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Un visiteur
5,0
Publiée le 6 novembre 2008
Très bon film fantastique, qui n'a pas trop vieilli heureusement. Le casting est très réussi, et l'univers vampirique bien respecté. Un film plein de rebondissements, qui donne parfois des frissons. La référence même des films de vampires. Tellement culte !
Sublime d'un point de vue visuel et auditif, ce Dracula nous offre une vision plus gothique et romantique que les précédente adaptations du roman, à ce titre, j'aime beaucoup ce qu'en a fait Coppola.
J'avais tellment envie de le voir!!! Un bon film bien flippant!!! Mais non. Y'a rien. On comprend rien du début à la fin. C4est tellement bizarre les personnages changent de personnalités d'un coup pouf, des élèments arrivent on sait toujours pas pourquoi. La fin est nul, le début part bien mais vraiment le début. Mauvais film sans intêrét.
Si j'avais bien aimé le film au moment de sa sortie je suis beaucoup moins enthousiaste en le revoyant aujourd'hui. Le film est trop baroque, trop chargé et à certains moments on dirait une bouillie visuelle. Je n'ai pas accroché à ce style trop excentrique et au jeu outrancier de certains acteurs. Anthony Hopkins que j'aime beaucoup en fait beaucoup trop et incarne un Van Helsing exalté et fort peu crédible. Le film a vraiment mal vieilli. Dommage.
Si quelqu’un me demandait quel film je lui conseillerai pour qu’il connaisse l’histoire de Dracula telle que contée par Bram Stocker, je choisirai probablement l’adaptation de Francis Ford Coppola.
Certes, il existe des différences avec le livre comme """ l’histoire d’amour entre le comte et Mina Harcker """ mais le scénario est très fidèle dans son ensemble.
Du coup, on a un mix entre le talent d’écrivain de Stocker et le talent de cinéaste de Coppola. Inutile de vous dire que le mélange rend très bien. Ce qui nous attend, ce sont ainsi de beaux plans, un montage recherché, une colorimétrie bien pensée, et un bel hommage au cinéma. Plus particulièrement, certains plans sont une déclaration d’amour aux films de la Hammer ou au « Nosferatu » de Friedrich Wilhelm Murnau.
C'est une belle leçon de cinéma que nous livre le père du "Parrain" ou d'"Apocalypse Now", bien aidé par l'interprétation de Gary Oldman dans le rôle du comte transylvanien. Les autres acteurs (Winona Ryder, Keanu Reeves, Anthony Hopkins, excusez du peu) sont moins impressionnants mêmes s'ils sont convaincants.
Poésie macabre et romance gothique d'un seigneur veuf donnant son âme au diable pour devenir le plus grand vampire. Dracula est une oeuvre majeure considérée encore comme un classique.
La mise en scène très avant-gardiste de Francis Ford Coppola fait mouche à chaque plan. La romance, la folie, le suspense, cette histoire d'amour macabre est riche en émotions diverses. On remarque une bande sonore explicite et efficace dans les moments de romance et d'horreur. On profite du spectacle de ces acteurs géniaux ( maintenant devenues stars internationales ) oeuvrant ensemble à l'accomplissement de ce chef d'oeuvre cinématographique sur le thème du roi des vampires.
L"anecdote qui sert à rien : la première apparition de Monica Bellucci en vampire seins nus dans le lit de Keenu Reeves.
Dracula : Une adaptation très sombre et soignée de la célèbre légende du vampire et comte Dracula. Et ça grâce à une ambiance tout simplement magistrale et unique avec un vrai souci de l’art et des plans pour nous faire frissonner, il y a une vrai mise en scène et un jeu d’ombre très bien pensé, non vraiment, Francis Ford Coppola nous régale. Et après le délice par l’image, il y a un accent bien prononcé sur ambiance sonore qui est de tous les instants, les bruits accompagnent à merveille l’action à l’écran et ça fait très film d’épouvante. Ensuite, cantinions dans les points positif, les acteurs, déjà le casting est prestigieux : et les acteurs sont impeccables. Bon maintenant, parlons du scénario, globalement, c’est intrigant et captivant mais des fois, on décroche un peu car on ne comprend pas tout, on dirait qu’il manque des scènes pour être raccords avec la narration, certains réactions de personnages sont bizarre et inexplicables et donc la fin, on comprend pas tous, c’est peut être parce que j’ai pas lu le livre mais c’est pas une raison. Donc voila, un film techniquement parfait, il y a juste quelque point du scénario qui m’on fait décroché et c’est dommage car dans un film, le scénario est le plus important mais c’est un film à voir quand même, sans détour.
Le mythe de Dracula fut souvent adapté à travers les âges du cinéma. En 1979, c’est John Badham qui succéda aux films de la Hammer, avec Frank Langella dans le rôle principal.
Avec un réalisateur aussi prometteur que John Badham, même si ce dernier ne s’était jamais attaqué à ce genre de films, bien plus porté sur la comédie dramatique, on pouvait s’attendre à un modèle du genre. Ce dernier peut s’appuyer sur une production design absolument fabuleuse, entre des décors incroyables et une photographie merveilleuse, oscillant entre le pur noir et blanc à la Nostradamus et la discrète insertion de couleurs, loin du rouge flamboyant des productions de la Hammer, tout aussi géniale, soit-il dit en passant. En y utilisant des acteurs aussi excellents que Frank Langella ou Donald Pleasance (très proche d’un Sam Loomis, son rôle légendaire de la saga Halloween), ce Dracula ne pouvait être qu’un bon film. Et pourtant, en adaptant à l’écran un scénario aussi nul que celui-ci, écrit par W.D. Richter (qui écrivit pourtant Brubaker, porté à l’écran deux ans plus tard), le film se transforme en un long pensum, sans aucun intérêt, dans lequel il ne se passe absolument rien, hormis sur cinq ou six minutes, où tous les rebondissements interviennent. Le reste n’est que pérore sans intérêt, déclamées par un Laurence Olivier qui méritait sans doute mieux que cet ennui mortel.
Pour tous les techniciens qui ont permis à ce film d’être d’une beauté impressionnante, on ne peut détester Dracula. Mais l’ennui est si présent qu’on ne peut l’aimer non plus. Un film déroutant.
De retour en Grâce, Francis Ford Coppola commence la decennie 90, par une adaptation mythique du comte de Dracula. Nouvelle adaptation faites au Cinéma, probablement la meilleure et la plus inégalable ! Par sa mise en scène EXCEPTIONNELLE, par le développement des personnages, d'un casting parfait, et d'une photographie magnifique, Coppola tient un de ses films les plus généreux en termes de réalisation. L'histoire suit son court mais le film est sublimé par la qualité de la réalisation gargantuesque. Excellent film et probablement, son meilleur film, en terme de réalisation
Francis Ford Coppola s’attaquait en 1992 au célèbre roman de Bram Stoker, qui avait déjà été adapté à de nombreuses reprises depuis les années 20. Il nous offrait un film dense et rythmé, aux décors et costumes flamboyants, qui n’hésitait pas à lorgner du côté kitsch de la force. Porté par des acteurs de l’époque plus ou moins convaincants dans leurs rôles (Gary Oldman, Wiona Ryder, Anthony Hopkins, Keanu Reeves...), cette version de Dracula insiste sur le caractère érotique du récit, faisant du vampire la représentation de nos pulsions de sexe et de violence, à l’opposé de l’atmosphère guindée de la haute-société victorienne de l’époque, où tout désir se devait d’être enfoui. Quand le personnage principal de Mina, pourtant marié au sage Jonathan, va tomber sous le charme de l’inquiétant comte Dracula, on se demande justement si elle ne souhaite pas s’échapper de la vie trop morne que lui réserve son pourtant jeune et charmant mari, pour tenter des aventures plus osées. Passionnant malgré quelques longueurs.
Parmi toutes les adaptations du livre concernant le célèbre vampire portées à l'écran, l'une des plus connues et des appréciées est certainement celle de Francis Ford Coppola, nommée "Bram Stoker's Dracula". Cette célébrité et cette renommée qui précèdent ce long-métrage sont d'ailleurs ses plus grands défauts, car finalement "Dracula" est bien plus décevant que ce que l'on peut imaginer au premier abord après visionnage. Coppola a sacrifié l'histoire et le charme de l'oeuvre originale au profit d'une débauche d'effets spéciaux par moments grotesques et d'une intrigue si confuse qu'il est impossible de tout comprendre. Et les comédiens principaux ne font pas mieux, car à part Gary Oldman qui s'en tire avec un minimum de classe, aucun ne paraît à l'aise ou crédible dans le rôle qui lui a échu : Winona Ryder n'est pas assez expressive pour convaincre totalement, Keanu Reeves n'est définitivement pas le bon choix pour le rôle du clerc de notaire (trop niais), et Anthony Hopkins, que j'aime pourtant par ailleurs, cabotine d'une manière qui ne me sied pas du tout et cela gâche son personnage. S'il n'y avait pas une photographie et des décors très baroques ainsi que quelques scènes très sensuelles et un prologue d'une beauté graphique certaine, le film serait un vrai naufrage... Une grosse déception venant du réalisateur d'Apocalypse Now !
Un film fort et intense mais loin d'être parfait. Cette adaptation de Dracula redonne au héros aux dents pointues ses lettres de noblesse et permet enfin de rendre à ce personnage toute sa complexité, son humanité et son épaisseur. Le point de vue est donc très intéressant et est superbement servi par une pléiade d'acteurs talentueux. Le film est tendu, noir, délicieusement gothique et parfois assez affriolant. Certaines scènes sont même renversantes de romantisme et de beauté. Malgré tout, le film souffre des stigmates de la décennie 90 : des effets spéciaux désastreux, une certaine mièvrerie, une photo un peu cradingue et un doublage français désespérant de nullité. Malgré tout, on passe un excellent moment servi par un Coppola en pleine forme.
On ne peut dire trop de mal de ce film ne serais ce que par la somme de travail qu'il représente au service d'une sincérité réelle de son auteur plus soucieux de faire une oeuvre personnelle que de chercher les spectateurs. C'est du vrai cinéma ultra sonore,ultra musical et ultra visuel qui utilise toutes les techniques connues des années 90. Le sujet s'y prête à merveille et Coppola s 'y sent si bien qu'il ne s'impose aucune retenu...Cela touche ou cela finit par lasser ce qui est mon cas. Il me paraît difficile d'aimer l'épure du Nosferatu véritable poésie métaphysique de Murnau pour tomber en pâmoison devant le baroque de Coppola, invraisemblable fourre tout. L'accumulation des moyens est un piège, plus ils sont présents, plus le coté humain s'appauvrit jusqu'à disparaître totalement. En plus dans ce genre de film même les acteurs n'existent plus tellement les personnages qu'ils représentent sont robotisés. j'irais même jusqu'à dire qu'ils sont interchangeables; leur accorder des oscars ou des césars pour ces types de prestation n'a plus aucun sens Il reste juste un spectacle flamboyant dont la qualité ne peut de discuter, tout dépend de ce que l'on attend du cinéma.