AlloCiné
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Un film nécessaire, et fait avec tout le talent de M. Moore! Mais il y a trop d'imprécisions (pour ne pas dire plus), et un manque de réflexion cruel se fait sentir. L'intention était excellente, dommage que le tout fasse bâclé!
Un documentaire forcement polémique de Michael Moore, qui se penche cette fois-ci sur les ratés de l'assurance maladie de son pays. Pas toujours crédible, ses déambulations se suivent cependant sans ennui, et ont le mérite de soulever de bonnes questions.
Documentaire d'actualité assez inquiétant et qui dérange certainement,c'est pour çà qu'il faut le voir,le citoyen lamda ,en France n'est pas si malheureux...
S’il a tendance à horripiler c’est que Michael Moore fait souvent usage d’autant de mauvaise foi que ses détracteurs … Il y va tout de même un peu fort ! Surtout lorsqu’il décrit la France comme un véritable Paradis … Pour peu, tous ces concitoyens vont avoir envie d’émigrer ! (Il faudrait peut-être leur dire que ça n’est pas utile puisque nous nous alignerons bientôt sur leur superbe système !)
Sérieusement, ce documentaire laisse quelque peu à désirer sur la ‘documentation’ … Moore fidèle à sa méthode, cible ses interlocuteurs en fonction du résultat qu’il cherche à obtenir et … du coup perd un peu de crédibilité au passage … Il en reste néanmoins, que les faits exposés sont justes, impossible de nier l’enfer quotidien des pauvres outre atlantique. Et si Moore oublie volontairement qu’il en existe ailleurs qui ‘rament sévère’, son film est utile. Un électrochoc de plus à son actif ! Moore dénonce, Moore prévient : ‘ça finira mal…’
Puisse-t-il convaincre un maximum de spectateurs du bien fondé de plus d’égalité, de solidarité entre les êtres … mais Moore est un utopiste, n’est-il pas ?
Sérieusement, ce documentaire laisse quelque peu à désirer sur la ‘documentation’ … Moore fidèle à sa méthode, cible ses interlocuteurs en fonction du résultat qu’il cherche à obtenir et … du coup perd un peu de crédibilité au passage … Il en reste néanmoins, que les faits exposés sont justes, impossible de nier l’enfer quotidien des pauvres outre atlantique. Et si Moore oublie volontairement qu’il en existe ailleurs qui ‘rament sévère’, son film est utile. Un électrochoc de plus à son actif ! Moore dénonce, Moore prévient : ‘ça finira mal…’
Puisse-t-il convaincre un maximum de spectateurs du bien fondé de plus d’égalité, de solidarité entre les êtres … mais Moore est un utopiste, n’est-il pas ?
Pas mal mais je trouve que ça manque d'originalité. On commence à connaitre Michael Moore et ses méthodes mais malheureusement, ses "enquêtes" se ressemblent et je trouve qu'il y a un manque de renouvellement (même si l'on continue d'apprendre des choses). Certes, le thème choisi dans Sicko nous révèle encore une fois l'absurdité du système américain et surtout l'incroyable décalage avec d'autres pays, même plus pauvres que les USA. Certaines scènes sont vraiment invraisemblables et on peine à les croire. Mais, on tombe parfois à côté et les raccourcis sont encore plus nombreux que dans les précédentes production de Moore (notamment quand il pense interviewer une famille typique française de classe moyenne...Or, cette famille gagne près de 7000 euros par mois, ce qui n'est pas très représentatif...). Finalement, ce que l'on retient, c'est qu'on est pas si mal loti en France...
Le film debutait sous les meilleurs auspices et puis..hélas..il a fallu qu'il fasse un saut en france et il s'est mis a raconter des betiiises..oula c'est a ce moment la que j'ai compris la grave partialité de ce bonhomme et que j'ai commençe a le poser des questions sur la totalité de son euvre ? Etait ce la verité ou tt simplement du bullshit bien populiste?huum il n'empeche que la fin a guantanamo ac la ptite musique est grotesque et ratée
Bien sûr c'est exagéré, bien sûr Michael Moore ne parle pas du trou de la Sécu en France, mais quand on voit dans quelle misère se retrouvent certains Américains malchanceux (deux doigts coupés par une scie par exemple, on se dit qu'on est bien en France. A ceux qui prônent le système de santé américain, qu'ils voient ce documentaire, ça leur fera froid dans le dos!!
Michael Moore nous revient sur les écrans avec un nouveau film coup de gueule ! En effet, Michael vient enquêter sur les phénomènes étranges que sont les assurances maladies et tous les problèmes qui y sont liés. Et il y a de quoi avoir la larme à l’œil par moment, quand on se rend compte de la vérité, ou plutôt qu’on l’a en face. A sa manière douce, maladroite, mais déterminée, il nous montre l’une des faces cachées des USA, et défie une nouvelle fois leur président et les lois ! En effet, on remarque en regardant ce film qu’on est bien mieux loti que les USA, tout comme l’Angleterre et même…le Canada ! Dans ces pays, bien sûr, on est soigné sans rien payer, et aux USA où un médicament coûte 200 $, il ne coûte que 6€50 en France. Du côté des USA, l’Etat et les entreprises de soins privées font tout pour faire des économies, au détriment des personnes malades ! Des dossiers sont refusés et des gens meurent à cause de ces décisions stupides ! Même à Cuba, où le maudit Castro sévère, les gens sont bien soignés, et ne payent rien ! De même que les détenus de l’île de "Cantabana". De plus, les hommes et les femmes qui ont aidé lors des attentas du 11 septembre, ne sont pas tous indemnisés ! C’est tout bonnement un scandale et une affliction que nous fait voir Moore au travers de la caméra ! Pourtant, il veut se forcer à croire qu'il n'y a pas qu'aux Etats-Unis que les gens sont traités ainsi, ce qui l'emmène à voyager à travers les autres continents où là, il va vite remarquer que de ce point de vue, la vie des autres est bien faite ! Et pourtant il cherche dans les moindres recoins, à savoir si quand on va à l'hôpital on est bien soignés et si on paye quelque chose. Le pauvre revient bouleversé de ce voyage et se demande comment on a pu en arriver là. Il y a dans ce film beaucoup de scènes touchantes, que ce soit dit en mal ou en bien, car on y voit des scènes de fraternité et de faiblesse apparente. En bref, un excellent film, pour ceux qui supportent cet homme !
Moore est de retour, et frappe fort. Et de film en film sa cible reste inchangée : le pouvoir aux USA. Mais cette fois, il l’attaque en dénonçant les travers et injustices du système de santé américain. Intéressant comme film, pour Boubou et moi qui nous destinons au milieu hospitalier et médical.
Moore réutilise des procédés argumentatifs intéressants qu’il avait déjà utilisés dans Bowling For Columbine pour appuyer son argumentation : la comparaison. Il analyse en effet ce qui se passe aux USA d’un côté, et de l’autre, il parcourt d’autres pays (le Canada, l’Angleterre, la France, Cuba) pour descendre encore plus le système américain. Alors, certes, certaines présentations peuvent paraître exagérées, la France apparaît comme un paradis et sa description pourra nous surprendre, mais l’on comprend bien que l’unique but de Mickael Moore est de pointer du doigt l’individualisme, l’attitude des dirigeants américains, et le fonctionnement des assurances privées, dont les intérêts financiers, prévalant sur la santé des individus, peuvent pousser à des comportements très choquants. Alors que Fahrenheit 9-11 était un pamphlet contre l’administration Bush, Sicko s’avère être un travail plus documentaire. En ce sens, le travail comparatif de Mickael Moore dans Sicko le rapproche de Bowling For Columbine, dont la pertinence et la qualité étaient étroitement liés à la technique investigatrice du réalisateur, appuyée par des chiffres fiables très significateurs. Alors que le sujet ne prête pas au sourire, l’on retrouve l’ironie irrésistible et les touches d’humour de Mickael Moore. Et l’on se dit que l’on a de la chance de vivre en France, de la chance du moins de ne pas « profiter » de cet horrible système américain, si la description du réalisateur est juste. Au moins, sur ce point, je ne doute pas de sa sincérité.
Moore réutilise des procédés argumentatifs intéressants qu’il avait déjà utilisés dans Bowling For Columbine pour appuyer son argumentation : la comparaison. Il analyse en effet ce qui se passe aux USA d’un côté, et de l’autre, il parcourt d’autres pays (le Canada, l’Angleterre, la France, Cuba) pour descendre encore plus le système américain. Alors, certes, certaines présentations peuvent paraître exagérées, la France apparaît comme un paradis et sa description pourra nous surprendre, mais l’on comprend bien que l’unique but de Mickael Moore est de pointer du doigt l’individualisme, l’attitude des dirigeants américains, et le fonctionnement des assurances privées, dont les intérêts financiers, prévalant sur la santé des individus, peuvent pousser à des comportements très choquants. Alors que Fahrenheit 9-11 était un pamphlet contre l’administration Bush, Sicko s’avère être un travail plus documentaire. En ce sens, le travail comparatif de Mickael Moore dans Sicko le rapproche de Bowling For Columbine, dont la pertinence et la qualité étaient étroitement liés à la technique investigatrice du réalisateur, appuyée par des chiffres fiables très significateurs. Alors que le sujet ne prête pas au sourire, l’on retrouve l’ironie irrésistible et les touches d’humour de Mickael Moore. Et l’on se dit que l’on a de la chance de vivre en France, de la chance du moins de ne pas « profiter » de cet horrible système américain, si la description du réalisateur est juste. Au moins, sur ce point, je ne doute pas de sa sincérité.
Un très bon documentaire sur le système médicale aux US, assez flippant même...un petit bémol sur la façon dont il traite un peu rapidement le système en France, c'est un peu edulcoré mais comme le but recherché de ce film pour moi est de démontrer que ça passe mieux ailleurs qu'aux Etats-Unis, alors je dirais que la démonstration est réussie, si seulement ça pouvait faire changer un les choses ça n'aura pas été vain.
Ouah ! Incroyable ce Michael Moore. Là il a vraiment fait très fort. Que çà soit qu’une partie seulement et la plus noire du système de santé américain n’est pas une raison pour bouder ce film car ce que Michael y montre est déjà suffisamment révoltant pour qu’on ait plus du tout envie d’aller aux Etats-Unis. Il le montre avec brio, avec humour et rigueur.
Une nouvelle fois, Michael Moore "tire" là où ça fait mal. Il s'attaque au système de santé américain. Certes, C'est assez exagéré, le système français notamment est idéalisé mais On ne peut rester indifférent face à de telles images. Il a utilisé une certaine forme de "démesure" pour bien montrer au public l'inéfficacité et l'inégalité du système américain. C'est parfois la seule façon de bien faire passer le message puis c'est du Michael Moore. On ne peut pas s'attendre à avoir quelque chose de "plat". On peut ne pas aimer son cinéma mais ça fait toujours "mouche" !
Après réflexion, ce film est une vraie déception ! Son style ne prend plus. Et surtout le monsieur Moore n'est pas très impartial. Normalement un documentaire, vous essayez de creuser, aussi bien le système de santé cible, les états unis dans notre cas, mais également les autres systèmes avec lesquels on le compare. Ici, on n'a droit à l'une de ces propagandes que Michael Moore n'hésite pas à nous montrer à plusieurs reprises sous forme de spectacles musicaux avec chanteurs clamant haut et fort que le diable est le communiste et les états unis sont les gentils (ça c'était pour l'anecdote). Où sommes nous et qui sommes nous pour avoir droit à si peu de considération de la part de l'auteur ? On pourra alors me répondre à ce que je viens de dire que M. Moore est un militant engagé et que comme tout militant engagé, on a des idées fortes que l'on veut communiquer aux autres. Très bien, mais alors évitez de nous faire croire à nous français que toutes les mamans qui accouchent ont droit à une nounou bien docile et autres aberrations complètement surjouées...En revanche, ce qu'il évoque dans son film concernant les compagnies d'assurance américaine est probablement vrai ou au moins possède un fond de vérité, en tout cas, c'est que l'on peut constater. Mais M. Moore s'y est pris de manière complètement maladroite et semble être tombé dans tous les pièges à éviter : généralisation abusive, grossissement du trait à l'extrême, être identique aux personnes que l'on essaie de critiquer.
La prochaine fois, il faudra qu'il parvienne à prendre un peu plus de hauteur pour éviter de nous resservir un autre de ces films démagogiques.
La prochaine fois, il faudra qu'il parvienne à prendre un peu plus de hauteur pour éviter de nous resservir un autre de ces films démagogiques.
C'est évident que Michael MOORE manque d'objectivité(il montre la France de manière idyllique) et semble avoir un égo assez démesuré(sa manière de se mettre en scène).Ceci dit SICKO dénonce le système privé de santé américain à un moment ou la France doute de son service public.Un film certes imparfait mais salutaire et souvent assez poignant(certains témoignages sont bouleversants).
bon, allez Michael Moore est sympa avec sa mine de lourdaud affectueux qui joue les Candide à inventorier les avantages des couvertures médicales dans le monde.
ce n'est pas vraiment un film, juste un documentaire un peu manichéen, peut être un peu truqué parfois pour rendre le pamphlet anti système US plus tranché.
ce n'est pas vraiment un film, juste un documentaire un peu manichéen, peut être un peu truqué parfois pour rendre le pamphlet anti système US plus tranché.
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