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    Glengarry
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    3,3
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    57 critiques spectateurs

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    sly-stallone88
    sly-stallone88

    196 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 septembre 2014
    un film qui ne sort pas du lot, scénario hyper classique malgré la pléiade de stars, un rythme lent tout du long !!!
    mehdi2610
    mehdi2610

    33 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2014
    De grands acteurs réunis pour une pièce de théâtre sans grand intérêt.
    Plume231
    Plume231

    3 882 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2014
    L'histoire ou plutôt la pièce dont le film est adapté, car la réalisation ne fait rien ou presque sur les plans technique et scénaristique pour cacher qu'en fait on a affaire à du simple théâtre filmé, est clairement un portrait cynique et donc réaliste du capitalisme à travers la vie de quelques personnages travaillant pour ou ayant un lien avec une agence immobilière sur deux jours.
    Mais ce que l'on retient surtout c'est un casting de gros malade. Jack Lemmon, Al Pacino, Kevin Spacey, Ed Harris, Alec Baldwin (une seule scène mais une scène mémorable où son personnage synthétise à lui seul l'abjection du capitalisme !!!), Alan Arkin, chacun ont l'occasion de faire au moins un beau numéro d'acteurs. On retient surtout Jack Lemmon et Kevin Spacey et les séquences dans lesquelles ils s'affrontent.
    "Glengarry" est en fait un film d'acteurs, d'immenses acteurs, ce qui en fait sa limite mais aussi son intérêt.
    NeoLain
    NeoLain

    4 955 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Un casting qui en attirera plus d'un, Al Pacino et Ed Harris pour ne pas citer le reste. Mais Glengarry est un sacré piège. Du début à la fin c'est que des paroles et paroles sur les enjeux d'agents immobiliers, ça ne s'arrête pas (véridique...), Doliprane time.
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2014
    En lisant la jackette du DVD ça me donnait vraiment envie. Mais en fait non. J'ai trouvé ça énormément poussiéreux. Ok, le film est sorti au début des années 1990, mais franchement ça a mal vieilli, et je me demande si c'était pas déjà ringard à l'époque. C'est vraiment les grosses ficelles, c'est pénibles, ils disent des choses insipides. En plus ce qui m'énerve c'est que le film se voudrait intelligent, genre aha, regardez ce que je fais, regardez comme le film est intelligent... mais non. On s'en fout complètement de cette histoire. On y croit pas, les personnages sont mal écrits, ce qu'ils disent on y croit pas. C'est long, mais c'est long. C'est un open space où on a mis plein d'acteurs connus en espérant que le tout fasse quelque chose. Mais non, le résultat est vraiment très décevant...
    Candice L
    Candice L

    36 abonnés 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2014
    Un bon film sur la pression dans le monde professionnel et sur comment la peur peut pousser les gens à commettre des actes qui vont contre leur propre morale. Un bon casting (Al Pacino, Ed Harris, Alec Baldwin, entre autres), qui rend le tout très crédible.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    107 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2014
    Un putain de sacrément bon numéro d'acteurs, tous au mieux de leur forme. Je ne donnerais pas de noms, mais beaucoup feraient bien d'en prendre de la graine. Le genre de film qui devrait être vu/montré dans les cours de théâtre...
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 octobre 2013
    Ce film est l’adaptation d'une pièce de théâtre et la majorité du temps, on ne peut pas dire que cela augure quoi que ce soit de positif car nombreux sont les flops dans cette catégorie, et malheureusement, Glengarry Glen Ross en fait partie.
    Si le casting 4 étoiles est de qualité, notamment le regretté Jack Lemmon, on ne peut pas dire autant du scénario qui s'appuie en grande partie sur de longs, parfois très longs monologues qui, bien que pour certains finement écrits et excellemment bien joués, assomment souvent le spectateur: même au théâtre, on se demande comment cela pouvait fonctionner. L'intrigue est mince et ne parvient jamais à captiver, et l'action figée couplée à une mise-en-scène à base de champ contre-champ sans saveur ne fait qu'accentuer le désintérêt porté à cette histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 mai 2013
    Avec tous ces acteurs magnifiques, je m'attendais à voir un très bon film ... et bien c'est raté, l'intrigue est tellement anecdotique qu'on décroche assez rapidement ... par contre, énormes performances d'acteurs avec un magnifique Lemmon, un grand Al Pacino et un charismatique Moss.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 avril 2013
    Quel film étrange... Les acteurs sont absolument géniaux : Alec Baldwin tout d'abord, dont le monologue au début du film est mémorable. Mais aussi Al Pacino, qui nous livre ici une des plus grandes performances de sa carrière, même chose pour Jack Lemmon, Ed Harris et Kevin Spacey... La mise en scène est absolument impeccable... Bref, du côté des acteurs et de la réalisation, c'est excellent. Le problème ? On s'emmerde. Mais vraiment... Y a des moments particulièrement brillants (Le monologue de Baldwin donc, sans oublier la scène ou Al Pacino essaye d'arnaquer un client), mais globalement, c'est une oeuvre dans laquelle on a du mal à entrer. Malgré tout, ce film mérite clairement une excellente note.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2013
    Ce film "theatrale" frole le genie...le realisateur J.FOLEY peu connu chez nous, nous livre un produit de choix avec un casting en or (Pacino, Spacey, Pryce, Lemmon, Harris, Arkin et un petit passage de A.Baldwin)....Vu et revu, ca m'a pas empeché de le prendre en dvd (enfin disponible).....Les dialogues sont savoureux, les scenes entre les protagonistes sont excellement mis en scene......mention spéciale a un ed harris enflammé et un Al pacino en grande forme....FIlm passé presque inaperçu qui merite d'etre decouvert ou redécouvert......les 1h40 passent hélas trop vite......le meilleur film sans l'ombre d'un doute sur le monde impitoyable des vendeurs prets a tout pour rester au top.........Un film génial.....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 décembre 2012
    Voila un vrai film d'acteurs. Monologues après monologues on s'en lasse pas de voir quel talent le casting possède. Apprentis acteurs, voici la marche à suivre.
    Nicothrash
    Nicothrash

    366 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Un thème intéressant et très bien traité, les méthodes peu scrupuleuses des vendeurs en immobilier, poussés au vice par leurs dirigeants, sont parfaitement mises en image. On sent les vendeurs, à bout de nerf, prêts à tout pour conclure leurs ventes, seulement malgré ce casting impressionnant, les acteurs sur-jouent beaucoup et les dialogues sont extrêmement répétitifs, on a l'impression de tourner en rond pendant une heure et demi, fort dommageable pour un film avec un si gros potentiel et quelques retournements de situation bien pensés. Ca reste tout à fait regardable mais l'impact aurait été bien plus fort avec un meilleur traitement.
    7eme critique
    7eme critique

    530 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 septembre 2012
    "Glengarry" ou les aléas d'une agence immobilière qui doit réduire ses effectifs. Ce film traite parfaitement son sujet grâce à ces acteurs magnifiques aux dialogues travaillés. Un monde de requins où tout le monde cherche à sauver sa place. Les acteurs, qui composent ce casting impressionnant, jouent à merveilles, avec un Pacino, un Lemmon, un Spacey et un Baldwin qui s’élèvent au sommet de la pile. Un sentiment de réalisme total, des répliques soignées, les techniques de commerciaux typiques, ces acteurs plus vrais que nature, bref, on est dans le concret. "Glengarry" est un bon film qui nous donne l'impression d'assister à une pièce de théâtre, on se prend vite au jeu.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2015
    On connait l’impact de la bulle immobilière dans les difficultés économiques des Etats-Unis au détour des années 2007 à 2013. En 1992, James Foley en reprenant à son compte une pièce de David Mamet (Prix Pulitzer 1984) nous montre l’envers du décor. Pas celui des spéculateurs, ni celui des clients floués, mais celui des vendeurs en première ligne pour fourguer à de pauvres bougres sans le sous et déjà enfouis sous les crédits une parcelle du rêve américain. Dans une petite agence immobilière new yorkaise, noyée sous une pluie incessante, s'échinent quatre vendeurs payés exclusivement à la commission. Les temps sont durs et les fiches de prospection éculées ne suffisent plus à fournir la pitance quotidienne. Le siège ; "Mitch and Murray", a investi dans l'achat d'un fichier dit Glengarry Ross, pour remonter les ventes et a envoyé sur place son plus bel étalon pour secouer des vendeurs jugés fatigués avant de mettre en circulation les précieuses fiches. C'est quasiment à l'entame du film, qu'intervient dans une scène d'anthologie, un Alec Baldwin, touché par la grâce, venu comme il le dit lui-même "pour le coup de grâce" et qui balance devant des vendeurs éberlués, un discours ultra-musclé, entrelardé de noms d'oiseaux bien sentis et de plaisanteries machistes (le doublage français a été remanié à l'occasion de la sortie DVD). Le tout se concluant par l'entrechoc de deux boules en acier censées représenter une paire d'attributs dont les vendeurs de l'agence seraient privés. Le ton est donné de la plus belle des manières et le petit jeu peut commencer pour la convoitise des précieuses fiches gardées par un Kevin Spacey encore joufflu qui incarne de manière appliquée le petit chef pistonné, trop heureux que dans l'affaire on ne lui ait pas encore demandé de comptes. Baldwin ayant planté le décor, reste quatre vendeurs et un chef d'agence qui vont nous faire partager leurs états d'âme. Pour cette comédie humaine, James Foley s'est entouré d'une brochette d'acteurs haut de gamme, Al Pacino, Jack Lemmon, Alan Arkin, Ed Harris et Kevin Spacey. Autour de ces fameuses fiches, objet de toutes les convoitises, se déclinent tous les comportements en réaction au stress. spoiler: Le plus ancien, joué par un inénarrable Jack Lemmon tente par tous les moyens de corrompre son jeune chef devenu cerbère. Il faut le voir, aux abois se contorsionnant devant un Kevin Spacey impassible trop sûr de son pouvoir. Du grand art, cousu main . De son côté, Moss, joué par Ed Harris, plus jeune, vendeur aigri, insatisfait de son sort, choisit de se rebeller tout en refusant d'en assumer seul les conséquences. Après avoir chercher à rallier à lui un Alan Arkin pétrifié, il finira par entraîner dans sa chute Jack Lemmon dit "La machine", vendeur en bout de course, à la dérive et qui, trop vieux ne pourra sans doute pas se relever de cette tentative à la desperado
    . Reste, Al Pacino, dit Roma, vendeur de haut vol tout en suavité qui conclut ses ventes en allant dénicher chez ses clients les ressorts intimes qui les feront passer à l’acte. Loup solitaire, il n’en demeure pas moins attaché aux valeurs de respect et de solidarité entre les vendeurs fondées sur l’éternelle roue qui tourne . Il est donc en totale opposition avec Moss qui voit dans sa déveine le résultat d’une inégalité de traitement. L’affrontement a lieu dans une autre scène d’anthologie ayant pour point d’orgue le récit fantasmé d’une vente à l’arrachée par un Jack Lemmon qui dans un moment extatique retrouve le lustre d’antan, quand son surnom de « La machine » avait encore un sens. Une fois de plus on peut apprécier le génie de l’immense Jack Lemmon qui livre au crépuscule de sa carrière une prestation aussi jubilatoire que celle en jupons de « Certains l’aiment chaud » (Billy Wilder en 1959). Trente ans ont passé et l’acteur pourtant fatigué par une carrière et une vie chaotique montre le même plaisir à se livrer devant l’objectif sans jamais oublier de faire briller ses partenaires. James Foley reprenant David Mamet dénonce de manière acerbe le capitalisme sauvage américain porté aux nues par Ronald Reagan et Margaret Tatcher tout au long des années 1980. Il montre ses impacts insidieux sur le monde du travail, ici une équipe de quatre vendeurs engagés dans une lutte à mort pour conserver leur emploi après qu’un Monsieur Loyal (pas tant que ça !) incarné par Alec Baldwin leur ait livré les règles du jeu. Cette charrette qui n’ose pas dire son nom va pousser deux d’entre eux à la faute, épargnant aux dirigeants de faire eux-mêmes le sale boulot. C’est bien connu les loups se mangent entre eux ! A voir ces pauvres hères user de toutes leurs ruses pour pousser à la vente d’autres pauvres hères sans le sou on comprend mieux pourquoi vingt ans après le système poussé à son paroxysme se soit effondré sous le poids de l’insolvabilité des banques . Un cinéma virtuose et prémonitoire dont on aimerait que nos dirigeants soient de plus friands spectateurs.
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