Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) De Palma réussit à signer un film noir référentiel aux mythes littéraires et cinématographiques, à l'univers d'Ellroy, mais aussi à ses propres films.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Par sa structure morcelée, le film est semblable au corps charcuté d'Elizabeth Short : un objet cliniquement mort, réveillé par le fantasme qu'il suscite en mille échos cauchemardesques ressassés à l'infini.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc lalanne
Du côté des limbes, au pays des morts et des images, c'est le lieu d'où filme De Palma pour un film que son déficit d'incarnation et sa froideur de linceul rendent suprêment magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Le Dahlia noir, lui, n'est pas un porno chic des années 80. Il est rétro, jazzy (...). Un scope d'amoureux transi de la forme classique. Puis, à un moment, ça s'éclaire. La machine à illusions tombe le masque. Et, comme toujours chez De Palma, le film abandonne le brun pour passer au noir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Fausto Fasulo
(...) le plaisir est là, et il est total (...).
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Ouest France
par La Rédaction
On peut avoir du mal à trouver nos repères au fil de cette intrigue complexe qui multiplie les personnages, embrouille les péripéties et désarticule la chronologie. Et tant pis. Parce que par ailleurs on se laisse emporter par la passion et le métier d'un Brian de Palma qui retrouve là des thèmes chers à son cinéma (...)
Paris Match
par Christine Haas
Dommage que le scénariste Josh Friedman n'ait pas sacrifié la multitude d'intrigues secondaires (...) pour se concentrer sur le mystère du Dahlia Noir (...) qui offre les moments les plus fascinants de ce thriller gothique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Christian Viviani
Brian De Palma s'ébroue dans un inépuisable coffre aux merveilles. Il célèbre le pouvoir d'un art qui dépasse pour lui la mystification ou l'esbroufe.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Aurélien Ferenczi
POUR: Il faut dire la jouissance à voir ces très jolis êtres faire de très jolies choses – et de moins jolies – et l'ivresse de se perdre dans une intrigue à tiroirs, mais l'effort d'orientation aura sa récompense.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Le Dahlia noir est un film malade (...) mais aux symptômes particuliers (...) De Palma s'évertue à (...) négliger toutes les prises qui lui semblaient promises.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Michel Palmiéri
(...) Brian de Palma en signe une adaptation habile, structurée par un scénario préçis et servie par des comédiennes (...) en état de grâce. (...) Reste un film correct, politiquement surtout.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
L'adaptation de De Palma est à la fois une réussite et une déception. (...) Le Dahlia noir manque de clair-obscur.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On regrette la complexité d'un scénario confus et d'un dénouement à tiroirs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
Fidèle au livre, il peint un Hollywood décadent et malsain à souhait. Les jeunes acteurs se montrent convaincants, et, si le récit se révèle parfois confus, l'intrigue fonctionne jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Si la première demi-heure, hautement fidèle, augure du meilleur, tout s'écroule trop rapidement.
Première
par Gérard Delorme
Malgré quelques éclairs de folie dégénérée (...) on reste sur l'impression d'un catalogue de perversions déjà vues, une tentative essouflée qui rate le degré de démesure requis pour se qualifier dans la catégorie des grands films hantés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Le roman "intransposable" du mois , c'est Brian de Palma qui l'illustre, sans grand génie certes, distillant un petit millilitre du poison originel qui faisait du roman de James Ellroy un chef-d'oeuvre (...).
Brazil
par Hervé Deplasse
(...) le nouveau De Palma nous ennuie, se traîne en longueur, joue avec une esthétique proche de celle des Incorruptibles et moins séduisante que celle de Hanson.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
(...) De Palma n'offre pourtant aucune réflexion et reste des plus plats et des plus " premier degré ". (...) Utilisant force studio, costumes, fards en tous genres, il grossit tous les traits d'une histoire qu'il complexifie à loisir.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
(...)Il nous entraîne surtout dans un labyrinthe où il est bien difficile de se repérer tant les situations sont confuses, inutilement compliquées. Brian de Palma nous avait habitués à mieux !
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le réalisateur des Incorruptibles impose son savoir-faire dans une mise en scène formellement séduisante mais peine à en restituer l'essentiel. (...) Le grand film espéré n'est pas au rendez-vous.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Difficile d`accrocher, d`autant que l`intrigue est passablement embrouillée.
Télérama
par Jacque Morice
CONTRE: (...) Ce Dahlia noir reste un polar très moyen. Platement glamour, rétro à fond, inégalement captivant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
(...) La déception est à la hauteur de l'attente puisque le réalisateur, décidément en bien petite forme depuis quelques années (...) Brian de Palma se révèle tout simplement incapable d'intéresser le spectateur à ce qui se passe sur l'écran, comme si chaque décision prise était la mauvaise (...)
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
(...) Après avoir lu le livre, pas la peine de voir le film.
Score
par Alex Masson
Ca aurait pu être brillant, c'est juste navrant quand De Palma se prend au sérieux, ne mettant en scène que ses obsessions (...) jusqu'à une gênante auto-parodie.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Monde
(...) De Palma réussit à signer un film noir référentiel aux mythes littéraires et cinématographiques, à l'univers d'Ellroy, mais aussi à ses propres films.
Chronic'art.com
Par sa structure morcelée, le film est semblable au corps charcuté d'Elizabeth Short : un objet cliniquement mort, réveillé par le fantasme qu'il suscite en mille échos cauchemardesques ressassés à l'infini.
Les Inrockuptibles
Du côté des limbes, au pays des morts et des images, c'est le lieu d'où filme De Palma pour un film que son déficit d'incarnation et sa froideur de linceul rendent suprêment magnétique.
Libération
Le Dahlia noir, lui, n'est pas un porno chic des années 80. Il est rétro, jazzy (...). Un scope d'amoureux transi de la forme classique. Puis, à un moment, ça s'éclaire. La machine à illusions tombe le masque. Et, comme toujours chez De Palma, le film abandonne le brun pour passer au noir.
Mad Movies
(...) le plaisir est là, et il est total (...).
Ouest France
On peut avoir du mal à trouver nos repères au fil de cette intrigue complexe qui multiplie les personnages, embrouille les péripéties et désarticule la chronologie. Et tant pis. Parce que par ailleurs on se laisse emporter par la passion et le métier d'un Brian de Palma qui retrouve là des thèmes chers à son cinéma (...)
Paris Match
Dommage que le scénariste Josh Friedman n'ait pas sacrifié la multitude d'intrigues secondaires (...) pour se concentrer sur le mystère du Dahlia Noir (...) qui offre les moments les plus fascinants de ce thriller gothique.
Positif
Brian De Palma s'ébroue dans un inépuisable coffre aux merveilles. Il célèbre le pouvoir d'un art qui dépasse pour lui la mystification ou l'esbroufe.
Télérama
POUR: Il faut dire la jouissance à voir ces très jolis êtres faire de très jolies choses – et de moins jolies – et l'ivresse de se perdre dans une intrigue à tiroirs, mais l'effort d'orientation aura sa récompense.
Cahiers du Cinéma
Le Dahlia noir est un film malade (...) mais aux symptômes particuliers (...) De Palma s'évertue à (...) négliger toutes les prises qui lui semblaient promises.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
(...) Brian de Palma en signe une adaptation habile, structurée par un scénario préçis et servie par des comédiennes (...) en état de grâce. (...) Reste un film correct, politiquement surtout.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
L'adaptation de De Palma est à la fois une réussite et une déception. (...) Le Dahlia noir manque de clair-obscur.
Le Journal du Dimanche
On regrette la complexité d'un scénario confus et d'un dénouement à tiroirs.
Le Parisien
Fidèle au livre, il peint un Hollywood décadent et malsain à souhait. Les jeunes acteurs se montrent convaincants, et, si le récit se révèle parfois confus, l'intrigue fonctionne jusqu'au bout.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Si la première demi-heure, hautement fidèle, augure du meilleur, tout s'écroule trop rapidement.
Première
Malgré quelques éclairs de folie dégénérée (...) on reste sur l'impression d'un catalogue de perversions déjà vues, une tentative essouflée qui rate le degré de démesure requis pour se qualifier dans la catégorie des grands films hantés.
Rolling Stone
Le roman "intransposable" du mois , c'est Brian de Palma qui l'illustre, sans grand génie certes, distillant un petit millilitre du poison originel qui faisait du roman de James Ellroy un chef-d'oeuvre (...).
Brazil
(...) le nouveau De Palma nous ennuie, se traîne en longueur, joue avec une esthétique proche de celle des Incorruptibles et moins séduisante que celle de Hanson.
Fluctuat.net
(...) De Palma n'offre pourtant aucune réflexion et reste des plus plats et des plus " premier degré ". (...) Utilisant force studio, costumes, fards en tous genres, il grossit tous les traits d'une histoire qu'il complexifie à loisir.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...)Il nous entraîne surtout dans un labyrinthe où il est bien difficile de se repérer tant les situations sont confuses, inutilement compliquées. Brian de Palma nous avait habitués à mieux !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Le réalisateur des Incorruptibles impose son savoir-faire dans une mise en scène formellement séduisante mais peine à en restituer l'essentiel. (...) Le grand film espéré n'est pas au rendez-vous.
TéléCinéObs
Difficile d`accrocher, d`autant que l`intrigue est passablement embrouillée.
Télérama
CONTRE: (...) Ce Dahlia noir reste un polar très moyen. Platement glamour, rétro à fond, inégalement captivant.
aVoir-aLire.com
(...) La déception est à la hauteur de l'attente puisque le réalisateur, décidément en bien petite forme depuis quelques années (...) Brian de Palma se révèle tout simplement incapable d'intéresser le spectateur à ce qui se passe sur l'écran, comme si chaque décision prise était la mauvaise (...)
L'Obs
(...) Après avoir lu le livre, pas la peine de voir le film.
Score
Ca aurait pu être brillant, c'est juste navrant quand De Palma se prend au sérieux, ne mettant en scène que ses obsessions (...) jusqu'à une gênante auto-parodie.