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Votre avis sur Un vendredi dingue, dingue, dingue ?
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Yetcha
La version originale de Freaky friday dont j'ai adoré la version de 2003 avec Jamie Lee Curtis et Lindsay Lohan. Cette version avec la jeune Jodie Foster qui irradie complètement. Si le film n'est pas grandiose et vieillot, la performance de la jeune Foster vaut de le coup mais rien de plus. Un film sympathique sans plus.
Tout simplement nul ... Ridicule sans aucun intérêt ... Ne gaspillé pas votre temps a regarder ce film... Si ont peut appeler ça un film.
Les gags et autres sont de bas niveaux... C'est supposé être un Disney ?!
Ils sont tombaient bien bas avec ce film.
Les gags et autres sont de bas niveaux... C'est supposé être un Disney ?!
Ils sont tombaient bien bas avec ce film.
DISNEYLAND. Faut du courage pour se mettre dans la peau d'Annabelle. Un changement d'apparence qui ne mène à rien. Y'a erreur dans la répartition des rôles. Patrice Martin a aimé.
Shawn777
Ce film, réalisé par Gary Nelson et sorti en 1976, qui est à l'origine d'une multitude de remakes, n'est franchement pas trop mal ! Honnêtement, j'en suis d'ailleurs assez surpris car Disney n'a jamais excellé dans les live actions, je m'attendais donc à un résultat très moyen, voire mauvais. Mais finalement, sans en être extraordinaire non plus, nous sommes devant un film bien sympathique. Après avoir vu "Freaky Friday" de 2003 il y a des années, j'étais curieux de savoir quel film en était à l'origine. C'est donc l'histoire d'une mère et de se fille qui échangent de corps, l'une pensant que la vie de l'autre est plus facile. Bien évidemment, elles vont assez rapidement tombées des nues et se rendre compte que c'est compliqué des deux côtés. Ce qui me fascine ici, ce n'est pas tant le scénario qui est relativement classique dans sa trame narrative (on est chez Disney donc, même si la forme est originale, le fond ne va pas chercher bien loin) mais c'est surtout la différence de taille qu'il y a entre cette version et la version de 2003 : la place de la femme dans la société. C'est peut-être une comédie simple et sans prétention mais on ne peut pas passer à côté de l'image de la femme qui est donnée par le film. Malgré tout, je ne condamne bien évidemment pas le film, il s'inscrit dans une époque maintenant révolue, celle des années 70 dans lesquelles l'image de la famille nucléaire était encore une référence. Ainsi, c'est surtout chez la fille qui prend le rôle de la mère que le film va être le plus intéressant car nous assistons à une série d'aventures toutes plus complexes et parlantes les unes que les autres. Malgré tout, nous pourrons remarquer que, même avec son statut plutôt cliché, le film fait quand même passer certains messages dont notamment le fait que la vie de mère au foyer n'est pas forcément chose aisée et que les hommes se comportent souvent en macho, j'ai d'ailleurs été assez étonné que le terme soit exprimé aussi souvent et clairement. En dehors de ça, nous avons l'humour qui ne décolle pas assez à mon goût mais qui nous offre tout de même certaines scènes plutôt drôles. Du côté des actrices, nous avons la jeune Jodie Foster qui joue très bien et puis Barbara Harris qui excelle dans son personnage ! "Un vendredi dingue, dingue, dingue" est donc une comédie qui ne vole pas très haut mais devant laquelle on passe un bon moment !
Audrey L
Ah la jeune Jodie Foster, méconnaissable à 14 ans dans ce petit film Disney devenu un classique, fait et refait à l'envi par la suite ! Avant toute chose, Disney a la prévenance de nous mettre un petit mot précédant le film pour que nous ne nous affligions pas de la présence de cigarettes dans le film, mais qu'en est-il de la vision rétrograde de la femme des années 70 ? Véritable femme-ménage traitée en toutou par son mari autoritaire (qu'on baillonnerait bien une dizaine de fois), on croit perdre ses yeux devant la normalité de l'époque des Trente Glorieuses. De plus, force est de constater que cet original est (pour ma part) bien moins "dingue" (d'après le titre français) que prévu : si l'on s'amuse vraiment avec la mère (l'esprit de la fille, en fait) qui joue au base-ball comme une furie, se met à sucer son pouce quand toutes les aides ménagères l'accablent en même temps (les meilleures scènes !), on reste trop sage avec la fillette (la mère, donc) qui ne fait rien de spécial qui soit divertissant. Le final est amusant avec
spoiler:
le ski nautique (la vraie mère) et la voiture en course-poursuite avec la police (la vraie fille)
, on ne s'y ennuie pas ! Le petit frère est touchant et les dialogues avec sa sœur cachée sont attendrissants, on ne regrette pas d'avoir succombé à ce petit divertissement, sauf pour le générique musical épuisant au début et pour l'image de la femme-toutou qui pique les yeux. Dans l'ensemble, on s'amuse bien surtout lors du final épique.
, on ne s'y ennuie pas ! Le petit frère est touchant et les dialogues avec sa sœur cachée sont attendrissants, on ne regrette pas d'avoir succombé à ce petit divertissement, sauf pour le générique musical épuisant au début et pour l'image de la femme-toutou qui pique les yeux. Dans l'ensemble, on s'amuse bien surtout lors du final épique.
Mais quel titre dégueulasse. C’est à me faire oublier que j’écris la critique du film, pas du titre. Entre ça et le kitsch, c’est compliqué d’entrer dedans. Dans le film. Pas le titre.
Dans la famille Ringard, je demande le père, rude mais très gentil et qui parle d’un seul côté de la bouche, la mère heureuse d’accomplir les tâches ménagères et la fille, Jodie Foster, ado star dont sa propre mère (la vraie) lui a évité de jouer la princesse Leia, rien que ça. Au lieu de quoi, elle se retrouve à jouer les body-switcheuses comme dans cet autre film qui lança Tom Hanks. Une manière de mettre un coup de pied dans la fourmilière familiale, et ça n’était pas la pire chose à faire.
Dommage que, la mode étant nouvelle, le processus dût être expliqué longuement et avec lourdeur. Cela rend même étrange le naturel dont Barbara Harris et Foster finissent par faire preuve dans un échange de vie qui amène une réflexion sur la famille – hélas sous un humour trop gras pour tant de finesse. De drame en quiproquo, l’ennui s’immisce, quoique le côté Gremlins d’un désastre rigolo nous fait au final regarder derrière nous avec tendresse. Il reste à supporter l’époque, mais ça, on s’en arrange.
Si le voisinage des Andrews est un microcosme sitcomien où poussent des situations lyophilisées qu’agrémente très mal la vie professionnelle déshydratée du père, c’est un rideau bien tiré sur la surprise d’un dernier quart qui n’a rien à voir et bénéficiant joliment de sa précursarité : sportif et drôle, il copie un peu Braquage à l’italienne mais c’est pour placer une course-poursuite qui ne dépare pas dans la folie automobile de son époque. Époque à laquelle on pouvait sûrement dire du film qu’il était ”délirant”. L’usage a fané le qualificatif et il nous en reste de superficielles inventions qui font sourire ironiquement aujourd’hui – plus rarement vraiment sourire. Mais il faut reconnaître le sérieux des deux starlettes dans une histoire difficile à ne pas faire tourner à la parodie dans le contexte de son tournage.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Dans la famille Ringard, je demande le père, rude mais très gentil et qui parle d’un seul côté de la bouche, la mère heureuse d’accomplir les tâches ménagères et la fille, Jodie Foster, ado star dont sa propre mère (la vraie) lui a évité de jouer la princesse Leia, rien que ça. Au lieu de quoi, elle se retrouve à jouer les body-switcheuses comme dans cet autre film qui lança Tom Hanks. Une manière de mettre un coup de pied dans la fourmilière familiale, et ça n’était pas la pire chose à faire.
Dommage que, la mode étant nouvelle, le processus dût être expliqué longuement et avec lourdeur. Cela rend même étrange le naturel dont Barbara Harris et Foster finissent par faire preuve dans un échange de vie qui amène une réflexion sur la famille – hélas sous un humour trop gras pour tant de finesse. De drame en quiproquo, l’ennui s’immisce, quoique le côté Gremlins d’un désastre rigolo nous fait au final regarder derrière nous avec tendresse. Il reste à supporter l’époque, mais ça, on s’en arrange.
Si le voisinage des Andrews est un microcosme sitcomien où poussent des situations lyophilisées qu’agrémente très mal la vie professionnelle déshydratée du père, c’est un rideau bien tiré sur la surprise d’un dernier quart qui n’a rien à voir et bénéficiant joliment de sa précursarité : sportif et drôle, il copie un peu Braquage à l’italienne mais c’est pour placer une course-poursuite qui ne dépare pas dans la folie automobile de son époque. Époque à laquelle on pouvait sûrement dire du film qu’il était ”délirant”. L’usage a fané le qualificatif et il nous en reste de superficielles inventions qui font sourire ironiquement aujourd’hui – plus rarement vraiment sourire. Mais il faut reconnaître le sérieux des deux starlettes dans une histoire difficile à ne pas faire tourner à la parodie dans le contexte de son tournage.
→ https://septiemeartetdemi.com/
le film vieillit mal, c'est vraiment dommage, mais je pense que c'est pour cela qu'il y a eu plein de remake. Même si je n'ai pas trouvé le film très divertissant les actrices principale jouent très bien.
C'est juste avant de recontrer le succès dans "Taxi Driver" qui lancerait sa carrière, que la jeune Jodie Foster se dévoilait dans la comédie "Freaky Friday" qui donnera d'ailleurs lieu à un remake bien des années plus tard. Ciblant correctement la jeunesse américaine des années 70, Gary Nelson voit son long-métrage réussir surtout par la présence du duo formé par Barbara Harris et Foster qui se complètent parfaitement. Malgré cette entente, on ne peut nier la basicité du scénario qui reste comme la grande majorité des comédies, conventionnel. Quoi qu'il en soit, "Freaky Friday" fut en son temps un comédie exemplaire mais qui, par sa mise en scène, a marqué un coup de vieux étonnant qui le classe dans les films propres à leur époque qui ne séduissent que rarement les jeunes d'aujourd'hui.
Le moment passé à regarder ce film est agréable même si je m'attendais à rire plus. C'est plus un amusement mais qui n'est pas désagréable. Les situations connues par la fille dans la peau de sa mère sont plus accrocheuses que celle connues par la mère dans la peau de sa fille. L'ensemble est plutôt bon, manquant parfois de dynamisme !!
Je m'attendais à quelque chose de plus dynamique, de plus divertissant. L'idée de base aurait pu être sympa, faire passer un bon moment au spectateur, mais on dirait que les scénaristes n'ont pas trouvé grand chose à dire une fois le postulat annoncé. Y avait pourtant plein de choses drôles à faire.
Du coup, le film manque un peu de punch, c'est même pas spécialement drôle, et se laisse regarder avec un intérêt plus ou moins second.
Pour un film principalement destiné aux enfants je pense, je m'attendais à quelque chose de plus sympa.
Du coup, le film manque un peu de punch, c'est même pas spécialement drôle, et se laisse regarder avec un intérêt plus ou moins second.
Pour un film principalement destiné aux enfants je pense, je m'attendais à quelque chose de plus sympa.
On aprécie la fougue d'une jeune Jodie Foster et d'un scénarios original qui reste attachant et plein d'émotions.
Malgré tout cela s'éssoufle assez rapidement.
Malgré tout cela s'éssoufle assez rapidement.
Un scénario original, un film drôle, divertissant, qui propose un autre regard sur l'adolescence et la famille, à voir et à revoir pour le plus grand plaisir ! Une comédie surprenante portée par de bons acteurs... Que du bon !
Un bon petit film américain sans prétention!
C'est vrai qu'échanger les rôles comme cela doit être très dur! Je m'imagine très très mal dans la peau de mère!
A voir pour bien rigoler!
C'est vrai qu'échanger les rôles comme cela doit être très dur! Je m'imagine très très mal dans la peau de mère!
A voir pour bien rigoler!
Un comédie assez niaise sans grand interet, et qui comprend bien cet espece d'amour faussement baveux de famille parfaite. Pile poil pour les pré ado pubères.
un film très agréable à regarder. les dialogues sont très marrants.
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