Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Paris Match
par Christine Haas
Dans cette cinglante comédie sociale, Paul Weitz (...) observe avec finesse l'instabilité des multinationales et les répercussions émotionnelles. A travers des situations pleines d'humour, le récit trace un double parcours, juxtaposant les vies professionnelles et privées. (...) Tout en nuances, dans un personnage fragilisé, Dennis Quaid est plus que jamais apte aux grands rôles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Brazil
par Eric Coubart
Cette comédie enlevée a plusieurs sacrés atouts dans sa manche. D'abord, elle est d'actualité [...] puis elle est humaine [...] et surtout elle joue parfaitement avec les émotions. [...] Le casting est excellent. [...] Voici donc une peinture amère, drôle et vitriolesque de notre société avec avec un retour de bâton qui se veut trop optimiste.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Le cinéaste prend tout avec une sérénité de petit maître : description plutôt juste du monde du travail avec commérages de machines à café, solidarité des services, rivalités internes (le match de basket entre deux filiales du groupe, joli moment), narration à plusieurs voix, glissant de l'étude sociologique au marivaudage. A chaque fois, le film remporte ces étapes sans épuiser ses réserves. [...] Il y a dans le cinéma de Paul Weitz une générosité franche du collier, une envie de diviser le gâteau en multiples parts égales.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Une comédie satirique d'une certaine finesse. Sous ses allures lisses et rabâchées de comédie (...) En bonne compagnie laisse une impression beaucoup plus ambigüe qu'on ne pourrait l'imaginer. (...) La singularité du film tient à une sorte de banalité assumée et légère qui, paradoxalement, dévoile davantage l'incertitude et la fragilité des personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
Paul Weitz, auteur des très réussis American Pie (si, si, parfaitement !) et Pour un garçon (For a boy), à l'époque coréalisés avec une cruauté douloureuse la petitesse de la vie de bureau l'ère du licenciement express, avec férocité les ridicules du star system économique (...). Et les acteurs ? Tous très bien !
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Nicolas Schaller
(...) une comédie de moeurs d'une étonnante maturité. (...) une satire de la vie en entreprise, une critique de l'ultralibéralisme et, surtout, le portrait délicat d'Américains comme tant d'autres. [...] Weitz tire de ses maladresses (rythme flottant, mise en scène bancale) un supplément d'âme inattendu, aidé par ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Moins intéressé par la romance que par l'amour filial, son thème de prédilection (...), Paul Weitz s'attache à peindre le lien qui se noue entre le jeune loup qui n'a pas eu de père et le vieil ours qui n'a eu que des filles, tout en brocardant gaiement le monde impitoyable de l'entreprise américaine. Toutes proportions gardées, il y a du Lubitsch, celui de "The Shop Around The Corner", dans "En bonne compagnie". Allez-y, ça fait du bien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Dire que le trait est vraiment provocant serait exagéré, mais saluons la pertinence du propos (...). Et surtout, la lumineuse présence de Scarlett Johansson (Lost in Translation), qui éclaire ce petit monde d'hommes en lutte pour le pouvoir.
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Bayon
La côte Quaid remonte avec En bonne compagnie. Américonnerie réac et qualités farce mêlées, cette comédie de bureau (...) se passe bien. Grâce à son duo vedette (Dennis Quaid, vieux briscard, Scarlett Johansson, fraîcheur nature décidément sans rivale). Mais surtout au joker Topher Grace, le jeune loup qu'affronte Quaid sur le retour.
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
On pense à Billy Wilder en mode mineur, un certain humanisme caché sous une bonne dose d'humour. Le casting est parfait et même si Dennis Quaid et Topher Grace sont mis en avant, tout le monde tire son épingle du jeu. Malgré tout, il manque à cette comédie sympathique un soupçon de risque dans la mise en scène, qui reste un peu trop sage. Mais rien qui n'empêche de savourer un film qui fait du bien en parlant habilement de sujets qui fâchent.
Score
par Iris Steensma
Là où le scénario est malin, c'est qu'il évite les clichés cinématographiques (...) une dynamique surprenante, fraîche et pourtant chaleureuse. Le seul problème du film, dans le fond, c'est d'être victime de son genre : la comédie. On aurait aimé un peu plus de toupet et de psychologie. Dommage. Acteurs en grande forme et situations bien senties font de En bonne compagnie une oeuvre désaltérante mais trop superficielle pour asseoir le film sociologiquement.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Pierre Murat
(...) classique mais plaisant. C'est une comédie à la Capra. Paul Weitz (Pour un garçon) ne retrouve certes pas son élégance, mais un peu de son esprit : c'est déjà ça. (...) le réalisateur a le bon goût de nous éviter, cependant, l'horripilant happy end dégoulinant de bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
(...) une comédie bien gentillette, niveau cour de récré autour du carriérisme, des licenciements, des mutations. Les fossettes craquantissimes de Dennis Quaid et le sourire ravageur de Scarlett Johansson sauvent l'entreprise de la platitude.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le postulat de départ est digne d'une comédie hollywoodienne des années 1940 (...). Le résultat final est en revanche tout à fait contemporain : égrillard, faussement audacieux (...) et prêt à toutes les compromissions, stylistiques ou dramatiques. Au bout du compte, les efforts réels des acteurs (...) suffisent tout juste à mettre encore un peu plus en évidence la niaiserie du projet, qui a été porté par l'un des coauteurs d'American Pie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Une comédie familiale par le cinéaste d'American pie. Fadasse (...) On devine qu'il avait ici l'ambition de s'acheter un semblant de respectabilité en abordant, même sur le ton de la comédie, un propos un peu plus ambitieux. Mais il reste au niveau des banalités et des platitudes.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une comédie (...) impersonnelle qui critique le capitalisme sauvage et les licenciements économiques abusifs. (...) En bonne compagnie est un spectacle insipide à tous les niveaux, qui se laisse néanmoins regarder sans trop de mal et d'ennui, à condition de passer le cap de la première demi-heure particulièrement terne.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Paris Match
Dans cette cinglante comédie sociale, Paul Weitz (...) observe avec finesse l'instabilité des multinationales et les répercussions émotionnelles. A travers des situations pleines d'humour, le récit trace un double parcours, juxtaposant les vies professionnelles et privées. (...) Tout en nuances, dans un personnage fragilisé, Dennis Quaid est plus que jamais apte aux grands rôles.
Brazil
Cette comédie enlevée a plusieurs sacrés atouts dans sa manche. D'abord, elle est d'actualité [...] puis elle est humaine [...] et surtout elle joue parfaitement avec les émotions. [...] Le casting est excellent. [...] Voici donc une peinture amère, drôle et vitriolesque de notre société avec avec un retour de bâton qui se veut trop optimiste.
Chronic'art.com
Le cinéaste prend tout avec une sérénité de petit maître : description plutôt juste du monde du travail avec commérages de machines à café, solidarité des services, rivalités internes (le match de basket entre deux filiales du groupe, joli moment), narration à plusieurs voix, glissant de l'étude sociologique au marivaudage. A chaque fois, le film remporte ces étapes sans épuiser ses réserves. [...] Il y a dans le cinéma de Paul Weitz une générosité franche du collier, une envie de diviser le gâteau en multiples parts égales.
Les Inrockuptibles
Une comédie satirique d'une certaine finesse. Sous ses allures lisses et rabâchées de comédie (...) En bonne compagnie laisse une impression beaucoup plus ambigüe qu'on ne pourrait l'imaginer. (...) La singularité du film tient à une sorte de banalité assumée et légère qui, paradoxalement, dévoile davantage l'incertitude et la fragilité des personnages (...).
Positif
Paul Weitz, auteur des très réussis American Pie (si, si, parfaitement !) et Pour un garçon (For a boy), à l'époque coréalisés avec une cruauté douloureuse la petitesse de la vie de bureau l'ère du licenciement express, avec férocité les ridicules du star system économique (...). Et les acteurs ? Tous très bien !
Première
(...) une comédie de moeurs d'une étonnante maturité. (...) une satire de la vie en entreprise, une critique de l'ultralibéralisme et, surtout, le portrait délicat d'Américains comme tant d'autres. [...] Weitz tire de ses maladresses (rythme flottant, mise en scène bancale) un supplément d'âme inattendu, aidé par ses acteurs.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Moins intéressé par la romance que par l'amour filial, son thème de prédilection (...), Paul Weitz s'attache à peindre le lien qui se noue entre le jeune loup qui n'a pas eu de père et le vieil ours qui n'a eu que des filles, tout en brocardant gaiement le monde impitoyable de l'entreprise américaine. Toutes proportions gardées, il y a du Lubitsch, celui de "The Shop Around The Corner", dans "En bonne compagnie". Allez-y, ça fait du bien.
Zurban
Dire que le trait est vraiment provocant serait exagéré, mais saluons la pertinence du propos (...). Et surtout, la lumineuse présence de Scarlett Johansson (Lost in Translation), qui éclaire ce petit monde d'hommes en lutte pour le pouvoir.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
La côte Quaid remonte avec En bonne compagnie. Américonnerie réac et qualités farce mêlées, cette comédie de bureau (...) se passe bien. Grâce à son duo vedette (Dennis Quaid, vieux briscard, Scarlett Johansson, fraîcheur nature décidément sans rivale). Mais surtout au joker Topher Grace, le jeune loup qu'affronte Quaid sur le retour.
MCinéma.com
On pense à Billy Wilder en mode mineur, un certain humanisme caché sous une bonne dose d'humour. Le casting est parfait et même si Dennis Quaid et Topher Grace sont mis en avant, tout le monde tire son épingle du jeu. Malgré tout, il manque à cette comédie sympathique un soupçon de risque dans la mise en scène, qui reste un peu trop sage. Mais rien qui n'empêche de savourer un film qui fait du bien en parlant habilement de sujets qui fâchent.
Score
Là où le scénario est malin, c'est qu'il évite les clichés cinématographiques (...) une dynamique surprenante, fraîche et pourtant chaleureuse. Le seul problème du film, dans le fond, c'est d'être victime de son genre : la comédie. On aurait aimé un peu plus de toupet et de psychologie. Dommage. Acteurs en grande forme et situations bien senties font de En bonne compagnie une oeuvre désaltérante mais trop superficielle pour asseoir le film sociologiquement.
Télérama
(...) classique mais plaisant. C'est une comédie à la Capra. Paul Weitz (Pour un garçon) ne retrouve certes pas son élégance, mais un peu de son esprit : c'est déjà ça. (...) le réalisateur a le bon goût de nous éviter, cependant, l'horripilant happy end dégoulinant de bons sentiments.
Le Figaroscope
(...) une comédie bien gentillette, niveau cour de récré autour du carriérisme, des licenciements, des mutations. Les fossettes craquantissimes de Dennis Quaid et le sourire ravageur de Scarlett Johansson sauvent l'entreprise de la platitude.
Le Monde
Le postulat de départ est digne d'une comédie hollywoodienne des années 1940 (...). Le résultat final est en revanche tout à fait contemporain : égrillard, faussement audacieux (...) et prêt à toutes les compromissions, stylistiques ou dramatiques. Au bout du compte, les efforts réels des acteurs (...) suffisent tout juste à mettre encore un peu plus en évidence la niaiserie du projet, qui a été porté par l'un des coauteurs d'American Pie.
Ouest France
Une comédie familiale par le cinéaste d'American pie. Fadasse (...) On devine qu'il avait ici l'ambition de s'acheter un semblant de respectabilité en abordant, même sur le ton de la comédie, un propos un peu plus ambitieux. Mais il reste au niveau des banalités et des platitudes.
aVoir-aLire.com
Une comédie (...) impersonnelle qui critique le capitalisme sauvage et les licenciements économiques abusifs. (...) En bonne compagnie est un spectacle insipide à tous les niveaux, qui se laisse néanmoins regarder sans trop de mal et d'ennui, à condition de passer le cap de la première demi-heure particulièrement terne.