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Votre avis sur Hooligans ?
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Sous ses airs de vouloir partir dans la lignée de l'incroyable "This is England", "Hooligans" n'est en réalité que prétexte à une violence gratuite, certes bien filmée, mais qui est la seule fondation du long métrage! Un peu faiblard quand même...
une tre bonne surprise que se film vraiment genial sur le hooliganisme je vous le recommande
Je n'ai rien compris à ce film. Je croyais que les hooligans étaient des brutes analphabètes, souvent néo-nazis, bref, des abrutis complets qui se défoulaient de leur vie misérable dans les stades et en-dehors par l'emploi d'une violence démesurée. Or, dans ce film, le phénomène semble institutionnalisé, les hooligans en question ne sont pas des laissés pour compte de la crise économique, ne font pas spécialement preuve de racisme, ( sauf envers les Américains ???), et puis le film se montre d'une complaisance rare envers la violence, ( j'ai pensé à Fight Club ). On a l'impression que le réalisateur, ( ou trice ) nous présente ce regrettable phénomène comme une école de vie, où l'emploi de la violence correspondrait à une sorte de code d'honneur. En plus, l'intrigue est souvent prévisible. C'est de toute façon un film testostérone, et j'avais l'impression de visiter la planète Mars. Bref, pas très subtil et même dangereux pour des adolescents fragiles et désorientés. En plus, je n'aime pas le foot.
L'immersion dans le milieu est totale. Entre les pubs, les insultes, les matchs, les bastons, les rivalités... La réalisation est maîtrisée, idem pour les dérives qu'apportent des supporter extrêmes. L'adrénaline monte et fait beaucoup de dégâts. Un bon film sur les extrêmes des supporter de club.
Sorti en 2005, "Hooligans" avait suscité une vague d'inquiétude dans les hautes sphères anglaises mais aussi allemandes. En effet, les dirigeants anglais avaient peur que ce film ne relance les polémiques sur le hooliganisme dans leur pays. Ils ont donc préféré fermer les yeux et compliquer le tournage en rendant difficile l'accès aux stades pour filmer. Les dirigeants allemands ont, eux, carrément interdit la sortie en salles du film, craignant une polémique juste avant la coupe du monde de 2006 !
Après avoir regardé le film, on peut s'interroger sur ces inquiétudes. Certes, de vrais hooligans ont tourné aux côtés des acteurs. Mais, à vrai dire, il n'y a rien qui soit susceptible de soulever les foules et de faire peser une menace sur l'ordre public.
"Hooligans" est un film comme un autre, sur un phénomène criminel connu, qui n'a pas d"aura suffisante pour être plus influent sur les spectateurs qu'un "Boyz n the Hood" pour les gangs américains ou un Scorsese pour la mafia italo-américaine, par exemple. Si l'on autorise ces deux films là, pourquoi interdire "Hooligans" ?
Après tout, il s'agit d'un film avec des stars américaines (Elijah Wood, Charlie Hunnam, Claire Forlani) qui raconte l'histoire d'un jeune étudiant journaliste viré de Harvard pour une infraction qu'il n'a pas commise et qui découvre le hooliganisme avec son beau-frère anglais. Rien de bien exceptionnel par rapport à d'autres films.
Si l'on en revient au film lui-même, je l'ai trouvé plutôt bon. J'ai passé un bon moment devant ces décharges d'adrénaline lors des bagarres filmées avec beaucoup d'énergie par Lexi Alexander et accompagné d'une bonne bande son.
Les acteurs sont également convaincants et on se laisse facilement emportés par l'histoire même si le doublage français est véritablement horrible et pourrait mettre à mal cette immersion !
Après avoir regardé le film, on peut s'interroger sur ces inquiétudes. Certes, de vrais hooligans ont tourné aux côtés des acteurs. Mais, à vrai dire, il n'y a rien qui soit susceptible de soulever les foules et de faire peser une menace sur l'ordre public.
"Hooligans" est un film comme un autre, sur un phénomène criminel connu, qui n'a pas d"aura suffisante pour être plus influent sur les spectateurs qu'un "Boyz n the Hood" pour les gangs américains ou un Scorsese pour la mafia italo-américaine, par exemple. Si l'on autorise ces deux films là, pourquoi interdire "Hooligans" ?
Après tout, il s'agit d'un film avec des stars américaines (Elijah Wood, Charlie Hunnam, Claire Forlani) qui raconte l'histoire d'un jeune étudiant journaliste viré de Harvard pour une infraction qu'il n'a pas commise et qui découvre le hooliganisme avec son beau-frère anglais. Rien de bien exceptionnel par rapport à d'autres films.
Si l'on en revient au film lui-même, je l'ai trouvé plutôt bon. J'ai passé un bon moment devant ces décharges d'adrénaline lors des bagarres filmées avec beaucoup d'énergie par Lexi Alexander et accompagné d'une bonne bande son.
Les acteurs sont également convaincants et on se laisse facilement emportés par l'histoire même si le doublage français est véritablement horrible et pourrait mettre à mal cette immersion !
gabdias
Belle pépite sur le foot anglais et ses dérives du hooliganisme, portée par le superbe Charlie Hunnam (avant Sons of Anarchy) et d'autres acteurs anglais crédibles. Une odyssée humaine de qualité qui ne tombe jamais dans le sentimentalisme ou le larmoyant, pour un premier film, on donne les encouragements du jury !
Un très bon film coup de poing sur le monde des hooligans. Le film est vraiment bien rythmé et n'a pas de temps mort. L'histoire est bien foutue et les acteurs (Elijah Wood et Charlie Hunnam surtout) sont excellents. Les scènes de bastons sont très bien filmés et réalistes. Le fait de présenter de présenter les hooligans sous cet angle (ils sont presques sympathiques en dehors de leur "activité" de hooligan) n'est pas forcément idiot car en effet, dans la réalité beaucoup de hooligans sont dans la vie des gens de tout milieux et exerçant toutes sortes de métiers. Ce qui est par contre plus ambigu sur le film, c'est l'idéologie qui consiste à dire que le hooliganisme a permis de révéler la vrai nature et forger le caractère du héros. C'est un petit peu douteux. Cependant,
spoiler:
la mort de Charlie Hunnam
vient rappeler la dure réalité de ce milieux.
vient rappeler la dure réalité de ce milieux.
Un jeune américain, Matt, débarque à Londres où il est initié par un supporter du club de foot de West Ham et chef d'un groupuscule de hooligans aux bagarres de rue entre factions rivales.
Le film de Lexi Alexander à l'ambition didactique d'expliquer le phénomène du hooliganisme au profane, personnalisé ici par un paisible américain pas très au courant des pratiques aux abords des stades de foot anglais. De fait, le film parait parfois démonstratif ou trop explicite. D'autant que le scénario, balançant entre fiction éculée à l'américaine et témoignage social réaliste à l'anglaise, n'est pas toujours convaincant. Il impacte la composition des interprètes, lesquels tantôt approchent un naturalisme à la façon de Ken Loach et, à d'autres moments, sont dans le surjeu propre au cinéma. A cet égard, la guéguerre entre les fans de Millwall et ceux de West Ham accouche d'un dénouement dramatique très "pompier", voire grotesque. Où l'on voit la soeur de Matt se pointer et spoiler: s'interposer bébé sous le bras en pleine rixe
, où l'on voit ensuite les combattants et brutes avinées se mettant subitement à raisonner entre deux coups de poing, jouant et façonnant une sorte de sous-tragédie shakespearienne!
En réalité, la cinéaste Lexi Alexander n'est jamais aussi juste que lorsqu'elle filme la violence de groupe, les empoignades furieuses, les beuveries et les chants dans les pubs. Co-héros du film, Elijah Wood, le farfadet du "Seigneur des anneaux" semble un comédien limité. Il est peu crédible dans le rôle de l'inoffensif Matt, fasciné par la violence et la rage des hooligans et spoiler: y prenant part comme un caïd
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Le film de Lexi Alexander à l'ambition didactique d'expliquer le phénomène du hooliganisme au profane, personnalisé ici par un paisible américain pas très au courant des pratiques aux abords des stades de foot anglais. De fait, le film parait parfois démonstratif ou trop explicite. D'autant que le scénario, balançant entre fiction éculée à l'américaine et témoignage social réaliste à l'anglaise, n'est pas toujours convaincant. Il impacte la composition des interprètes, lesquels tantôt approchent un naturalisme à la façon de Ken Loach et, à d'autres moments, sont dans le surjeu propre au cinéma. A cet égard, la guéguerre entre les fans de Millwall et ceux de West Ham accouche d'un dénouement dramatique très "pompier", voire grotesque. Où l'on voit la soeur de Matt se pointer et spoiler: s'interposer bébé sous le bras en pleine rixe
, où l'on voit ensuite les combattants et brutes avinées se mettant subitement à raisonner entre deux coups de poing, jouant et façonnant une sorte de sous-tragédie shakespearienne!
En réalité, la cinéaste Lexi Alexander n'est jamais aussi juste que lorsqu'elle filme la violence de groupe, les empoignades furieuses, les beuveries et les chants dans les pubs. Co-héros du film, Elijah Wood, le farfadet du "Seigneur des anneaux" semble un comédien limité. Il est peu crédible dans le rôle de l'inoffensif Matt, fasciné par la violence et la rage des hooligans et spoiler: y prenant part comme un caïd
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Elijah Wood n'est pas vraiment crédible dans le rôle du hooligans...et puis c'ert quoi le message?être hooligans, c'est un mode de vie?mouaif....ça se laisse regarder mais c'est quand même pas extraordinaire!
Hooligans évite les clichés et nous propose une vision intéressante d'un sujet épineux où d'autres se seraient surement cassés les dents.
Hormis quelques défauts inhérent à un premier long métrage il faut dire que Alexander à plutôt très bien réussi son film. Le scénario est excellent, et il a le bon ton de ne pas céder au bien pensant. Dans le film on ne juge pas les Hooligans, la réalisatrice nous montre juste un portrait. A nous de juger. Le point fort du film ce sont les acteurs. Aussi bien les premier rôles mais surtout les second comme par exemple Leo Gregory un illustre inconnu qui est tout simplement extraordinaire. Très bon film à ne pas mettre devant tous les yeux quand même mais excellent par son sujet assez rare au cinéma.
J'étais très intéressé par l'histoire car le fan de foot que je suis a toujours voulu comprendre l'imbécillité des pseudo supporters que j'ai côtoyés lors de certains matchs dans la tribune Boulogne du Parc des Princes et qui arrivaient à se taper dessus entre eux alors même que l'équipe qu'ils soutenaient gagnait (c'était il y a plusieurs années car le PSG, depuis une vingtaine de matchs, ne gagne plus un match à Paris). Malheureusement, même si les supporters dépeints ici sont proches de ceux que j'ai vus dans la réalité, la vision de « Hooligans » ne m'apporte aucune réponse. Beuveries et Bastons sont les ingrédients principaux de ces « Fights » organisés en ville en marge des matchs et restent toujours aussi obscurs à mes yeux. De plus, le film partait pour moi avec un gros handicap car l'interprète principal est difficilement crédible en hooligan. Ce handicap a été confirmé a posteriori et je ne suis pas arrivé à imaginer ce gentil « hobbit » dans un tel rôle et donc à entrer vraiment dans le film. Les autres acteurs, eux, sont heureusement beaucoup plus crédibles. En somme, un film moyen qui se laisse regarder sans plaisir ni déplaisir tout au long du film, enfin presque tout au long du film car malheureusement, les 15 dernières minutes du film font baisser la note d'un point.
spoiler:
Dire qu'il y a encore des films qui nous sortent une fin moralisatrice bas de gamme à l'occidentale (on sent d'ailleurs bien, dans la fin du film, l'influence des capitaux américains dans cette production américano-britannique et donc de l'épouvantable morale associée).
Premier long métrage de Lexi Alexander, "Hooligans" présente déjà l'intérêt d'être un des rares films à aborder ce milieu des hooligans anglais, rendus célèbres en Europe depuis la tragédie du Heysel. Avec les yeux du yankee qui appelle le football "soccer", nous rentrons dans l'intimité de la bande, depuis son repère du pub "Abbey" jusqu'aux déplacements à Manchester. Loin d'être des lumpens, les membres du GSE sont profs, pilotes, traders en bourse, bref, à l'image de la société anglaise d'aujourd'hui, comme nous le montre la séquence où tous attendent sur leur lieu de travail le résultat du tirage au sort qui déterminera la localisation de leur prochain champ de bataille.
Dans la description de cette complicité arrosée de bière et de sang, la réalisatrice sait trouver des accents proches de Ken Loach, Peter Cattenao ("The Full Monty") ou Stephen Daldry ("Billy Elliott"). Chassé honteusement de sa fac et de son pays, depuis longtemps délaissé par un père grand reporter, Matt trouve la fraternité et le sentiment d'une appartenance conquise au prix du danger auprès de ses nouveaux compagnons, dont le chef peut à la fois laisser sa place à une femme dans le métro et traiter de "youpin" le leader d'un groupe adverse.
Lexi Alexander a fait appel à des "gueules" comme on en voit dans "My Name is Joe" ou "The Navigators", qui donnent une crédibilité à la description de cet univers schizophrène, où de bons pères de famille, des employés modèles ou de sympathiques pédagogues se transforment en brutes épaisses mus par des réactions tribales dignes des pires bandes de nos cités. A la tête de ce "club", l'acteur anglais Charlie Hunnam est très convaincant, mélange de Brad Pitt et de Pacino, sachant distiller à la fois un charisme indéniable et une brutalité animale. Il illustre à lui seul la dualité inquiétante de ces hooligans qui refusent le qualificatif de "gang", mais se comportent avec la même bestialité que les bandes de "Gangs of New York".
Malheureusement, le scénario n'évite pas l'ornière des situations convenues, vues et revues depuis "West Side Story". Outre le traumatisme du père absent, on retrouve tous les ingrédients du mélo : la spirale de la vengeance, l'enchaînement fatal des événements, la trahison, le remord... Et c'est là que le film trouve ses limites : à vouloir filmer cet affrontement de petites frappes lobotomisés comme une tragédie antique ou un drame shakespearien, à vouloir parer ses héros des vertus de la droiture et de la fidélité, la réalisatrice n'évite pas une certaine forme de complaisance ; et quand de retour à New York, Matt se venge pacifiquement de celui qui l'avait laissé payer à sa place, c'est en chantant l'hymne du GSE qu'il disparaît dans la nuit de Manhattan, histoire de montrer que cette expérience en a fait un homme nouveau.
Et cette ambiguité se retrouve dans la façon de filmer les affrontements, avec une chorégraphie faite de ralentis et de saccades, qui à la fois ne cache rien de la violence des combats, tout en manifestant une fascination proche du plaisir masochiste des protagonistes à prendre les coups. Simple déformation d'une ancienne championne d'arts martiaux ou manque de discernement ? Laissons à ce premier film quand même intéressant le bénéfice du doute, et attendons de voir ce que nous proposera à l'avenir Lexi Alexander.
http://www.critiquesclunysiennes.com/
Dans la description de cette complicité arrosée de bière et de sang, la réalisatrice sait trouver des accents proches de Ken Loach, Peter Cattenao ("The Full Monty") ou Stephen Daldry ("Billy Elliott"). Chassé honteusement de sa fac et de son pays, depuis longtemps délaissé par un père grand reporter, Matt trouve la fraternité et le sentiment d'une appartenance conquise au prix du danger auprès de ses nouveaux compagnons, dont le chef peut à la fois laisser sa place à une femme dans le métro et traiter de "youpin" le leader d'un groupe adverse.
Lexi Alexander a fait appel à des "gueules" comme on en voit dans "My Name is Joe" ou "The Navigators", qui donnent une crédibilité à la description de cet univers schizophrène, où de bons pères de famille, des employés modèles ou de sympathiques pédagogues se transforment en brutes épaisses mus par des réactions tribales dignes des pires bandes de nos cités. A la tête de ce "club", l'acteur anglais Charlie Hunnam est très convaincant, mélange de Brad Pitt et de Pacino, sachant distiller à la fois un charisme indéniable et une brutalité animale. Il illustre à lui seul la dualité inquiétante de ces hooligans qui refusent le qualificatif de "gang", mais se comportent avec la même bestialité que les bandes de "Gangs of New York".
Malheureusement, le scénario n'évite pas l'ornière des situations convenues, vues et revues depuis "West Side Story". Outre le traumatisme du père absent, on retrouve tous les ingrédients du mélo : la spirale de la vengeance, l'enchaînement fatal des événements, la trahison, le remord... Et c'est là que le film trouve ses limites : à vouloir filmer cet affrontement de petites frappes lobotomisés comme une tragédie antique ou un drame shakespearien, à vouloir parer ses héros des vertus de la droiture et de la fidélité, la réalisatrice n'évite pas une certaine forme de complaisance ; et quand de retour à New York, Matt se venge pacifiquement de celui qui l'avait laissé payer à sa place, c'est en chantant l'hymne du GSE qu'il disparaît dans la nuit de Manhattan, histoire de montrer que cette expérience en a fait un homme nouveau.
Et cette ambiguité se retrouve dans la façon de filmer les affrontements, avec une chorégraphie faite de ralentis et de saccades, qui à la fois ne cache rien de la violence des combats, tout en manifestant une fascination proche du plaisir masochiste des protagonistes à prendre les coups. Simple déformation d'une ancienne championne d'arts martiaux ou manque de discernement ? Laissons à ce premier film quand même intéressant le bénéfice du doute, et attendons de voir ce que nous proposera à l'avenir Lexi Alexander.
http://www.critiquesclunysiennes.com/
Peu de temps avant de tourner "Crimes à Oxford", Elijah Wood apparaissait dans "Hooligans". Je fais un parallèle entre les deux films puisque ce sont tous deux des films british sans prétention dans lequel Wood a eu du mal à faire oublier son rôle de Frodon Sacquet. Personnellement je trouve, sans vouloir lui être hostile, qu'il joue toujours de la même manière et j'ai l'impression qu'il va plus ou moins se mettre à chialer toutes les cinq minutes. Cela ne me permet pas de croire au personnage et c'est embêtant (c'est tout de même le personnage principal !). Mais c'est là que le film est rattrapé par les autres acteurs, Charlie Hunnam en tête (d'ailleurs je salue sa performance). Ils sont tous crédibles (sauf Claire Forlani dans le dénouement), et même si le scénario ne brille pas par son intelligence mais plutôt par sa violence, le spectateur consentant y trouvera son compte à coup de poings, de pieds, de matraque et de couteau. Violent et divertissant.
Je trouve que c'est un sujet intéressant qui est traité ici mais malheureusement de manière trop manichéenne, presque caricaturée et trop cousu de fils blancs. C'est dommage car le film commence bien mais petit à petit s'enfonce dans la machine hollywoodienne. Cependant de très bons acteurs du côté des hooligans contrairement à Claire Forlani qui (la pauvre c'est pas de sa faute) a un personnage fade de niaise !!!! On passe quand même pas un mauvais moment !!!
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