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Poignant de bout en bout, le film étonne par sa justesse et la crédibilité immédiate de l'univers qu'il dépeint, tout en n'oubliant jamais d'être jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Lumière crépusculaire, avec des brillances sur les sols pour mieux réfléchir la noirceur des visages, seconds rôles habités et Depardieu et Auteuil comme on ne les avait plus vus depuis des lustres: littéralement carbonisés. Il y a du Melville dans le deuxième film de Marchal.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Porté par un classicisme d'une rare élégance, une sobriété exemplaire, un jeu d'acteurs remarquable de justesse, ce film tendu, aux rebondissements inattendus, dessine de formidables portraits de flic emmurés dans la solitude d'une vie à côté de laquelle ils sont passés.
Le bon gros polar. Rutilant visuellement, efficace, dialogué de l'intérieur, ça sent le vécu. (...) Solide intrigue, même si les dialogues sont parfois un peu faibles, un peu télévisuels. (...) Après "Le Convoyeur", de Nicolas Boukhrief, "36 quai des Orfèvres" est la deuxième bonne surprise de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Polar hyperréaliste, flic story noire et désabusée qui brandit sans complexes son estampille "cinéma populaire de qualité". 36 quai des Orfèvres ne fait peut-être pas toujours dans la dentelle mais touche sa cible en plein coeur.
Voici du grand polar classique, du noir rudement serré, archi-chargé d'atmosphère et de gueules de l'emploi. On n'a pas lésiné sur la musique ni sur les ombres et lumières qui viennent creuser un visage, alourdir un regard. Mais c'est du beau travail (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Filmant en gros plans féroces sa galerie des plus belles sales gueules du cinéma français, Olivier Marchal poursuit ses démons dans ce polar dont chaque scène transpire une étrange et douloureuse nostalgie et, en même temps, une référence ostentatoire à Heat de Michael Mann. On a connu filiation plus déshonorante.
Même si cette "guerre des polices" donne parfois une impression de déjà-vu (...), Marchal a su donner à cette histoire une dimension tragique et humaine d'autant plus poignante qu'elle s'inspire largement de faits réels.
36 souffre (...) de ce surf entre volonté d'authenticité et obligation de résultats, et aligne autant de moments de bravoure que de séquences ridicules.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Depardieu et Auteuil campent avec une égale puissance deux durs antagonistes. Mais on aurait aimé plus de sobriété dans la mise en scène, aux effets souvent exagérés, et une bande-son moins pénible.
C'est la grande nouvelle que porte 36 : Gérard Depardieu a renoué avec l'exercice de sa profession. (...) Mais (...) les détails qu'accumule le scénario de 36 ne suffisent pas à masquer les artifices du fil principal, qui se distend au fur et à mesure que le film avance, jusqu'à perdre toute cohérence pendant l'interminable conclusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
C'est sur la forme que 36 QUAI DES ORFEVRES pêche un peu. Il lui manque le rythme de HEAT, ses scènes hallucinantes de mitraillades et ce petit supplément d'âme qui fait de Michael Mann un grand cinéaste.
Olivier Marchal n'est quand même pas Michel Audiard. Sa quête du bon mot ne travaille pas dans la virtuosité ni dans la finesse. Il tient pourtant son pari (...) C'est dans la direction d'acteurs qu'il nous bluffe.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Bien sûr, on est pas chez Michael Mann ni chez Melville. Et les exigences du futur prime-time de TF1 se voient comme le nez au milieu de la figure de ses deux stars: musique omniprésente et gros effets sonores pour garder le (télé)spectateur éveillé, montage démonstratif appuyant les rebondissements en chaîne.
La critique complète est disponible sur le site Première
36... ressemble à La Mentale, un autre pachyderme lancé par la Gaumont comme si c'était un lièvre de course. On s'en foutrait totalement si la vision de ce genre de choses pitoyables n'avait un effet laminoir sur le cerveau.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Reste le pathos qui plombe souvent le film, la désespérance complaisante. La sincérité du justicier Marchal frise parfois le chantage pataud à l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Mad Movies
Poignant de bout en bout, le film étonne par sa justesse et la crédibilité immédiate de l'univers qu'il dépeint, tout en n'oubliant jamais d'être jubilatoire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Lumière crépusculaire, avec des brillances sur les sols pour mieux réfléchir la noirceur des visages, seconds rôles habités et Depardieu et Auteuil comme on ne les avait plus vus depuis des lustres: littéralement carbonisés. Il y a du Melville dans le deuxième film de Marchal.
Zurban
Porté par un classicisme d'une rare élégance, une sobriété exemplaire, un jeu d'acteurs remarquable de justesse, ce film tendu, aux rebondissements inattendus, dessine de formidables portraits de flic emmurés dans la solitude d'une vie à côté de laquelle ils sont passés.
Elle
Le bon gros polar. Rutilant visuellement, efficace, dialogué de l'intérieur, ça sent le vécu. (...) Solide intrigue, même si les dialogues sont parfois un peu faibles, un peu télévisuels. (...) Après "Le Convoyeur", de Nicolas Boukhrief, "36 quai des Orfèvres" est la deuxième bonne surprise de l'année.
France Soir
Polar hyperréaliste, flic story noire et désabusée qui brandit sans complexes son estampille "cinéma populaire de qualité". 36 quai des Orfèvres ne fait peut-être pas toujours dans la dentelle mais touche sa cible en plein coeur.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Sur fond de guerre des polices, Olivier Marchal livre un polar efficace et captivant (...)
Le Parisien
Voici du grand polar classique, du noir rudement serré, archi-chargé d'atmosphère et de gueules de l'emploi. On n'a pas lésiné sur la musique ni sur les ombres et lumières qui viennent creuser un visage, alourdir un regard. Mais c'est du beau travail (...).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Filmant en gros plans féroces sa galerie des plus belles sales gueules du cinéma français, Olivier Marchal poursuit ses démons dans ce polar dont chaque scène transpire une étrange et douloureuse nostalgie et, en même temps, une référence ostentatoire à Heat de Michael Mann. On a connu filiation plus déshonorante.
Rolling Stone
Même si cette "guerre des polices" donne parfois une impression de déjà-vu (...), Marchal a su donner à cette histoire une dimension tragique et humaine d'autant plus poignante qu'elle s'inspire largement de faits réels.
Chronic'art.com
36 souffre (...) de ce surf entre volonté d'authenticité et obligation de résultats, et aligne autant de moments de bravoure que de séquences ridicules.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Depardieu et Auteuil campent avec une égale puissance deux durs antagonistes. Mais on aurait aimé plus de sobriété dans la mise en scène, aux effets souvent exagérés, et une bande-son moins pénible.
Le Monde
C'est la grande nouvelle que porte 36 : Gérard Depardieu a renoué avec l'exercice de sa profession. (...) Mais (...) les détails qu'accumule le scénario de 36 ne suffisent pas à masquer les artifices du fil principal, qui se distend au fur et à mesure que le film avance, jusqu'à perdre toute cohérence pendant l'interminable conclusion.
Les Inrockuptibles
Un polar à papa lifté au goût du jour. Pas désagréable, mais sans parti pris fort.
MCinéma.com
C'est sur la forme que 36 QUAI DES ORFEVRES pêche un peu. Il lui manque le rythme de HEAT, ses scènes hallucinantes de mitraillades et ce petit supplément d'âme qui fait de Michael Mann un grand cinéaste.
Ouest France
Olivier Marchal n'est quand même pas Michel Audiard. Sa quête du bon mot ne travaille pas dans la virtuosité ni dans la finesse. Il tient pourtant son pari (...) C'est dans la direction d'acteurs qu'il nous bluffe.
Première
Bien sûr, on est pas chez Michael Mann ni chez Melville. Et les exigences du futur prime-time de TF1 se voient comme le nez au milieu de la figure de ses deux stars: musique omniprésente et gros effets sonores pour garder le (télé)spectateur éveillé, montage démonstratif appuyant les rebondissements en chaîne.
aVoir-aLire.com
Heureusement, les acteurs maintiennent l'ensemble hors de l'eau et donnent un semblant d'intégrité à cette fiction sans concession mais sans nuance.
Aden
36... ressemble à La Mentale, un autre pachyderme lancé par la Gaumont comme si c'était un lièvre de course. On s'en foutrait totalement si la vision de ce genre de choses pitoyables n'avait un effet laminoir sur le cerveau.
Télé 7 Jours
Le scénario est truffé d'énormités, on n'y croit jamais et on est constamment gêné par une musique horripilante.
Télérama
Reste le pathos qui plombe souvent le film, la désespérance complaisante. La sincérité du justicier Marchal frise parfois le chantage pataud à l'émotion.