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Un visiteur
2,5
Publiée le 11 novembre 2006
pfffffff ... oh lala, De Palma atteind rarement la cheville du bouquin d'Elroy ... en plus la VF est totalement risible ... a voir par curiosité, pas plus.
Si vous êtes sujet aux migraines ce film n'est pas pour vous !! A moins que vous ayez lu le livre de J. Ellroy et connaissez déjà la solution ! En effet, si l'ambiance et la reconstitution des années 40 sont plutôt réussies, le scenario est alambiqué au possible ! Le début est bon mais après il ne se passe presque rien pendant 1 heure et la résolution de l'affaire tient dans le dernier quart d'heure ! Et là bon courage pour (tout) comprendre ! Même les acteurs donnent l'impression d'avoir du mal, c'est dire !!!!
je n'ai pas lu le livre donc je ne juge que le film. les acteurs sont trés convainquants, josh Hartnett confirme son talent et est trés séduisant.L'ambiance du film, les décors, les costumes et les voix françaises sont parfaits pour ce polar noir. Le problème c'est l'intrigue trés complexe et la multiplicité des personnages qui font du dahlia noir un film flou. le spectateur a du mal à suivre. Dommage.
Avec LE DALHIA NOIR, on retrouve les thèmes de Brian De Palma et une mise en scène soignée : les scènes classiques descalier, de chute vertigineuse, de scènes dénudées (entre deux femmes), de liens damitié dans un environnement policier, lui-même lié avec des gens douteux agrémenteront les souvenirs. On peut même rajouter une liaison avec le MULHOLAND DRIVE de David Lynch. Au départ du film, il y a le roman de James ELLROY, suite au meurtre non élucidé dune jeune actrice Elisabeth Short, fin des années 40, surnommée Le dalhia noir. Dans le film quelle tourna, elle jouait le rôle dune actrice qui se faisait assassinée. Dailleurs, la mère dELLROY, elle aussi fut assassinée sans que son meurtrier ne fût retrouvé. Le metteur en scène nous plonge dans cette enquête doublée dune histoire damitié et damour refoulé dans un ménage à trois non consommé. Cest un résumé qui ne peut englober chaque faiblesse et surtout fêlures des personnages qui virent même pour certains à lobsession (titre dailleurs dun film de DE PALMA). Si lon perçoit la structure du roman, sa richesse, le commentaire de Brian de Palma qui disait quil a dû faire un choix de certaines scènes pour que son film que son dure deux heures nous prouve quil na pas fait les bons choix. Aux 2/3 du film, on commence à sennuyer ou plutôt à ne pas savoir vers quel chemin on nous emmène. Entre la dénonciation dun monde politique, dune classe hautement bourgeoise décadente (pas convaincante), dun monde de cinéma bis avec ses films érotiques, des amours contre-nature. Tout est lancé mais rien narrive : largent trouvé, le suicide, la dérive du policier Bleichert, lattente de Kay Lake, et on pourrait encore continuer. Est-ce le syndrome MISSION IMPOSSIBLE (réalisé par De Palma), de faux-semblants ? On arrive à ressentir une lassitude pour un film qui nous perd malgré une mise en scène qui veut retrouver lambiance des films des années 50 sans jamais enlever le sentiment dun film studio.
un peu decue par un film que j'imaginais plus sombre que ca. l'intrigue est parfois assez confuse, on a du mal a bien comprendre toutes les relations entre les personnages ( trop de coupes par rapport au roman??) je m'attendais a quelque chose de beaucoup plus palpitant.
J'attendais avec impatience la nouvelle apparition de Josh HARTNETT (Virgin Suicides, Pearl Harbourg, la Chute du Faucon Noir, etc) .... Le metteur en scène n'a apparemment pas laissé s'exprimer les acteurs car ni lui, ni Scarlett Johanson, ni Hilary Swank ne semblent à l'aise ds le film. Un peu de folie aurait été la bienvenue ........ Décevant. Bien fait, mais pas inoubliable, hélas !
La bande annonce laissait présager un film énorme, grace à son beau casting. En effet, les acteurs sont tous parfaits, mais c'est du côté du scénario que le film pêche. Quand on le voit pour la première fois, du moins, car la deuxième, on maitrise un peu plus les noms des personnages (très nombreux et tous importants), mais le charme de la première fois s'efface... Le film nous plonge au coeurs du mal, cet univers très, très noir, avec brio. Les "psychopates" le sont vraiment, et les femmes sont vraiment fatals. Mais du côté de l'intrigue, on se perd carrément: les dialogues sont à peine prononcés et très courts, on entend pas très bien les noms de tout le monde. Et vu le nombre impressionnant de personnages secondaires, au bout d'une heure, quand on prononce un nom, on ne sait plus de qui on parle... Et comme il y a beaucoup de sous-intrigues, on ne comprends rien, caron a pas assez d'explications dans les dialogues qu'on entend à peine... Mais bonne nouvelle: même si on peut s'ennuier pendant le film, on en resort pas indeme...
Le début de film commence tout à fait bien, mais plus on avance et plus le film devient de plus en plus long, et confus d'ailleurs on ne comprend pas très bien la fin du film. L'histoire est tout à fait interessante mais la mise en scène ne suit pas trop.
Le film est esthétiquement magnifique et quelques scènes sont superbes. Mais adapter un livre d'Ellroy est forcement compliqué... et ce qui marche à l'écrit passe beaucoup moins bien à l'écran. (milieu du film ennuyeux, fin bâclée). En plus, il est clair que des scènes ont due être coupées au montage... dommage. Enfin, le choix de certains acteurs parait peu judicieux. Le talent de De Palma ne permet donc pas de sortir le film de la moyenne.
A première vue, il y avait tout les atouts pour donner un bon film : un scénario riche et passionnant mis en scène par réalisateur brillant, avec en plus un casting prestigieux. Le travail de Brian De Palma est impeccable : le réalisateur manie toujours aussi bien sa caméra et nous offre des plans extrêmement bien filmés. Il est aussi bien aidé par des décors somptueux et une image très belle. Les années 1950 ont été retranscrites à la perfection. Le Dahlia noir rappelle les vieux films sans jamais passer pour un film vieillot. Chapeau! Pour le fond, De Palma avait matière à livrer un polar passionnant. Le meurtre de Betty Short, alias le Dahlia noir, est considéré comme lun des assassinats qui marqua lAmérique. Or, dans ce film, difficile de croire que ce meurtre est exceptionnel tant il est traité avec banalité et ne semble pas intéresser grand monde. De Palma le relègue même à larrière plan. Alors que le corps a été découvert, on a droit à des scènes plus ou moins réussies mais qui nous laissent indifférents : elles se trouvent là mais on ne voit pas très bien pourquoi. Heureusement, la dernière demi-heure du film relève un peu le niveau, car elle se révèle plus captivante, notamment avec la résolution de lénigme. Et là, on se dit que toutes ses scènes qui nous paraissaient superflues avaient pour rôle de détourner lattention du spectateur, afin quil ne se doute pas du final. Lautre gros problème du Dahlia Noir est linterprétation. Josh Hartnett fait tout ce quil peut pour faire vivre son personnage mais ses capacités semblent bien limitées tant Bucky est transparent dans le film. Mais la mauvaise surprise vient des seconds rôles. Si Scarlett Johansson tire son épingle du jeu, le contre-emploi Hilary Swank est un vrai désastre et Aaron Eckhart nous avait habitué à beabeaucoup mieux. Le dahlia noir reste cependant un polar moyen esthétiquement très beau qui se laisse regarder. Mais moyen ne devrait pas pouvoir être dans la même phrase que Brian De Palma?
Allez deux étoiles parce que les acteurs sont très bien, le côté rétro est bien porté à l'écran, on a vraiment l'impression de voir un film d'époque mais alors qu'est ce qu'on se perd, à se demander ce que certains personnages faisait là et pourtant chez chercher des solutions mais james ellroy a peut être trop cherché de son côté.
J'attendais ce film avec impatience, car je me suis passionnée depuis longtemps pour ce fait divers. La mort atroce d'une jeune fille d'une vingtaine d'année. Affaire qui n'a jamais été élucidée -si l'on excepte le dernier ouvrage d'un policier affirmant que son père était le ou l'un des meurtriers- Comme tous les romans d'Ellroy, c'est compliqué, tordu, souvent incompréhensible. Il faut décanter (comme il a été fait pour l'excellent LA Confidential compliqué mais passionnant) Dans ce film De Palma a aligné des scènes, des combats de boxe (!) des fusillades qui se suivent mais n'ont rien à voir les unes avec les autres. Pauvre Dahlia noir perdu dans tout ce fatras. On aperçoit à peine une actrice mignonne mais fade. Elle est eclipsée par une beauté blonde et une autre brune qui sont là comme un cheveu sur la soupe.Le détective est trop occupé avec elles pour s'occuper de la suppliciée. Il y avait eu un excellent film TV avec une Elisabeth Short qui crevait l'écran. On suivait son parcours de A à Z, c'était elle l'héroïne malheureuse. Mettre en fond l'ambiance corrompue de L.A. OK mais étouffer le vrai sujet ça me paraît aberrant. De plus ce film n'est passé en ville qu'en VO. Merci pour les millions de français qui ne parlent pas ou peu anglais et dont la vue a du mal à lire les sous titres blancs sur un fond clair..Dommage, on aurait pu avoir un excellent film