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Lotorski
17 abonnés
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2,5
Publiée le 11 août 2009
Un drame attendrissant mais qui ne me paraît pas inoubliable. J'admet cependant que la légèreté et le tragique, les pleurs ou les rires sont assez bien alternés.
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3,5
Publiée le 3 octobre 2017
"Le Cou de la girafe", c'est une librairie que tenait Claude Rich avant que la vieillesse ne fasse son apparition! Le film met en scène le pèriple d’une fille de neuf ans partie à la recherche de sa mamie disparue avec l’aide de son grand père et de sa mère avec un scènario qui s'inspire d'èvènements qui sont arrivès au réalisateur Safy Nebbou! Commence alors, pour Claude Rich, Sandrine Bonnaire et Louisa Pil, le voyage de la vèritè qui va les conduire tout d'abord dans les magnifiques paysages de Biarritz avant d'arriver dans les petites ruelles d'Espagne pour briser les mensonges et le silence! Une comèdie dramatique intense faite de regards et de silences ou la vitalitè des comèdiens principaux est franchement communicative! A noter la prèsence du regrèttè Darry Cowl...
Film de 2004 avec de bons acteurs mais si le film a de bons côtés c'est aussi de la facilité. Des situations fabriquées avec des choix dramatiques et des aspects de comédie mais l'émotion se perd dans les fumées de cigarettes et les vrais faux non-dits qui finissent par être dit sans subtilité. spoiler: Le cou de la girafe est le nom d'une librairie qui vient de l'expression peigner le cou de la girafe signifiant ne rien faire d'utile l'impression que m'a laissé ce film, se laisse suivre mais au final des effets vides de sens et/ou des sens calculés sans utilité.
Un film plein d'amour et de poésie, mais également de regrets, car oui, il ne faut pas attendre que les gens soient morts ou malades pour essayer de les aimer. C'est ce que raconte en partie ce film, avec notamment de formidables acteurs, Claude Rich en tête, toujours aussi bon. Ce film est très émouvant, notamment grâce à Louisa Pili, éblouissante. Un film qui fait également réfléchir sur notre future vieillesse. Un film à voir absolument.
Un excellent premier long metrage à la fois drole,tendre,poétique et très émouvant.La jeune Louisa Pili est une veritable révélation et retient l'attention du spectateur grace à son incroyable regard.Claude Rich et Sandrine Bonnaire sont fidèles à eux-memes:fabuleux.On ressort de ce film émus,avec les larmes aux yeux et ça fait du bien au coeur.Saffy Nebbou réalise un film prometteur.La musique de Pascal Gaigne est vraiment très jolie accompagnant le voyage des protagonistes avec justesse.
Oui, Safy Nebbou est un grand conteur. Son film nous enivre par sa pudeur, son sens du romanesque et l'humanité de ses protagonistes. Il est très important de le rappeler mais il est bien rare aujourd'hui de voir qu'un cinéaste se lancer dans un si grand défi qui consiste à créer un film pour les enfants, se devant de trouver aussi un second degré pour les plus grands. Pour un divertissement qui se veut intelligent, accessible, distrayant. C'est ce qu'est Le Cou de la girafe. Pourtant, on s'inquiète légèrement au début. Le scénario éprouve des complications à trouver ses marques et s'enfonce dans psychologique complexe comme pour la personnage de Mathilde, enfant en difficulté scolaire mais d'une incroyable intelligence. Le tout sonnant un peu trop artificiel par un certain manque de maîtrise, et non de talent, on avait peur de voir l'aventure se perdre dans une peinture de l'enfance en difficulté scolaire et incomprise par son entourage. Ici étant sa mère. Mathilde est fascinante dans un rôle très sensible, interprété avec virtuose. Mais c'est à partir de la fugue de Mathilde que le film décolle. Et quand l'aventure commence avec l'extraordinaire Claude Rich et sa petit fill, le film trouve le chemin de la poésie. Le voyage est émouvant et trouve sa philosophie dans le principe même de la racine familiale. Claude Rich y est bouleversant dans son personnage d'homme de lettre blessé, à l'ambiguïté fascinante. Sandrine Bonnaire est à la hauteur de nos attentes, alerte et épineuse de sa personne. On pourra seulement reprocher, même si l'idée se discute, du choix des dialogues. En effet, ils s'accordent difficilement avec ses locuteurs. Mais Le Cou de la girafe est une oeuvre rayonnante, d'une justesse incontestable. En outre, le final réserve une dernière interrogation à ses spectateur, compréhensibles par tous dans l'espoir à ce que les parents expliquent à leurs enfants un phénomène actuel, tragique et déchirant : la maladie. Un grand moment de poésie et de lyrisme.
Film minimaliste au premier abord, ce "Cou de la girafe" s'avère pourtant être un bien joli film. Vision sensible de l'enfance, charme discret mais réel, ce voyage sait se faire vraiment touchant au fil des minutes, que ce soit par les rapports montrés avec beaucoup de justesse entre les différents personnages ou les situations souvent assez amusantes du film. Mais l'ensemble n'en garde pas moins une certaine mélancolie, une réflexion sur la peur de vieillir également assez bien vu. L'ensemble peut paraitre par ailleurs assez sage il est vrai et manquant quelque peu d'audace (on reste souvent dans des schémas quelque peu classiques), mais il serait injuste d'ignorer ce film uniquement pour cela, tant par son manque de prétention il sait se faire agréable pour passer une jolie soirée.
Avec une bande-annonce ratée, une affiche hideuse et un titre aussi peu évocateur, il était difficile d'être attiré par ce petit film qui mérite bien mieux que la sortie qui lui est réservée. Si le film commence plutôt mal en s'inscrivant dans la lignée de tout un cinéma français pantouflard, on se laisse assez rapidement convaincre par le ton nostalgique et finalement assez douloureux pris par l'auteur. Ainsi, le destin des trois personnages se révèle vraiment tragique et touchant au fur et à mesure de la projection. La dernière scène du film est vraiment très émouvante, car évitant la sensiblerie (un peu à la manière du film "Depuis qu'Otar est parti"). Le tout est soutenu par une mise en scène discrète, mais qui sait être élégante et par une musique superbe (mais très influencée par celle de Michael Nyman). C'est donc une bonne surprise qui vous attend en allant voir ce joli petit film, loin d'être parfait, mais dont le charme opère.
Le Cou de la girafe est un magnifique film, beau et émouvant. Les acteurs sont tous exceptionnels, autant Claud Rich, que Sandrine Bonnaire ou que Louisa Pili (la petite fille). Ils sont très touchants et interprètent brillament leurs rôles. L'histoire est belle, la réalisation est bien maîtrisée, les musiques sont belles, bref, c'est du grand art ! Le cinéaste Safy Nebbou réalise un premier drame de toute splendeur. A voir absolument ! Un grand film français !
Un film émouvant qui ressemble plus à un téléfilm du samedi soir qu'à un vrai film de cinéma. Beaucoup de longueurs et on s'ennuie parfois malgré d'excellents comédiens. Personnellement, dans le genre, je préfère nettement "LE PAPILLON" avec Michel Serrault ; là au moins, il se passe quelque chose.
On craque de toute façon sur la bouille de la petite fille, vraiment charmante. Bonnaire prend de la beauté avec l'âge, son visage carré s'adoucissant, et Rich, on peut difficilement le prendre en défaut. Darry Cowl délaisse heureusement les rôles de travesti, et s'en tire très bien. Bref, de bons acteurs, c'est déjà la moitié du film de gagné. L'autre moitié, c'est un mélodrame comme on n'en imagine plus ! Il y a un côté Monsieur Plus dans le scénario catastrophe qui devient risible, heureusement, c'est rythmé, vraisemblable, bien filmé et beau, et l'humanité des histoires est bien agréable. On pourrait y revoir une reprise de l'excellent "Papillon", mais c'est totalement une autre approche des relations inter-générationnelles, grand sujet inépuisable du siècle prochain.
Le Cou de la Girafe est un joli petit film aux thématiques de fiction made in France 3... une sorte d'ancêtre du Renard et de l'Enfant, les beaux décors en moins. Si elles se laissent regarder avec un enthousiasme très modéré et un plaisir un peu naif, élémentaire, ces soixante-diz minutes sont cependant largement dispensables, la faute à un ton assez superficiel. Ni passionnant ni repoussant, avec même une drôle de référence à Dali -forcément, inattendu dans ce léthargique -mais au moins autant que charmant- océan de bons sentiments-.
J'ai lu le synopsis avant de voir le film, machin-machin recherche des origines... spoiler: bon d'emblée, avec ce genre de scènar on le sait : la grand-mère, soit on la trouvera pas, soit elle sera morte, soit elle aura Alzheimer. Bingo. Mais j'ai voulu me faire une idée, alors je l'ai regardé. Et voilà, le scénario est pas terrible, y'a des longueurs, les dialogues c'est pas Audiard... MAIS, le trio Bonnaire, Rich et (surprise) la super Louisa Pili SAUVE complètement le tout ! Enfin sauve j’exagère, c'est pas non plus si mal écrit qu'il faille le sauver, mais là où le scénario promettait un film pas top, on a un bon film. Un bon film, un peu consensuel, assez attendu, un peu drôle, un peu triste... mais des acteurs vraiment bons !