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Un visiteur
0,5
Publiée le 4 janvier 2010
comment dire. Je l'ai vu et je ne m'en rappel plus... Les acteurs et le scénario devait être tellement prenant que j'en ai aucun souvenir. Les deux acteurs acteurs principaux sont totalement insipide. Bref beaucoup de pub pour pas grand chose...
Le film est très beau, l'ambiance des années 50 et des films noirs est bien retranscrites...Mais personnellement j'ai eu du mal à accrocher. Le scénario part un peu dans tous les sens avec pleins d'intrigues secondaires et je me suis demandé si c'était vraiment nécessaire...et personellement j'émets un doute sur le choix de Josh Harnett pour le rôle principal...
Ennuyeux!! le film est très lent et difficile à suivre puisque les intrigues/rebondissements sont très confus et nous font lacher repidemen et les acteurs sont fades et non attachants. L'ambiande des 40 est le seul point positif de ce film.
L’ambiance voilà l’atout principal de ce film, tout le Los Angeles des années 40 y est : ses policiers corrompus, ces criminels à la petite semaine, ses femmes fatales, les cigarettes fumantes dans tous les plans, les vieilles voitures, les bas-fonds de perdition…. Oui tout y est savoureusement bien rendu. Malheureusement l’histoire alambiquée, typique du polar noir à la Dashiell Hammett, peine à maintenir l’attention et l’intérêt du spectateur. En fait, on est assez perdu dans les rebondissements un peu mollassons de cette enquête, au point qu’à la mise en place des pièces de ce puzzle un peu artificiel on se surprend à n’être ni étonné ni satisfait des explications. Les acteurs sont bons et se fondent bien dans l’ambiance sombre de cet Hollywood des années 40, Hollywood Land en fait. Un film d’ambiance à voir pour les amoureux du polar et des atmosphères rétros mais qui n’en sortiront pas totalement satisfaits, les autres s’ennuieront plutôt devant ce qui ressemble à un exercice de style un peu vain.
Difficile, très difficile même, d’adapter l’excellent roman de James Ellroy. Du livre, Brian De Palma a scrupuleusement suivi la trame et tenté de respecter le scénario, plutôt complexe il faut le souligner. Par contre, on n’en retrouve pas l’aspect dense et foisonnant si particulier, ni la consistance de certaines scènes majeures. Quant aux personnages, la noirceur des uns ou la lente et inéluctable descente aux enfers des autres est plutôt escamotée alors qu’il s’agit d’une constante dans l’oeuvre de ce maître du polar. Alors, au lieu du très grand film légitimement attendu, on a droit à une oeuvre soignée et sérieuse, mais sans charisme.
Long , lent , ennuyeux . Ce sont là trois adjectifs qui pourraient définir ce film . On ne fait qu'admirer le charme des années 30 et la ravissante Hilary Swank . Quant à l'intrigue est presque incompréhensible .
Brian de Palma a incontestablement le sens du cadrage et un goût brillant pour la photographie. Mais l'esthétique du dahlia noir se fait au détriment du reste, à commencer par un scénario qui, en multipliant les fausses pistes, devient confus. Les personnages sont survolés, sous exploités, ils sont superficiels. Même la belle Scarlett Johansson n'est pas naturelle. En appuyant sur la forme, De Palma en oubli le fond.
Même si la réalisation de Brian De Palma reste propre et efficace d’un point de vue esthétique, on ne peut pas en dire autant de l’intrigue ! On se perd dans les noms des personnages, dans leurs habitudes et dans les relations qui les unissent. Le problème est qu’à aucun moment le film ne décolle et De Palma déroule tranquillement son histoire soporifique, avec élégance certes. Coté casting là encore déception, car à part Aaron Eckhart, tous les autres protagonistes manquent de charisme. On se lasse surtout de Josh Hartnett, coureur de jupons, qui se comporte tel un vulgaire débauché… Surtout que ces passages répétitifs, où notre héros salace use de ses qualités de séducteur, sont complètement inutiles dans l’histoire. Serait-ce pour camoufler la faiblesse du scénario ?
Etant moi même fan et fervent défenseur de Brian De Palma, c'est un sentiment cruel et finalement assez désagréable qui s'est emparé de moi à la fin de la vision de ce "Dahlia Noir" : la déception. N'ayant pas lu l'oeuvre de James Ellroy dont le film en est l'adaptation, je me suis retrouvé devant un film à la photographie très soignée et à la mise en scène comme toujours chez De Palma très classe (certains plans sont superbes, comme cette séquence à la première personne lorsque Hartnett est invité à dîner chez le personnage de Hilary Swank), mais malheureusement trop souvent inutile.A côté de cela, le scénario est assez confus, les personnages n'ont pas de charisme et le suspense est absent. On a le droit à une séquence "De Palmienne" la encore assez décevante dans le sens ou on ne retrouve jamais la diabolqiue virtuosité des meilleurs scènes du cinéaste.
Sur le plan esthétique, je ne trouve rien à redire sur la beauté du film, sur la reconstitution minutieuse, le choix des costumes d'époque et l'ambiance choisie. Le point faible se situe, je pense, du côté de l'histoire, à mon avis trop compliquée. Il est en effet facile de se perdre parmis la multitude de personnages, dont on ne retient pas forcément les noms, et des histoires conjointes de Kay et du meurtre du Dalhia. Un film donc à réserver aux fans de De Palma.
L'esthétisme de ce film n'arrive pas à sauver ce dernier; doté d'un scénario assez plat et ennuyeux à la longue, on a du mal à vraiment resté éveillé. Plus de rebondissements et moins de longueurs, l'aurait rendu plus captivant, même si il n'est pas non plus mauvais en tout points. Lle casting, dans sa globalité est très bon...
Persuadé d'accouché d'un chef-d'oeuvre, De Palma accumule les plans hyper-léchés et aligne tous les poncifs du film noir rétro avec jubilation. Mais de l'autre côté de l'écran, ça ronfle. Le récit inutilement embrouillé se dérobe à toute tentative de compréhension. Incapable de d'appréhender les enjeux dramatiques, on se désintéresse des tourments de ces personnages totalement factices. Comme s'il n'était pas déjà assez éprouvant de suivre cette endive de Josh Hartnett et sa tronche de boy-scout gominé pendant 2 heures! Palme d'or de la prétention pour Brian De Palma.
De gros moyens,une superbe photo,un savoir faire de De Palma un peu trop appuyé,un traitement trop littéraire font que la mayonnaise ne prend pas.Je n'ai jamais accroché et le dénouement laisse indifférent.