Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Comme souvent chez ce cinéaste, un méticuleux panorama urbain accompagne une voix off littéraire. Le récit est (surtout) au passé, les images au présent. Cette confrontation un peu abstraite entre les deux périodes génère un trouble. (...) Les fantômes de l'extrémisme redeviennent soudain dérangeants, brûlants, lancés comme des antidotes brutaux à la face d'une Italie engluée dans sa mélasse berlusconienne.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une nouvelle page du journal intime de l'auteur Vincent Dieutre, arrachée à l'Italie, aux désillusions collectives et au temps qui passe. (...) Bologna Centrale est aussi une histoire d'amour qui s'est mal terminée. Un hommage à tous ces compagnons de route dont la révolte s'est achevée par d'abjectes disparitions, et au premier d'entre eux, Sandro, qui fut aussi l'homme, inconsolablement chéri, du premier baiser, de l'éveil d'une sensualité et d'un goût de la subversion que le système a fini par digérer
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
C'est un au-delà de l'intimité qui est filmé ici, et c'est un drôle de chant d'amour triste, presque un chant d'adieu. Bologna Centrale est un coup de poing à l'estomac.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Comparable, côté Italie, à ce que fut Mon voyage d'hiver côté Allemagne, Bologna Centrale est comme un nouveau tableau, plus abstrait, et moins accompli, d'une même série. Bologna centrale ne trouve pas toujours les matériaux (visuels ou narratifs) de son projet, pourtant, par moments, cette "matière" où se fondraient ici et naguère, vision et voix, semble prendre consistance.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Des images pauvres et rugueuses viennent en quelque sorte corroborer et authentifier une bande son très riche.
Télérama
par Jacques Morice
Pour qui aime être ailleurs sans y être vraiment, le film s'avère parfait, partagé qu'il est entre souvenance et absence, instants précis de toute éternité et détachement. (...) Quand il n'y a plus rien, il y a encore du temps, la hantise de l'oubli, le refus d'épargner pour l'avenir, une nostalgie du futur. Un jour, c'est sûr, dans une autre vie peut-être, on a traversé nous aussi Bologne, et aimé quelqu'un là-bas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Comme souvent chez ce cinéaste, un méticuleux panorama urbain accompagne une voix off littéraire. Le récit est (surtout) au passé, les images au présent. Cette confrontation un peu abstraite entre les deux périodes génère un trouble. (...) Les fantômes de l'extrémisme redeviennent soudain dérangeants, brûlants, lancés comme des antidotes brutaux à la face d'une Italie engluée dans sa mélasse berlusconienne.
Le Monde
Une nouvelle page du journal intime de l'auteur Vincent Dieutre, arrachée à l'Italie, aux désillusions collectives et au temps qui passe. (...) Bologna Centrale est aussi une histoire d'amour qui s'est mal terminée. Un hommage à tous ces compagnons de route dont la révolte s'est achevée par d'abjectes disparitions, et au premier d'entre eux, Sandro, qui fut aussi l'homme, inconsolablement chéri, du premier baiser, de l'éveil d'une sensualité et d'un goût de la subversion que le système a fini par digérer
Libération
C'est un au-delà de l'intimité qui est filmé ici, et c'est un drôle de chant d'amour triste, presque un chant d'adieu. Bologna Centrale est un coup de poing à l'estomac.
Cahiers du Cinéma
Comparable, côté Italie, à ce que fut Mon voyage d'hiver côté Allemagne, Bologna Centrale est comme un nouveau tableau, plus abstrait, et moins accompli, d'une même série. Bologna centrale ne trouve pas toujours les matériaux (visuels ou narratifs) de son projet, pourtant, par moments, cette "matière" où se fondraient ici et naguère, vision et voix, semble prendre consistance.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Des images pauvres et rugueuses viennent en quelque sorte corroborer et authentifier une bande son très riche.
Télérama
Pour qui aime être ailleurs sans y être vraiment, le film s'avère parfait, partagé qu'il est entre souvenance et absence, instants précis de toute éternité et détachement. (...) Quand il n'y a plus rien, il y a encore du temps, la hantise de l'oubli, le refus d'épargner pour l'avenir, une nostalgie du futur. Un jour, c'est sûr, dans une autre vie peut-être, on a traversé nous aussi Bologne, et aimé quelqu'un là-bas.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com