Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
MCinéma.com
par Anthony Clément
La lumière, la composition (...), l'illustration sonore, tout nous place au coeur d'une peinture vivante. La perfection de l'ensemble fait parfois croire que l'on se situe bien dans le monde de l'imaginaire et du rêve. Car la nature ne peut avoir fait si bien les choses.
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
Deux êtres inondés de lumières sous l'oeil de Frydman, des images de pure poésie qui défilent dans un pays imaginaire entre Belgique et Hollande et puis les yeux de Vanessa Paradis, embués de tristesse, dans lesquels le réalisateur capture le trop-plein de questions.
Brazil
par Caroline Vié
Un périple nimbé de tendresse et de poésie. Ce road movie fragile et bien dialogué vaut autant pour ses acteurs en phase que pour une histoire originale filmée avec pudeur sur fond de tubes d'Elvis Presley.
L'Humanité
par Émile Breton
Si, dans cette volonté du scénariste de se méfier de son métier, il y a parfois quelque tentation à chercher la " belle image ", à mettre par exemple des éoliennes dans le paysage, parce que c'est vrai qu'elles sont du meilleur effet visuel avec leurs grandes ailes dans le ciel, le plus souvent au contraire ces paysages, sérénité des étangs, étirement des rubans de route grise, ou bousculade d'une arrivée en gare, ont à voir avec l'état d'esprit des personnages. Assez pour dire qu'un cinéaste est au travail et qu'on peut attendre les films à venir.
Score
par Marco Ramius
Un film aux quarante premières minutes enchanteresses, un film qui parle d'amour, de solitude, de marginalité, qui fonce à cent à l'heure sur les routes de la poésie et de l'absurde. Malheureusement, il fallait bien que ces deux se désirent l'un l'autre et dès lors, le film commence sérieusement à patiner. Vanessa Paradis est magistrale en prostituée un peu larguée, et son partenaire est à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Mon Ange relate cette drôle d'histoire d'amour à la façon d'un conte, et c'est souvent charmant. Dans la peau du prince, le jeune Vincent Rottiers fait preuve d'une présence étonnante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Alexandre Mangin
Plutôt réussi dans ses séquences rythmées (avec de belles images du chef op des premiers Kusturica) et habité par de bons acteurs, Mon Ange souffre d'un scénario répétitif et terriblement bavard. (...) Vraiment trop bancal pour être convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
France Soir
par Richard Gianorio
Road-movie appliqué mais dont, hélas ! les dialogues souffent d'une sérieuse surcharge pondérale : trop écrits, les monologues poétiques du fim tombent à plat. Ce qui n'est pas le cas de Vanessa Paradis, convaincante, qui a toujours su comment rebondir en général, et après l'échec surligné d'Atomik Circus, l'été dernier, en particulier.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Frydman s'intéresse plus à la poésie de ses dialogues, à la tournure de ses phrases qu'à l'authenticité de ses personnages ou de l'intrigue. Tout cela donne à Mon Ange, un côté factice. Surtout que Vanessa Paradis, pute à bout de nerfs tentant, en vain, de se débarrasser d'un garçon encombrant, on a du mal à y croire.
Le Monde
par Florence Colombani
(...) un couple improbable et attachant (...) Dommage que dans ce premier film de Serge Frydman (...) une armature de mots enserre à ce point les personnages, les empêchant de respirer librement. Le résultat est un road movie bavard, étouffé par une langue d'une poésie trop apprêtée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Un film parfois esthétisant mais qui procure un plaisir certain.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Des phrases ampoulées et sentencieuses pour masquer quelquefois la simplicité du propos, des images travaillées au-delà de toute simplicité pour jouer avec les tromperies des apparences. Cette recherche esthétique cadenasse forcément l'expression d'une émotion spontanée et directe. Mais il y a heureusement à l'écran un couple d'une vigueur et d'une sensibilité bouillantes qui parvient souvent à faire éclater le carcan qui voudrait les retenir.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Heureusement que le scénariste de "Rue des plaisirs" a la chance d'avoir Vanessa Paradis devant sa caméra. Elle seule suffit à remplir l'écran, même si l'histoire ne nous convainc pas du tout. (...) Joliment filmé, ce film, aussi léger que la plume d'un ange, s'envole au moindre souffle de pensée, hors de portée de la mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Stéphanie Lamome
Serge Frydman, scénariste de récents films de Leconte, a écrit le rôle pour Paradis. Malheureusement, la poésie de Mon Ange se rapproche plus de la mièvrerie de sa Rue des Plaisirs que des alexandrins de sa Fille sur le pont. (...) Dommage, car la promesse d'homme contenue dans le regard de Vincent Rottiers s'accorde à merveille avec les vestiges têtus d'enfance de Vanessa Paradis.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Isabelle Danel
Tout cela est fort sympathique, mais le road-movie s'effiloche en cours de route, faute d'une vraie matière et d'un enjeu autre que la rencontre entre ces deux paumés. C'est surtout de Vincent Rottiers que vient la surprise (et le plaisir) du film.
Télérama
par Cécile Mury
Les visages de Vanessa Paradis et de Vincent Rottiers sont mobiles, émouvants. L'un semble refléter l'autre, comme deux miroirs inquiets. Ce charme un peu trouble s'évapore pourtant au long d'un road-movie saturé de clichés poétiques (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Entre répliques acides et amours perdues, Frydman signe une partition pour deux solistes, originale mais un peu mécanique. On sort frustré de n'avoir pu aller plus loin dans le traitement des personnages. Reste Vanessa Paradis, qui traverse le film avec une grâce brisée, face à Vincent Rottiers. Buté et incandescent, ce jeune de 18 ans fera parler de lui.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Emmanuel Leclercq
Une fois mise en place, la situation de départ ne donne lieu qu'à des développements en boucle, aussi répétitifs qu'artificiels, dont le spectateur se lasse très vite. Par ailleurs, (...) le cinéaste a feint de fondre en un seul "lieu" visuel les images de deux pays, ce qui achève de décrédibiliser l'entreprise.(...) une Vanessa Paradis complètement ravagée, qui fait peine à voir.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Serge Frydman (...) a fondé son premier film sur la réunion fortuite de deux paumés. L'artifice est assez pesant, les dialogues à moitié mangés, bref, il faut de la persévérance pour les suivre jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
MCinéma.com
La lumière, la composition (...), l'illustration sonore, tout nous place au coeur d'une peinture vivante. La perfection de l'ensemble fait parfois croire que l'on se situe bien dans le monde de l'imaginaire et du rêve. Car la nature ne peut avoir fait si bien les choses.
aVoir-aLire.com
Deux êtres inondés de lumières sous l'oeil de Frydman, des images de pure poésie qui défilent dans un pays imaginaire entre Belgique et Hollande et puis les yeux de Vanessa Paradis, embués de tristesse, dans lesquels le réalisateur capture le trop-plein de questions.
Brazil
Un périple nimbé de tendresse et de poésie. Ce road movie fragile et bien dialogué vaut autant pour ses acteurs en phase que pour une histoire originale filmée avec pudeur sur fond de tubes d'Elvis Presley.
L'Humanité
Si, dans cette volonté du scénariste de se méfier de son métier, il y a parfois quelque tentation à chercher la " belle image ", à mettre par exemple des éoliennes dans le paysage, parce que c'est vrai qu'elles sont du meilleur effet visuel avec leurs grandes ailes dans le ciel, le plus souvent au contraire ces paysages, sérénité des étangs, étirement des rubans de route grise, ou bousculade d'une arrivée en gare, ont à voir avec l'état d'esprit des personnages. Assez pour dire qu'un cinéaste est au travail et qu'on peut attendre les films à venir.
Score
Un film aux quarante premières minutes enchanteresses, un film qui parle d'amour, de solitude, de marginalité, qui fonce à cent à l'heure sur les routes de la poésie et de l'absurde. Malheureusement, il fallait bien que ces deux se désirent l'un l'autre et dès lors, le film commence sérieusement à patiner. Vanessa Paradis est magistrale en prostituée un peu larguée, et son partenaire est à la hauteur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Mon Ange relate cette drôle d'histoire d'amour à la façon d'un conte, et c'est souvent charmant. Dans la peau du prince, le jeune Vincent Rottiers fait preuve d'une présence étonnante.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Plutôt réussi dans ses séquences rythmées (avec de belles images du chef op des premiers Kusturica) et habité par de bons acteurs, Mon Ange souffre d'un scénario répétitif et terriblement bavard. (...) Vraiment trop bancal pour être convaincant.
France Soir
Road-movie appliqué mais dont, hélas ! les dialogues souffent d'une sérieuse surcharge pondérale : trop écrits, les monologues poétiques du fim tombent à plat. Ce qui n'est pas le cas de Vanessa Paradis, convaincante, qui a toujours su comment rebondir en général, et après l'échec surligné d'Atomik Circus, l'été dernier, en particulier.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Frydman s'intéresse plus à la poésie de ses dialogues, à la tournure de ses phrases qu'à l'authenticité de ses personnages ou de l'intrigue. Tout cela donne à Mon Ange, un côté factice. Surtout que Vanessa Paradis, pute à bout de nerfs tentant, en vain, de se débarrasser d'un garçon encombrant, on a du mal à y croire.
Le Monde
(...) un couple improbable et attachant (...) Dommage que dans ce premier film de Serge Frydman (...) une armature de mots enserre à ce point les personnages, les empêchant de respirer librement. Le résultat est un road movie bavard, étouffé par une langue d'une poésie trop apprêtée.
Le Parisien
Un film parfois esthétisant mais qui procure un plaisir certain.
Ouest France
Des phrases ampoulées et sentencieuses pour masquer quelquefois la simplicité du propos, des images travaillées au-delà de toute simplicité pour jouer avec les tromperies des apparences. Cette recherche esthétique cadenasse forcément l'expression d'une émotion spontanée et directe. Mais il y a heureusement à l'écran un couple d'une vigueur et d'une sensibilité bouillantes qui parvient souvent à faire éclater le carcan qui voudrait les retenir.
Paris Match
Heureusement que le scénariste de "Rue des plaisirs" a la chance d'avoir Vanessa Paradis devant sa caméra. Elle seule suffit à remplir l'écran, même si l'histoire ne nous convainc pas du tout. (...) Joliment filmé, ce film, aussi léger que la plume d'un ange, s'envole au moindre souffle de pensée, hors de portée de la mémoire.
Première
Serge Frydman, scénariste de récents films de Leconte, a écrit le rôle pour Paradis. Malheureusement, la poésie de Mon Ange se rapproche plus de la mièvrerie de sa Rue des Plaisirs que des alexandrins de sa Fille sur le pont. (...) Dommage, car la promesse d'homme contenue dans le regard de Vincent Rottiers s'accorde à merveille avec les vestiges têtus d'enfance de Vanessa Paradis.
Rolling Stone
Tout cela est fort sympathique, mais le road-movie s'effiloche en cours de route, faute d'une vraie matière et d'un enjeu autre que la rencontre entre ces deux paumés. C'est surtout de Vincent Rottiers que vient la surprise (et le plaisir) du film.
Télérama
Les visages de Vanessa Paradis et de Vincent Rottiers sont mobiles, émouvants. L'un semble refléter l'autre, comme deux miroirs inquiets. Ce charme un peu trouble s'évapore pourtant au long d'un road-movie saturé de clichés poétiques (...).
Zurban
Entre répliques acides et amours perdues, Frydman signe une partition pour deux solistes, originale mais un peu mécanique. On sort frustré de n'avoir pu aller plus loin dans le traitement des personnages. Reste Vanessa Paradis, qui traverse le film avec une grâce brisée, face à Vincent Rottiers. Buté et incandescent, ce jeune de 18 ans fera parler de lui.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
Une fois mise en place, la situation de départ ne donne lieu qu'à des développements en boucle, aussi répétitifs qu'artificiels, dont le spectateur se lasse très vite. Par ailleurs, (...) le cinéaste a feint de fondre en un seul "lieu" visuel les images de deux pays, ce qui achève de décrédibiliser l'entreprise.(...) une Vanessa Paradis complètement ravagée, qui fait peine à voir.
Télé 7 Jours
Serge Frydman (...) a fondé son premier film sur la réunion fortuite de deux paumés. L'artifice est assez pesant, les dialogues à moitié mangés, bref, il faut de la persévérance pour les suivre jusqu'au bout.