n'est pas d'ordinaire de voir une baby-doll exhiber une poitrine abondante, entamer une cure pour cesser de tuer ou jouer les infirmières aux pratiques peu orthodoxes. "Le fils de Chucky", c'est avant tout l'entrée d'un nouveau personnage: la postérité des deux poupées de sang, Shitface est une sorte de Quasimodo qui ne ferait pas de mal à une mouche. Il expose, lors d'interrogations existentielles, sa précarité et une sensibilité à fleur de plastique. Avec une expo d'écriture biscornu telle quelle, le deuxième ordre est de mise devant le premier. Indispensables effets spéciaux: l'animation des marionnettes fait pivoter Chucky et sa famille pour une reconnaisance d'acteurs à temps complet, et les meurtres restent très graphiques. Nuancé avec des couleurs feutrées, le design des décors rapportent à une architecture en viennoiseries. Et pour redonner de ses formes à ce cinquième opus, Jennifer Tilly adopte l'autodérision et fabrique d'elle-même une fille volage goulue au succès à bout de souffle avec Julia Roberts comme concurrente directe.