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AMCHI
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5 936 critiques
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0,5
Publiée le 10 novembre 2008
Une suite pitoyable dont seule la 1ère scène d'action est réussite, pour le reste peu d'action, des problèmes domestiques qui n'ont à faire dans une histoire de Zorro un humour médiocre. Aucun panache, aucune fougue ; à éviter. D'ailleurs une heure m'a suffit.
Nouvelle aventure pour Zorro.On reprend la formule vigoureuse du premier volet,on reconduit le couple glamourissime Banderas/Zeta-Jones et on parsème le tout d'un humour bon enfant.Vous obtenez "La légende de Zorro",suite qui multiplie les cascades,cabrioles,duels à l'épée et autres joyeusetés bondissantes.Sûr qu'il a pas le temps de s'ennuyer le bel Antonio,d'autant que Madame fait sa crise de nerfs et qu'un comte français menace l'entrée de la Californie dans les Etats-Unis.Et il doit aussi surveiller son intrépide fils de 10 ans,débrouillard comme personne.Bref,c'est un divertissement de haute tenue,pour petits et grands,qui ne s'embarasse pas de vraisemblance,mais uniquement de fun.Ca marche comme sur des roulettes.Le rôle de Zorro va comme un gant à un Antonio Banderas ravi de s'investir autant.Catherine Zeta-Jones,toute en corsets et dentelles demeure affolante.Leur duo caliente reste le principal atout d'un spectacle,peut-être moins subtil qu'avant,mais auquel on a ajouté énormément de second degré.Entre la retranscription d'une Californie hispanisée de 1850 et le héros du peuple,justicier infatiguable;le film promulgue des valeurs simples et intemporelles,et rend un bel hommage à un certain cinéma épique des années 30.
Zorro c'est génial quand il est habillé en Zorro et là quand ça démarre c'est vraiment le top. les acteurs principaux sont épatants et petits et grands apprécieront le divertissement proposé.
On retrouve le couple Antonio Banderas et Catherine Zeta - Jones pour un nouvel opus aussi réussit que le film original . Cela nous fais réjouir dans cette nouvelle aventures plus spectaculaire , avec plus d'émotions et d'humours . Une grande réussite !
C'est grâce à ce film que j'ai voulu voir la série!!! Ce film est exellent. Il est très différent de la série ( ce qui est normal., car il est beaucoup beacoup plus récent. Et puis, c'est une autre version), mais s'attache au personnage de zorro dans les deux. Je sais qu'il a déjà eu un film appelé le masque de zorro avec les^mêmes acteurs avant lui. Je ne l'ai pas vu, mais j'espère le voir un jour.
C'est une super-production commerciale qui n'a d'autre but précisément que de ridiculiser la Légende de Zorro. Là, il est confronté à des difficultés conjugales (avec la pulpeuse et creuse Catherine Zeta-Jones) et parentales (son gosse de 8 ans qui bat en duel son instituteur, retombe par la fenêtre comme un gymnaste, poursuit et met en déroute des bandits, rien que ça !), tandis qu'il doit combattre (à l'aide de cascades plus fortes que celles de Neo dans "Matrix") les méchants Français (forcément, en période de guerre d'Irak !) qui secrètement complotent pour empêcher le bon peuple californien de devenir enfin libre en optant pour devenir Américains (bien sûûr). Un scénario insupportable de niaiserie et de bien-pensance américaine, qui n'a même pas l'humour de la série de 1957. Espérons qu'ils ne feront pas une suite du même style. La légende de Zorro ne mérite pas ça.
Des salopards de terroristes européens (enfin, surtout des français, et les britanniques seront dédouanés lors d'une scène très bondienne), jaloux de la montée en puissance des Etats-Unis, terre de liberté, fomentent un ignoble attentat à l'aide d'armes de destruction massives planquées dans des bouteilles de pinard. Heureusement, Zorro, qui a troqué sa mission de défense de la veuve et de l'orphelin pour celle de nervi acquis à la cause du rattachement de la Californie à l'Union (faut le comprendre, en devenant américains, les californiens deviendront instantanément libres, riches et beaux, et notre renard rusé pourra tranquillement partir en pré-retraite siroter des margaritas en Floride), veille au grain et va punir les sales grenouilles par frappes chirurgicales de la pointe de l'épée, épaulé par madame et junior. Faire un mauvais divertissement sur un héros ringard au possible (les tentatives d'actualiser le personnage à coups de divorce, de questionnement sur la paternité, ou en le montrant pété comme un coing, foirent complètement, tout comme ses grotesques prouesses sportives : on se croirait devant un concours de gymnastique, le moule-burnes étant ici remplacé par un costume rappelant les heures les plus effroyables des masters Miko), passe encore, bourrer le crâne des petits américains avec ce genre de conneries, c'est plus grave. Il est quand même fortement suggéré que ce sont les européens qui organisé la guerre de secession pour affaiblir la nation. Loin de moi l'idée de condamner toute utilisation d'un français comme méchant dans un film hollywoodien, mais quand c'est présenté ainsi, c'est à peu près aussi débile que de rebaptiser ses frites freedom fries.
Martin Campbell incarne cette trempe de réalisateurs qui n'ont plus rien à prouver, si ce n'est nous émerveiller davantage à chaque réalisation. Son palmarès à lui seul est une référence de premier choix. Gros sujet qu'est Zorro, cette icône internationale créé en 1919 par Johnston McCulley. Un justicier masqué, héro du peuple, au même titre que Batman, Superman et j'en passe, menant savamment une double vie en préservant son identité. Il est un emblème du courage et de la révolte mexicaine face à l’oppression. Néanmoins, ce personnage de cape et d'épée tendait largement vers la ringardise vis-à-vis de son accoutrement et de son attitude effronté. Sa signature en Z gravée à l'épée sur les fesses de ses ennemis prête à sourire, mais il n'y a rien de renversant, tout du moins à travers la série et les anciennes adaptations qui aujourd'hui, sont devenues ridicules. Campbell lui, en a fait quelque chose de charismatique et réellement dynamique, sans sombrer dans la surenchère pyrotechnique et la caricature de mauvais goût. Ce qu'il avait déjà réalisé en 1998 avec Le Masque de Zorro. Même casting pour cette mouture de la cuvée 2005. Antonio Banderas aux côtés de Catherine Zeta-Jones forment un couple ravissant et glamour, bien à l'image de l'union libre et rebelle. Leurs aventures parallèles recèlent un certain piquant, beaucoup de tensions et de complicité. Les cabrioles du justicier masqué sont au paroxysme de son potentiel. Sous cet optique, il est loin d'être ringard, chevauchant aux trousses d'un train à vapeur sur son puissant cheval Tornado. Cette concoction très hollywoodienne nous emporte sans encombre dans un contexte de western et d'indépendance où les duels à l'épée et les cascades bondissantes sont légions. L'humour bon-enfant en fait une marque de fabrique depuis l'origine. La Californie de 1850 submerge l'écran en une reconstitution épique. On y ressent l'influence du cinéma hispanique des années 30 avec beaucoup de finesse et de second degrés. Pour sûr, les adeptes s'y retrouveront sans encombre. C'est la consécration d'une légende, merveilleusement mise en valeur par un maitre du cinéma d'action. 4/5
Et voilà le retour de notre justicier masqué préfère, celui-là même qui signe son passage d'un Z qui veut dire Zorro mais en l'occurrence ce serait plutôt Z comme Zéro comme dans Zéro originalité ! Pour le scénario, on ne s'est pas beaucoup foulé avec La légende de Zorro ; juste de quoi faire une suite en espérant que la licence de Zorro fasse le reste.
Dommage, j'avais aimé le premier.... PASSEZ VOTRE CHEMIN, rien à voir!
Une suite assez misérable : pas de style, un scénario bateau et ennuyeux "l'Amérique pays de liberté blablablabla, menacée par les méchants étrangers terroristes", le bien vs le mal, des effets spéciaux qui laissent à désirer (on sent que c'est de la maquette), des costumes moyens, des personnages qui perdent leur charme dans des traits grossiers, des acteurs au minimum de leur capacité. Mais où est Zorro?! Bref pas la peine d'écrire 10 ligne, c'est un film pour faire du fric et c'est mauvais.
Seul point remarquable, la performance du petit acteur assez impressionnante (même si le personnage est limite insupportable).
Une production Amblin donc Steven Spielberg à la baguette. Je savais que j'allais passer un bon moment. La Légende de Zorro est un excellent divertissement pour toute la famille. Il y a de l'humour, la beauté de Catherine Zeta-Jones, les acrobaties invraisemblables de Zorro et beaucoup de bagarres à l'épée forcément. Ce n'est pas très surprenant mais pourquoi vouloir toujours être surpris ? Il faut savoir se poser dans son fauteuil pendant deux heures et suivre sans se poser de question un film d'action américain d'autant plus efficace qu'il est réalisé par Martin Campbell. Et le néo-zélandais s'y connaît en matière d'action puisqu'on lui doit GoldenEye et le premier Zorro de 1998. On doit également à La Légende de Zorro finalement la même réflexion accaparant les supers-héros actuels : est-ce vraiment la population qui a besoin d'eux ou eux qui ont besoin du super-héros en costume qu'ils incarnent ?
Rien de bien nouveau sous le soleil de Californie pour cette suite du "Masque de Zorro". Cela fait maintenant dix ans qu'Alejandro De La Vega a repris le flambeau de son mentor mais il n'est pas toujours facile de concilier la vie de famille avec ses devoirs de justicier masqué. Entre sa femme qui divorce, son fils qui le prend pour un lâche et l'arrivée d'un nouvel ennemi, Alejandro a fort à faire. Si ce film n'a aucune originalité et qu'elle ne s'imposait pas vraiment, Martin Campbell en tire tout de même un divertissement tout à fait réussi. Le scénario mêle habilement action et humour tout en confrontant Zorro à une double responsabilité et le spectacle se voit avec un certain plaisir coupable. Il faut dire que l'énergie d'Antonio Banderas et le charme de Catherine Zeta-Jones combinés au savoir-faire de Campbell fait des étincelles.
Avec les mêmes héros, près de 10 ans plus tard. Alors que Zorro a un jeune fils qui est son plus grand fan, il doit choisir entre ses devoirs conjugaux et ses aventures de justicier. C'est un peu moins bien que le premier mais dans le même esprit et cela reste correct.