Après avoir particulièrement apprécié Léon, j’étais impatient de découvrir Nikita, du même Luc Besson quelques années auparavant. La scène d’introduction vous mets rapidement au diapason de cette histoire relatant la formation puis le quotidien d’une tueuse à gages. Cette dernière est partagée entre son métier et ses sentiments. Le scénario est prometteur, mais après quelques minutes, le charme passe et l’ennui apparaît. Bourré de stéréotypes et de clichés, Nikita est interprétée par une Anne Parillaud complètement hystérique qui donne un peu trop dans la surenchère. Seul Tchéky Karyo s’en sort honorablement, car les personnages secondaires sont pour la plupart mal interprétés, en première ligne Jeanne Moreau. On ne compte pas non plus les incohérences scénaristiques. Quant à la réalisation, elle se voulait inventif, et le résultat n’est pas si mauvais si ce n’est la musique de Serra très année 80 qui a fait très mal vieillir le film. A éviter.
Nikita! Anne parillaud vraiment fatale! une histoire dingue, un vice, Luc Besson à l'époque ou il ne faisait pas des films pour le fric! du grand art! trés violent mais aussi touchant! j'ai adoré!
Un film culte de Besson, cinglant, nerveux, brutal, qui a également un peu vieilli aujourd'hui, pas toujours crédible dans son exploration des rouages des services secrets mais diablement efficace dans son action.
Le film est lent,vide de sens et les personnages sont complètement inintéressant.On reconnaît le style Besson qui ne m'a pas plu.C'est un réalisateur qui me déplaît,seule Leon est passable.L'apparition de Jean Reno est pas mal même si elle a été ensuite gâché.Les musiques du film sont une catastrophe.
J'aime Luc Besson et jusque là il ne m'a pas déçu mais ce premier film du réalisateur a eu du mal à vraiment me captiver!On s'ennuie et on attend la fin avec impatience.Le + est pour les acteurs tous bons mais qui ne sauvent pas l'affaire.Je n'ai pas aimé
Un film qui essaie de nous faire croire en la reconversion d'une jeune femme droguée et criminelle en une "agent d'état". Très peu crédible ,cette histoire mélange sentiment et violence. Un long métrage pour tous ceux qui aiment les épilogues interrogatives. Car bien sûr la fin se termine sur des ............................. .
Je voulais le revoir ne me rappelant que de la chanson "une souris blanche"... Et ce soir, coup de bol, le film repasse sur une chaîne publique. Quelle énorme déception. Anne Parillaud est absolument insuportable, toujours à hurler comme une c****, pour rien en plus. J'ai eu envie de la baffer tout le long. Et long, c'est le bon mot pour ce film où je n'ai pas arrêté de me dire "mais c'est qund la fin?". Vraiment, je n'ai pas accroché et je jure de ne plus jamais regarder cette niaiserie. Peut-être le film a t-il mal vieilli mais par comparaison, la grande vadrouille tient toujours la route. Il manque ici un scénario valable et de bons acteurs. L'expression "promotion canapé" n'avait jamais été aussi bien représenté que pour ce film. Il passe direct aux oubliettes.
Un thriller haletant dans lequel Besson parvient à créer un climat supper tendu, porté par la musique sublime d'Eric Serra et par l'interprétation césarisée d'Anne Parillaud, aussi fougueuse qu'émouvante (César de la meilleure actrice).
Si on peut légitimement critiquer ce que produit voire même tourne Besson depuis les années 2000, à trente ans seulement, réaliser Nikita, ce n'est pas donné à tout le monde. Il en confie le rôle-titre à sa femme de l'époque (il fera pareil pour Jeanne D'Arc avec Milla Jovovich) pour un film mêlant peinture sociale en ce tout début de années 90 et efficacité à l'américaine dans les scènes d'action notamment. L'univers des barbouzes, franchement, je n'en sais rien s'il est fidèle à la réalité ou seulement fantasmé. C'est difficile d'aller vérifier surtout en 1990. Toujours est-il que ce concentré de haine va se faire embaucher par les services secrets français. Une manière comme une autre de payer sa dette à la société. Sur sa route, elle croisera d'autres âmes aussi en peine qu'elle : un formateur ambigu (Tchéky Karyo), un mystérieux nettoyeur (Jean Reno), un caissier de supermarché amoureux (Jean-Hugues Anglade) tous aussi bizarres qu'elle. A la fois ailleurs, perdus dans ce monde froid (et la musique d'Eric Serra y joue beaucoup), prêts à exploser comme une grenade dégoupillée. Cet archétype de femme-forte, Besson le réutilisera dans presque tous ses films. Rien que dans le suivant : Léon. Une période sacrément intéressante de la carrière du gros Luc et où il enchaînait les succès.