Le masque, le masque, le masqueeeee.....!!!!!! Allez continuons la route du sentier de la justice pour tous, au pays de la Californie, des années sont passées après l’indépendance, fin de la colonisation espagnole, du balai signée par l’épée.
De la marque Z mystère, dans ce second opus de Martin Campbell, le premier comme souvenir, ce film qui suit sans Don Diego de la Vega, l’original tout de noir vêtu masqué, bandana, sombrero, cheval comme moyen de locomotion pour le justicier social et sa fine lame d’escrimeur.
Le noble aristocrate californien de cœur d’origine espagnole, héros tragique jusqu’au bout, cède sa place à la relève, son beau-fils marié à sa fille, un humble modeste paysan total opposé de la richissime famille, reprend le costume mythique folklorique romance littéraire.
En se calant sur l’humour, des gags récurrents, nous délivre une partie de jeu plus intéressant, avec la propagande du scénario, une sorte de Da Vinci Code 2005, refusé poliment le Mexique, le vote référendum en faveur des États-Unis d’Amérique, menacés par le vile dessein du bon méchant de l’histoire.
Des chevaliers d’Aragon, les espagnols contre les espagnols, c’est délicat à utiliser pour la réalisation dans sa mise en scène, ce pur produit de film sauce franco-américaine, la dynamite chimique qui donne naissance au cinéma américain.
Allons comprendre nitroglycérine toxique savon couverture pour ce spectacle, musique maestro pour la bande originale mélodieuse romantique, le masque et la légende de Zorro, sont du côté de l’humanité union américaine, prévenants de la sécession confédérée, le chemin de cette fiction sera longue vers la paix finale, le remariage dispute scène de ménage.