Avis : La Légende de Zorro - Page 9

Moins bon que le premier, mais un bon divertissement quand même, avec toujours autant d'action et de l'humour, notamment grâce à Joachin. Ce qui me dérange, c'est le peu de crédibilité de l'histoire. Qui irait demander à une femme, à l'époque, d'espionner un potentiel gros méchant qui veut détruire l'Amérique (je sais qu'elle est la fille et la femme de Zorro, mais quand même...) ? L'Amérique, d'ailleurs, qui s'offre une belle image ici, car elle est présentée comme terre d'immigration, qui accueille tout le monde, contrairement au méchant Français, qui lui veut la détruire... La scène de la grange est également risible, avec toutes ces flammes, dont certaines à moins de 10 cm du bébé, personne n'est blessé, personne n'est brûlé. Cela baisse un peu la qualité du film.

Un mauvais scénario, mais l'humour et l'action est bien present, Antonio Banderas est très juste dans son rôle. A voir et revoir.

Cette suite reprend les défauts et les qualités de son aîné, avec notamment le duo Zeta Jones/Banderas. Ca reste toujours très bon enfant, à regarder si on a 1h30 de libre et q'uon souhaite pas réfléchir...

Ce deuxième opus de Zorro version Martin Campbell est un divertissement de très bonne facture.

En effet, tous les ingrédients sont réunis: action, humour et drame. De plus, comme dans le premier opus, le scénario et riche en rebondissements, en scènes spectaculaires, en répliques amusantes et en sensibilité.

L'idée de mettre en scène une intrigue tournant autour des difficultés à demeurer un couple uni et éléver un enfant tout en étant un justicier populaire est assez bien exploitée car elle n'entache pas le rythme, n'est pas niaise et surtout les rebondissements la font fructifier.

Ce film est donc un excellent divertissement d'aventure, comme l'était le premier opus, mais la baisse de ressort dramatique par rapport au premier volet ne permet pas de donner à ce film un souffle émotionnel digne des plus grandes fresques d'aventure.

Moins original, moins riche, moins drôle, moins surprenant, ce second volet est forcément crédité d'une étoile de moins.
Pris séparément du premier opus, il reste un spectacle divertissant.

Mouais pas terrible , c'est le genre de suite dont on se passerait volontier.Le premier opus était plus riche , plus élaboré , plus symbolique , ici on a quoi Zorro en pleine crise conjuguale , qui a des problèmes avec l'éducation de son fils et qui doit stopper un pseudo méchant qui veut détruire les futurs USA bref pas génial tout ça.Bon Antonio Banderas s'en sort plutôt bien , tout comme Zeta Jones mais le coeur n'y est pas.Le Scénario est trop vide , certaines scènes sont inutiles et certains personnages sont vraiment pas crédibles comme l'homme de main.Sinon les scènes d'actions sont bien faites , dignes du précédent opus , elles relèvent bien le niveau , avec une touche d'humour bien plaçé.C'est donc à ça que sont du les deux étoiles , ça et le fait que dans l'ensemble c'est un film d'action assez correct qui se laisse regarder.

MAGISTRAL !!! Ce deuxième volet est carrément sous-estimé car c'est un vrai petit chef-d'oeuvre du film d'aventures!! Frais, dynamique, sincère, spectaculaire, drôle,... Du divertissement hollywoodien dans le sens le plus noble du terme! Antonio Banderas est vraiment parfait dans la peau du célèbre justicier, un jeu très sincère, et puis des scènes archi spectaculaires !!!! Bref, courez le voir ce Zorro !!

Film moyen, de toute manière on ne peut guère attendre plus d'une histoire où le gentil se bat contre les méchants, comme de nombreux dessins animés et films s'en inspirent. Alors les scènes d'actions assure un certain divertissement mais sans plus, les deux heures se faisant longues.

Encore un exemple de suite ratée. Et cela commence avec le titre : "La légende de Zorro" après "Le masque de Zorro", bravo les gars, quelle imagination, et le troisième volet ce sera quoi ?, "Le slip de Zorro" ? Le film en lui-même débute de façon ridicule, avec la première scène cinématographique dans laquelle un type réussit à en assommer un autre à l'aide d'un chapeau. Si, je vous jure. Personne sur le plateau ne s'est dit "Putain, c'est quoi ces conneries ?". Hallucinant. Avec un vilain méchant sorti tout droit du cirque Pinder tellement il est grotesque. Il fait un peu penser au sketch des Inconnus sur Bioman : "Oula, je suis le méchant, et je vais niquer les gentils !". Pauvre type va. La suite, c'est quasiment 2h d'ennui, avec de trop nombreux blabla notamment dans la première partie. C'est un peu comme si Derrick mettait un masque noir et se mettait à baragouiner espagnol. Sauf qu'Antonio Banderas a un physique autrement plus agréable (pas compliqué me direz-vous). L'idée du gamin est en revanche excellente, grâce à lui on a droit à des passages assez funs. Mais cela ne suffit pas à sauver cette grande production à la frange du nanaresque. Rentre chez toi le justicier.

Une bonne suite qui s'inspire vraiment à merveille du premier. On retrouve bien l'ambiance et les duels. Le scénario est par contre un peu compliqué. Personnellement je préfère le premier. Mais ce volet a aussi beaucoup d'atouts.

Deuxième volet de la franchise masquée de cape et d’épée, The Mask Of Zorro aura réussi là où son prédécesseur avait échoué. En introduisant un élément plus moderne, plus technologique, le film nous propose cette créativité que le premier volet n’avait pas. Oui mais voilà, le spectateur est exigeant, et cette modernité soudaine nuit au film, et à se grands codes classiques. En faisant prendre le train à Zorro, il ne donne plus autant dans la cape et l’épée qu’avant. Surtout, le budget n’a pas suivi et les effets spéciaux s'en ressentent... L’ensemble partait donc d’une bonne intention, mais reste bien décevant…

Un film bien à l'américaine, avec des actions vues et corrigées maintes fois, mais faut pas se plaindre, c'est le genre qui le demande. Et si on va de ce principe, ça devient un film entrainant et divertissant, avec des acteurs beaux à voir. Quelques longueurs, mais ça va...

C'est pas de l'inedit comme type de scenario, le jeu d'acteur bourré dde mimiques enleve tout le serieu du film, et tout là dedans est exageré. On regrette le premier opus

C'est mou et pourtant y a de l'action, mais vue et revue. Il manque des scènes comiques et de l'héroïsme( le zorro en pré-retraite était là pour ça dans le 1er) pour que ce film soit une réussite."i want to spend my lifetine loving you" est surexploité, à croire qu'il n'y a plus de tube dans les tiroirs d'hollywood.
Catherine zeta jones est belle et drôle, mais Antonio a perdu de sa superbe. Heureusement, Nadia comanecci ( qui joue son fils) a de l'avenir.Vous remarquerez que le méchant a un oeil qui se ferme plus que l'autre quand il va crever dans d'atroces souffrances.Ce film est bien gentillet, bon pour endormir les mioches par une froide après-midi de toussaint.Dommage, j'esperais beaucoup !

Les gens qui ont écrit ce film devraient relire leur histoire américaine car ils l'ont massacrée. C'est tellement mauvais que le film n'a plus aucun sens. Ils ont combiné la guerre de Sécession (1861-1865) avec l'accession de la Californie au rang d'Etat ce qui n'est jamais arrivé. Il y a tellement d'erreurs qui font de ce film un fiasco total et complet. Peut-être que le réalisateur du film aurait dû faire ce film comme un film d'histoire alternative mais même cela ne l'aurait pas sauvé. En tant qu'histoire il tente de faire de Zorro une légende. Lui et sa femme divorcent et là la réalité fait un saut complet dans l'invraisemblance. Le divorce n'existait pas à l'époque comme aujourd'hui. Divorcé sa femme travaille pour les Pinkerton comme agent secret du gouvernement américain. En réalité Pinkerton était une agence de détectives privés et ne travaillait pas pour le gouvernement américain à cette époque elle ne travaillera pour les États-Unis qu'environ 12 ans plus tard pendant la guerre civile. Zorro démasque le complot infâme sauve la situation et aide la Californie à devenir un État. Le chemin de fer n'était pas aussi important à l'époque et ne l'était pas du tout avant la guerre de Sécession lorsque le système ferroviaire continental a été mis en place dans les années 1870. Même l'utilisation du fusil Henry en Californie était une erreur et même Antonio Banderas et Catherine Zeta-Jones n'ont pas pu sauver ce gâchis...