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On dirait le sud est un film nourri par un instinct absolu, tant par cette forme fébrile et chaotique que par le visible sens de l'improvisation qui émane des comédiens. Que Pluss refuse visiblement de domestiquer. Excellente idée : son film trouve alors sa puissance dans un perpétuel qui-vive, filigrane qui devient l'échine d'un récit électrifié par cette tension permanente.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les auto-proclamés " cinéma-vérité ", Dogme et autres concepts n'ont pas toujours un intérêt flagrant. Seul compte le résultat, très aléatoire, de ces tâtonnements. ON DIRAIT LE SUD fait partie des très bonnes surprises. Il distille lentement une tension extrême mais ramasse cela en une heure très riche de cinéma.
Filmé dans le style du Dogme (...) a choisi la tendance Vitenberg (Festen) plutôt que von Trier (Les Idiots), privilégiant au final le bon vieux message plutôt que sa mise en crise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La banalité des premiers plans laisse craindre le pire, mais à mesure que l'intrigue se met en place, le parti pris de filmer à la manière d'un reportage apporte à la fiction de troublants accents d'authenticité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) un mélange de candeur et de roublardise. Le scénario manque parfois de spontanéité, mais l'énergie et la justesse des comédiens rattrapent le coup.
L'ensemble ne dure qu'une petite heure et, pourtant, on étouffe. Pari gagné (...). Certes, Pluss n'invente rien de nouveau, mais il impose néanmoins une écriture singulière et percutante.
Il y a de l'énergie (...) et une certaine tendresse pour les personnages dans le film de ce jeune réalisateur suisse. Tout se délite pourtant à force de ressembler aux vidéos approximatives de notre tante Micheline et, question psychodrame en chambre, sans la transcendance du cinéma, on a ce qu'il faut à la maison, merci.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Tourné en deux jours, sans argent, On dirait le Sud sent l'impro entre potes et l'expérimentation libre. Le but (...) est ici plus important que le résultat. Alors forcément, c'est souvent n'importe quoi.
Chronic'art.com
On dirait le sud est un film nourri par un instinct absolu, tant par cette forme fébrile et chaotique que par le visible sens de l'improvisation qui émane des comédiens. Que Pluss refuse visiblement de domestiquer. Excellente idée : son film trouve alors sa puissance dans un perpétuel qui-vive, filigrane qui devient l'échine d'un récit électrifié par cette tension permanente.
MCinéma.com
Les auto-proclamés " cinéma-vérité ", Dogme et autres concepts n'ont pas toujours un intérêt flagrant. Seul compte le résultat, très aléatoire, de ces tâtonnements. ON DIRAIT LE SUD fait partie des très bonnes surprises. Il distille lentement une tension extrême mais ramasse cela en une heure très riche de cinéma.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Filmé dans le style du Dogme (...) a choisi la tendance Vitenberg (Festen) plutôt que von Trier (Les Idiots), privilégiant au final le bon vieux message plutôt que sa mise en crise.
Positif
La banalité des premiers plans laisse craindre le pire, mais à mesure que l'intrigue se met en place, le parti pris de filmer à la manière d'un reportage apporte à la fiction de troublants accents d'authenticité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) un mélange de candeur et de roublardise. Le scénario manque parfois de spontanéité, mais l'énergie et la justesse des comédiens rattrapent le coup.
Zurban
L'ensemble ne dure qu'une petite heure et, pourtant, on étouffe. Pari gagné (...). Certes, Pluss n'invente rien de nouveau, mais il impose néanmoins une écriture singulière et percutante.
Aden
Il y a de l'énergie (...) et une certaine tendresse pour les personnages dans le film de ce jeune réalisateur suisse. Tout se délite pourtant à force de ressembler aux vidéos approximatives de notre tante Micheline et, question psychodrame en chambre, sans la transcendance du cinéma, on a ce qu'il faut à la maison, merci.
L'Humanité
Un film à la mode danoise, en DV baladeuse. (...) Un psychodrame qui traîne en longueur, malgré sa brièveté.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Tourné en deux jours, sans argent, On dirait le Sud sent l'impro entre potes et l'expérimentation libre. Le but (...) est ici plus important que le résultat. Alors forcément, c'est souvent n'importe quoi.
Télérama
La DV, on le sait, permet d'échapper à bien des contraintes. Elle favorise aussi le n'importe quoi, à l'image de ce faux home-movie échevelé (...).