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Un visiteur
0,5
Publiée le 31 janvier 2010
Adaptation stylée et soignée mais ratée de ce chef d'oeuvre de littérature. De Palma rend simple tout ce qui ne l'était pas dans le livre et livre un polar attendu et franchement risible sur la fin. Josh Harnett manque de présence et les seconds rôles féminins sont réduits au rang de potiches de service. Raté de raté sur le fond, soignée sur la forme.
Alors là je croit qu'on touche le fond. Après le minable Scarface DePalma nous qu'il est toujours aussi pour faire des polars catastrophiques. De grands acteurs dans un grand navet.
brian de palma a perdu son talent de metteur en scene et ce depuis plus de 10 ans dernier grand film l'impasse puis les navets se sont succedes mission to mars,femme fatale.....Pour ce qui est du dahlia noir il s'agit encore d'un navet film plat sans suspense,sans rebondissements en bref un ennui total.les acteurs sont mauvais josh hartnett n'a aucun charisme et n'est pas fait pour ce genre de role.A ECKART n'est meme pas un second role de qualité alors quand on lui donne un role dans un DE PALMA je pleure de rage ou sont passés les luis guzman,john leguizamo;f murray abraham et dennis franz,je ne m'attarde pas sur les roles féminins qui de toute facon sont decoratifs,CONCLUSION RIEN A RETENIR DE POSITIF DANS CE FILM
Un ratage complet, au scénario beaucoup trop compliqué, qui convoque beaucoup trop de personnages peu intéressants. Le principal problême est qu'il n'y a pas de fil conducteur: les héros-flics sont sur plein d'affaires en même temps, et on ne sait jamais où et pourquoi ils sont à tel endroit en train de se faire tirer dessus par des méchants qu'ils évoquent par leurs noms impossibles à retenir de mémoire au cours de dialogues soporifiques. Le film se contente d'être poseur, tape à l'oeil, avec des beaux acteurs dans leurs beaux costumes et leurs voitures d'époque. Vous vous en doutez, devant un tel ennui, j'ai été contraint d'arrêter avant la fin. Ressaisis-toi, Brian! T'es quand même le mec qui a fait Carrie, les incorruptibles, Snake eyes, l'impasse, Scarface, Furie et j'en passe... T'as perdu la main de puis Mission to mars ou quoi?
Bon, bah voilà l'histoire d'un flic des années 40. Après être devenu pote avec la star locale de la police et tenir la chandelle à sa femme, il devient l'inspecteur chargé de découvrir qui a tué le Dahlia Noir, une jeune femme traînant dans Los Angeles à la recherche de la gloire et tutti quanti, mais qui s'est faite refroidir et refaire le visage tant qu'à faire. Voilà c'est tout. End Game. Le réalisateur, les personnages, tout le monde semble se foutre royalement de la mort de cette fille paumé. De Palma semble davantage s'intéresser à se faire son film noir, le film aurait pu évoquer la naissance du ramassage des poubelles, le recyclage du verre, l'invention de l'arrosage automatique, personne n'y aurait vu de différence. C'est comme ça. Tous les grands réalisateurs (ou tout du moins, ceux qui se considèrent comme tels) doivent faire un film noir, un passage obligé, Un truc bien à mettre sur leur C.V. : " Je vois que vous avez fait jouer Garcia (Andy pas José), diriger Connery, vous avez fait un film noir et vous êtes même allé à Disney World !" Josh Hartnett démontre qu'il est sans véritable charisme , incapable de nous passionner pour ce mauvais remake de L.A. Confidential; Aaron Eckhart et transparent avec ce rôle de flic aux tics et faussement nerveux, Hilary Swank pas belle et la plus improbable femme fatale qu'il puisse exister, Scarlett Johansson avec un rôle secondaire et inexploité. Le film enchaîne de manière maladroite et bancale des découvertes sans importances, des relations avec des filles sans intérêts, des rebondissements à tiroirs théâtrales au possible, donnant l'impression de regarder un vaudeville plutôt qu'un film noir, sombre et amoral comme c'était fait à l'époque. La bonne blague....
Voilà un polar foiré sous couverts d'artifices grotesques tels que les décors, les tabous ou les costumes. Tous les acteurs sont peu convaincants et surtout l'histoire est chiante à mourrir. La faute notamment à une narration désastreuse, à une intrigue bâclée. De Palma devra nous servir autre chose qu'un semblant de polar sauce hollywood car on ne rentre pas dedans un seul instant. A oublier.
Un monument d'ennui qui m'a été difficilement supportable de regarder jusqu'au bout.L'intrigue est chiante, longue ,inutile.L'intrigue du dit dahlia noir n'est que survolée tres brievement, a croire que De Palma s'en foutait un peu, preferant se concentrer sur les relations sur le trio principal(dont la relation entre josh hartnett et scarlett johanson). C'est interminable, enfin bon, si vous comptez arreter le lexomil ou le xanax, je vous le conseille vivement, vous m'en direz des nouvelles....bonne nuit de sommeil garantie
malgré tous les efforts possibles et inimaginables, je n'ai rien compris du début à la fin. Je n'ai jamais autant souhaité sortir de la salle de ciné que le jours où je suis allé le voir... on peut cepandant reconnaitre un effort du côté de la forme; beaux décors, etc...l'ambiance y est mais pas l'histoire!!!
Le Dahlia noir est une excuse pour découvrir la vie de trois personnages. Mais on se fout de leur vies ! Ca tourne à vide, c'est long, aucun intéret à cette vie en trio. Et le dahlia noir dans tout cela : et bien rien ! On découvre le corps, un des enqueteurs composant le trio est omnubilé, mais rien n'avance. Pas d'enquete, un pseudo trio dont rien n'est intéressant. C'est froid comme le cadavre découvert. Un conseil passé votre route !
Choisir de rende à l’écran, la complexité de l’intrigue, la pléthore de personnages, l’ambiance des années 40, qui faisaient l’originalité du roman de Ellroy était un triple défi courageux. Brian De Palma réussi au défi le plus facile : celui de la forme, consistant à nous faire revivre le cinéma noir, les intrigues à la Dashiel Hammet. Mais aux deux vrais défis sur le fond, De Palma échoue lamentablement. Personne, s’il n’a lu le roman, n’est capable, en sortant de la salle, d’expliquer clairement les tenants et les aboutissants des 3 principales intrigues, et de donner avec certitude les liens existant entre les personnages et ces 3 intrigues. Brian de Palma non plus, de toute évidence. Si l’omniscience d’un narrateur intelligent peut l’autoriser à développer une grande complexité dans l’intrigue très stylisée d’un roman, un réalisateur ne peut pas parvenir au même résultat pour un film en se contentant d’une voix off stérile, et d’une mise en scène d’acteurs chargés de donner mécaniquement à la fois les questions et les réponses relatives à l’intrigue. L’échec est d’autant plus cuisant que le choix de ces questions et de ces réponses est si peu judicieux qu’il n’éclaire en rien la compréhension de l’ensemble. Le Dahlia Noir semble illustrer à merveille une triste constatation : De Palma nous a maintes fois impressionnés par ses films en nous exposant judicieusement son admiration quasi obsessionnelle pour Hitchcock, mais jamais par la finesse et l’originalité du traitement des questions de fond de ses films. Un conseil : prendre 4 comprimés de Doliprane AVANT la projection. 2 pour chacune des deux heures de film gaspillées.
J'ai loué ce film il y a quelque temps et je l'ai détesté !!! Il y a des longueurs, l'histoire tourne en rond et on s'ennuie à mourir... Je ne le recommande en aucun cas, sauf si vous avez du mal à vous endormir, dans ce cas, c'est une très bonne berceuse !
Le Dahlia Noir, le film, c'est comment hollywood peut massacrer en 1 film un pur chef d'oeuvre de la litterature... Tout ce qui faisait le sel du livre, et sa grande force, est complètement expurgé pour ne finalement laisser qu'une banale histoire de cul à los angeles. Le livre d'Ellroy était un livre puissant, viril, sur ce fait divers atroce mais avec en toile de fond la décadence d'une ville. Il faut même que ce soit un des personnages du film qui précise que Hilary Swank est censée ressembler au Dahlia Noir pour qu'on le remarque. Car, dans le livre, c'est dans cette passion nécrophile que résidait la violence du personnage de Bucky qui en vient à vouloir coucher avec le sosie d'une morte. Mais dans le film elles n'ont aucune ressemblance. De même toute la partie mexicaine sous fond de trafic de drogues a disparu au profit d'un rebondissement digne d'un des plus mauvais Hitchcock (comme De Palma sait si bien en faire). La rage de l'écriture et du propos ont complètement été émasculé par ce réalisateur de pacotille sans âme. Et le film est à l'image du plan de la découverte du corps : la grue s'éloigne de la découverte macabre pour s'interesser à autre chose, une fusillade sans grand intérêt. Le comble de la nullité est aussi le casting. Tous nuls et fadasses, aucun acteur n'arrive à emporter le morceau (voir à ce sujet les scènes épouvantables du casting du Dahlia Noir). De quoi désesperer du talent des scénaristes hollywoodiens... Ils avaient en effet de quoi faire un sublime film et l'on obtient le pire nanar de l'année ! On se prêt à rêver de ce qu'aurait pu faire un Martin Scorsese ou un Francis F. Coppola avec ce matériau...
Mon dieu mais que ce film est raté !! De Palma s'essaye malencontreusement à des grandes figures de style qu'il ne maîtrise absolument pas et qui rendent le film bancal. On dirait un film de débutant tellement il s'enlise. Pas la peine de le voir, vous l'oublierez une fois la projection terminée.