Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
Documentaire intime sur la Russie d'aujourd'hui, à la rencontre de ses laissés pour compte, Retour à Kotelnitch est également un bouleversant film d'auteur (...).
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Pour hallucinante que soit cette ténébreuse affaire, le film d'Emmanuel Carrère se révèle fascinant à cause d'autre chose, de cet acharnement à vouloir capturer un secret diffus, abolir le temps, imprimer une hébétude, une déroute, saisir une somnolence, appréhender un gouffre métaphysique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
Retour à Kotelnitch, malgré sa forme aussi brouillonne qu'un discours alcoolisé à la vodka, se révèle vertigineux, bouleversant et fascinant.
Première
par Sophie Grassin
Entre archives (...) et présent pagailleux, Retour à Kotelnitch ausculte de manière impressionniste des zones d'ombre, sonde des crispations de doutes, effleure des reflets d'abîmes. (...) film inoubliable (...).
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
C'est donc un film mystérieux et tendre qui suscite l'émoi. Et le vague effroi que provoque toujours le passé, lorsqu'il resurgit par mégarde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Carrère se sent un peu perdu. Comme nous. Mais, comme nous, il se sent lié à ces gens qu'il ne connaissait pas la veille. L'empathie, la compassion, la communion, quel que soit le mot, fait que chacun de nous s'identifie à tour de rôle à l'un ou à l'autre des membres de la famille.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Cette (..) disposition du regard et du ton, qui revendique de faire face à ce qui vient, trouve ici une forme de légitimité où la sincérité s'approche au plus près de l'artifice, pour que vibre une question infiniment ouverte, infiniment touchante.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Même si Carrère est très présent à l'image, Retour à Kotelnich est un film humble où se partage démocratiquement les images, les récits, les sentiments de chacun. (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Emmanuel Chicon
La mélancolie qui s'en dégage fait de ce Retour à Kotelnitch un voyage troublant à la lisière du monde des vivants.
Le Figaro
par Emmanuèle Frois
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Alternant entre présent et passé, entre le cinéaste, son héroïne et la Russie (qui est son autre héroïne), le film serait parfait si Carrère n'y insérait pas en plus sa propre histoire familiale au dernier moment.
Libération
par Philippe Azoury
Cet autoportrait en Kotelnitch a la générosité géniale de ne pas être exclusif : ceux qui s'y reconnaissent, ce sont nous autres, les survivants.
Positif
par Alain Masson
L'enquête que s'inflige l'auteur n'est pas une Passion : elle ne sauve personne, pas même le narrateur; comme le Messager de la tragédie, Emmanuel passe pour complice du malheur qu'il récite. Le savoir qu'il acquiert sur lui-même ne calme pas le frisson que cause l'inénarrable.
Synopsis
par Pascale Borenstein
La mort organise le récit, éclaire le passé. Et ce retour aux origines devient un requiem inquiet et incantatoire.
Fluctuat.net
Documentaire intime sur la Russie d'aujourd'hui, à la rencontre de ses laissés pour compte, Retour à Kotelnitch est également un bouleversant film d'auteur (...).
Le Monde
Pour hallucinante que soit cette ténébreuse affaire, le film d'Emmanuel Carrère se révèle fascinant à cause d'autre chose, de cet acharnement à vouloir capturer un secret diffus, abolir le temps, imprimer une hébétude, une déroute, saisir une somnolence, appréhender un gouffre métaphysique.
MCinéma.com
Retour à Kotelnitch, malgré sa forme aussi brouillonne qu'un discours alcoolisé à la vodka, se révèle vertigineux, bouleversant et fascinant.
Première
Entre archives (...) et présent pagailleux, Retour à Kotelnitch ausculte de manière impressionniste des zones d'ombre, sonde des crispations de doutes, effleure des reflets d'abîmes. (...) film inoubliable (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
C'est donc un film mystérieux et tendre qui suscite l'émoi. Et le vague effroi que provoque toujours le passé, lorsqu'il resurgit par mégarde.
Aden
Carrère se sent un peu perdu. Comme nous. Mais, comme nous, il se sent lié à ces gens qu'il ne connaissait pas la veille. L'empathie, la compassion, la communion, quel que soit le mot, fait que chacun de nous s'identifie à tour de rôle à l'un ou à l'autre des membres de la famille.
Cahiers du Cinéma
Cette (..) disposition du regard et du ton, qui revendique de faire face à ce qui vient, trouve ici une forme de légitimité où la sincérité s'approche au plus près de l'artifice, pour que vibre une question infiniment ouverte, infiniment touchante.
Chronic'art.com
Même si Carrère est très présent à l'image, Retour à Kotelnich est un film humble où se partage démocratiquement les images, les récits, les sentiments de chacun. (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
La mélancolie qui s'en dégage fait de ce Retour à Kotelnitch un voyage troublant à la lisière du monde des vivants.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Alternant entre présent et passé, entre le cinéaste, son héroïne et la Russie (qui est son autre héroïne), le film serait parfait si Carrère n'y insérait pas en plus sa propre histoire familiale au dernier moment.
Libération
Cet autoportrait en Kotelnitch a la générosité géniale de ne pas être exclusif : ceux qui s'y reconnaissent, ce sont nous autres, les survivants.
Positif
L'enquête que s'inflige l'auteur n'est pas une Passion : elle ne sauve personne, pas même le narrateur; comme le Messager de la tragédie, Emmanuel passe pour complice du malheur qu'il récite. Le savoir qu'il acquiert sur lui-même ne calme pas le frisson que cause l'inénarrable.
Synopsis
La mort organise le récit, éclaire le passé. Et ce retour aux origines devient un requiem inquiet et incantatoire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr