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EviL-SpiriT
9 abonnés
216 critiques
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2,5
Publiée le 17 décembre 2009
Un petit film sans grande pretention ou on aime le coté spontané et foufou d'un gamin qui se cherche ( qui n'a jamais été un peu comme max a son age ) et qui se sentant délaissé par ses proches s'enfuis pour se retrouver parmi les maximonstres pour se lier d'amitié à eux mais surtout pour s'inventer de nouvelles aventures. Par contre attention ce n'est pas vraiment pour les enfants je dirais a partir de 10 ans car ça pourrait leur faire peur.
L'adaptation des albums conçus par Maurice Sendak a permis de nous faire découvrir ce conte imaginaire et, à travers lui, la quête initiatique d'un jeune garçon à travers sa découverte d'une île habités d'étranges créatures. Dans son troisième film Spike Jonze, qui après Dans la peau de John Malkovich et Adaptation poursuit son exploration des limites que l’homme donne à sa propre imagination, a mis en avant l'aspect émouvant de cette relation entre ce garnement et ces gentils monstres. Mais derrière cette sympathique histoire fantastique, se met en place une réflexion intelligente sur le pouvoir, et en particulier sur les questions de savoir comment l'atteindre et surtout sur la possibilité de le garder alors qu'il est impossible de satisfaire tout le monde. Il est possible que les plus jeunes enfants soient effrayés par ces personnages disproportionnés et que les plus grands ayant perdus leur âme d’enfant s’ennuient, n’y voyant qu’un banal étalage de naïveté, mais ceux qui réussiront à faire de Max et les maximonstres un bon moment passé en famille sauront reconnaitre que cette fable enchanteresse est l’indéniable preuve de l’immense créativité visuelle du réalisateur.
Magique une oeuvre d'art à la hauteur de tous les autres films de spike jonze qui rentre ac ce film dans le cercle très fermé des tres bon realisateurs ! Un film qui explore ac très grande précisions les sentiments complexes humain! enfin extra JADORRE
Un film au style graphique fascinant avec ces merveilleux personnages et décors, mais malheureusement le film n'est pas tout à fais convaincant avec un scénario un peu brouillon et avec la mauvaise impression que le film n'a fait que survoler les possibilités dont ils pouvaient avoir. On sort déçu. Plus d'infos sur : http://kilitchikou.blogs.allocine.fr/
Un film magique. Impossible de ne pas être conquis par le naturel et l’imagination d’un enfant émerveillé dans un monde merveilleux. Max et les maximonstres raconte l’histoire d’un jeune garçon en quête de quelque chose de meilleur, quelque chose qui ne lui veut pas du mal. Mais il va vite découvrir que vivre heureux n’est pas toujours facile. Mais au-delà de l’histoire il y a un monument d’émotion et de tendresse. Les musiques saisissantes envahissent le film et l’enchante. Max Records est épatant, il possède une vraie force naturelle et un charisme théâtral remarquable. Le film le plus tendre de l’année, car il n’en fait ni trop ni pas assez à ce niveau là. Si vous voulez vivre une seconde fois allez-y.
Une fois de plus, la question se pose : la beauté de la forme doit-elle justifier le manque de fond? Honnêtement, j'en ai un peu marre de poser la question aussi régulièrement chaque année, mais ai-je vraiment le choix? Ah ça c'est sur que pour nous offrir un monde d'une beauté visuelle assez stupéfiante, que ce soit par les drôles de bestioles que sont ces Maximonstres ou des décors bluffants, chapeau Monsieur Jonze!! Mais comme pouvait le dire Luc Besson dans les Guignols de l'info lorsque PPDA lui demande de quoi parle le scénario : "Ah merde! J'savais bien que j'avais oublié un truc." Mais oui Monsieur Jonze, vous avez en effet oublié un truc, et pas n'importe lequel!! La beauté visuelle n'excuse ainsi pas près d'une heure d'ennui pour le spectateur, qui aura droit pour seul rebondissement à voir des gros monstres se jeter les uns sur les autres en rigolant, et ce sans que personne ne cherche à y remédier à un quelconque moment! On est d'ailleurs presque résigné lorsque tout à coup, miracle : enfin le réalisateur daigne nous offrir un peu de fond. On comprend alors mieux ses intentions : le passage de l'enfance à l'age adulte n'est pas facile, et les problèmes qui semblent pouvoir être résolus facilement et rapidement ne le sont en réalité qu'en facade... Il était temps, et pourquoi n'a t'il pas diable cherché à le faire avant? Cette deuxième partie efface ainsi un peu de notre rancoeur, mais soyons honnêtes : une demie-heure de plaisir pour une heure d'ennui, c'est beaucoup trop. Une déception, surtout de la part du réalisateur du cultissime "Dans la peau de John Malkovich"!
Spike Jonke nous emmène encore fois du plus profond de notre subconscient avec ce film très poétique. L'histoire est très jolie elle aussi. Celle d'un petit garçon qui est très mélancolique, car il comprend bien ce qui se passe autour de lui. Il perd son innocence mais reste toujours très seul. Les Maximonstres qui sont, finalement, beaucoup plus humains que les êtres humains sont très bien faits et originaux. Malheureusement "Max et les Maximonstres" souffre de quelques longueurs que l'on oublie vu la qualité de réalisation qui est parfaite avec de magnifiques plans notamment dans la forêt ou dans le désert. D'autres scènes regorgent de tendresse comme lorsque Carol montre sa construction (village miniature) à Max, où encore la fin pour ne citer que ces deux scènes. Les monstres ne sont pas les seuls à être originaux, le scénario l'est aussi par certains aspects. Un peu décevant mais excellemment bien filmé et très poétique.
Tout dans ce film prend à rebrousse-poil le spectateur qui s'attend à un "film familiale à multiples niveaux de lecture" (cf. films pour enfants). Rythme lent, personnages limites dépressifs. On est bien loin des sempiternelles et abrutissantes éloges de l'enfance : ici Max est un gamin abominable qui va découvrir que la mythomanie et la turbulance empêchent toute vie en communauté (familiale,etc).
Spike Jonze, réalisateur peu prolifique mais au talent indéniable vient nous prouver le contraire avec Max et les maximonstres (2009), l'adaptation du livre pour enfant de Maurice Sendak. Si les projections tests aux Etats-Unis avaient connus quelques remous (plusieurs gamins ont pris peur ou ont quitté la salle en pleure), je serais curieux de savoir s'il y avait des adultes qui ont quitté la salle suite à un ennui effroyable ? Car la mise en scène de Spike Jonze a beau explorer différents thèmes et nous offrir de très beaux plans en extérieurs où la sensibilité est à fleur de peau, le film n'en reste pas moins . . . lassant ! Entre agacement et exaspération, le film en lui-même est un terrain de jeu où un môme joue inlassablement avec des monstres. Ils courent, sautent, se jettent les uns sur les autres, bref, 100 minutes de centre aéré en mode destroye, sa saoul rapidement.
Voilà un film bien déroutant. Une sensibilité à fleur de peau. Un univers de maximonstres à la fois original, séduisant et dérangeant. Un conte pas banal du tout mais qui n'est vraiment pas un film de fin d'année pour les plus jeunes enfants, qui ne comprendront pas grand chose à l'histoire de cet enfant mal dans sa peau. Mais ces maximonstres continuent à trotter dans notre tête longtemps après la fin du film.
Un film a la fois simple et complexe, aussi bien pour les enfants que pour les adultes. le seul film qui a ma connaissance, n'a jamais aussi bien abordé l'enfance. Violent de tendresse.
Je n'avais pas vu un film aussi touchant depuis un moment. Même moi qui ne suis pas une grande sensible j'ai énormément aimé. Il véhicule plein d'émotion et nous fait redevenir un enfant pendant une heure quarante.